Archive pour 'On vous le dit'

Tizi-Ouzou : Embouteillages

Tizi-Ouzou : Embouteillages dans On vous le dit parisLes feux de circulation qui ont été récemment remis en marche, dans la ville de Tizi-Ouzou, notamment celui du rond point 20 avril dit ‘‘la tour’’, celui au niveau des bâtiments bleu et celui de la montée du stade 1 er novembre, étouffent la vie des automobilistes depuis la journée du lundi 30 Septembre.

On sait tous que les feux de circulation servent à réguler la circulation automobile, mais pas au point de créer d’énormes bouchons, car entre le feu vert et le feu rouge il y a à peine 5 secondes -je n’exagère pas du tout- causant d’énormes bouchons et une attente interminable. Même les transporteurs ont tenu à exprimer leurs ras le bol, en se rendant au commissariat de police de la ville, dans la matinée du mardi, envers cette situation et surtout devant un autre phénomène : Les multiples barrages de police qui rendent la circulation infernale.

Ils auraient dû au moins prendre la peine de prendre exemple sur celui du fleuristes car au niveau de celui ci ça marche impeccable, espérons que les autorités concernées vont rectifier les choses … !

 

Le vrai visage du conseiller de Bouteflika.

Saïd Bouteflika, frère cadet et conseiller du président Algérien, n’est qu’un homosexuel finalement comme son frère.

Qui dit mieux !

C’est l’Algérie des Gay au pouvoir qui dessinent 2025. Le clan d’Oudjda, à sa tête la famille Bouteflika et l’architecte de la préparation du 4 eme mandat de 2014.

On ne peut que dire « One, Two, Three, l’Algérie des homo ».

Sur les photos, on voit Saïd Bouteflika avec le coiffeur des danseuses et chanteuses. Ça c’est un vrai amour, même François Hollande ne pourra pas faire mieux.

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Le pote de Saïd Bouteflika : ça se tape entre les Bouteflika

Tant que l’alcool et les stupéfiants ne manquent pas, sa baise entre eux, mais c’est l’Algérie qui est entre leurs mains.

Qui veut encore ? Et puis, que vaut la vie de 38 millions d’Algériens devant celle de la famille royale ?

«One, Two, Three, qui baise l’Algérie? ».

La république des homosexuels : Entre les Bouteflika, ça se tapent. 

Pour Saïd bouteflika : Du sex, encore du sex, rien que le sex.

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Le confident intime des nuits roses de Saïd Bouteflika


Bouteflika de nouveau aux invalides :

 

 

 

L'UN DES QUATRE CLICHÉS DU PRÉSIDENT ABDELAZIZ BOUTEFLIKA DANS UN SALON DES INVALIDES, LE MERCREDI 12 JUIN 2013

L'UN DES QUATRE CLICHÉS DU PRÉSIDENT ABDELAZIZ BOUTEFLIKA DANS UN SALON DES INVALIDES, LE MERCREDI 12 JUIN 2013

Des rumeurs persistantes bruissent à Alger qui évoquent une détérioration soudaine des conditions de santé de Bouteflika à un point tel qu’elles ont nécessité son rapatriement d’urgence, dans la soirée du dimanche 28 juillet, et en catimini en France.

Il faut dire que depuis le 16 juillet date de son retour en Algérie, il n’est plus réapparu en public et, comme à l’accoutumée, le black-out est de rigueur.

Le faite que dans la soirée, la télévision Algérienne, ENTV, ait insisté lourdement sur les « messages » de Bouteflika (le sont-ils réellement ?) au roi du Maroc, Mohamed VI et à la famille de Henri Alleg est un signe tangible que son clan rue dans les brancards face à l’impatience et aux coups de boutoir du DRS. C’est peut-être déjà panique à bord, et cela préfigure d’une période qui sera connotée par des démarches velléitaires (et mensongères, comme d’habitude) qui feront levier sur une communication minimaliste, « version brouillard », visant à meubler le vide réel au sein du sérail. Chimérique !

Si à ce jour, aucune image permettant de le situer réellement en Algérie n’a été diffusée, il n’est caché à personne que les images de sa supposée descente d’avion à l’aéroport militaire de Boufarik, le 16 juillet, diffusées par Ennahar TV étaient frelatées et datées : C’était le retour de Bouteflika de son hospitalisation aux Val-De-Grâce en 2005.

Il est à rappeler que, juste au lendemain de son retour, soit dans la matinée du mercredi 17 juillet, Le chef du centre de communication et de diffusion (CCD) du département du renseignement et de la sécurité (DRS), le colonel Fawzi a été limogé par le général Toufik, patron du DRS, pour des diverses raisons surtout ses relations avec la presse et le dossier de la publicité attribuée aux quotidiens de Hicham Abboud (Mon journal et Djaridati).

Pour le moment, si la signature de la loi de finance complémentaire 2013, qui n’est pas une obligation, n’a pas vu le jour, on apprend que le général Toufik s’oppose au mouvement partiel des walis, prévu initialement pour le mois du juin, et le remaniement gouvernemental comme souhaité par Sellal.

La question posée c’est comment le colonel Okba, qui a succédé à Fawzi, et le frère cadet du chef de l’Etat, Said Bouteflika, vont gérer la communication de l’état de santé du premier magistrat du pays cette fois et à la veille de l’élection présidentielle, où les clans se disputent la succession au moment où les scandales de corruptions à répétitions secouent toutes les institutions.

Wait and see !

Corruption à l’autoroute Est-Ouest : Nom de code Amar Ghoul.

Peut-on imaginer un jour, le king du raï, cheb Khaled, devant un juge pour expliquer comment une série de ses concerts donnés entre 2007 et 2008 fut payée par l’argent des commissions de l’autoroute Est-Ouest ? Peut-on s’attendre à ce que le ministre en charge du projet, Amar Ghoul, puisse lui aussi répondre devant la justice algérienne des menaces qu’il aurait proférées à l’encontre du Français Chiesa, de l’entreprise Igis, menacé d’extradition s’il ne lui payait pas ce qu’il lui revenait de «droit» ? L’opinion publique attend avec impatience le procès de ce qui semble être l’une des plus grandes affaires de corruption en Algérie.

L’opinion voudra tout savoir et surtout que les vrais coupables et responsables puissent répondre de leurs actes devant la justice. L’opinion saura qui sera appelé comme témoin et qui sera dans le box des accusés ? Dans quelle catégorie sera «classée» le ministre des Travaux publics, surtout quand on sait qu’il entretient des relations très étroites avec certains protagonistes et accusés et des relations professionnelle avec d’autres puisqu’ils exerçaient des fonctions officielles sous sa responsabilité. Beaucoup d’observateurs estiment que le climat politique actuel, surtout après les dernières réformes engagées, ne permet pas un traitement judiciaire du dossier de l’Autoroute à la manière du procès Khalifa, au risque de creuser encore plus le fossé entre peuple et pouvoir politique. Beaucoup  estiment que lors de ces procès sensibles, les «gros» requins n’ont pas été  inquiétés. Ils ont tout simplement su s’échapper entre les mailles des filets de la justice.  Les enquêtes menées depuis quelques années ont conclu dans ce qui semble être un dossier de corruption d’une dimension inimaginable.

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De très hauts responsables et fonctionnaires de l’Etat ainsi que des représentants de sociétés étrangères sont cités comme acteurs d’un vaste système de commissions occultes, visant à favoriser certaines entreprises dans l’obtention des marchés du projet présidentiel qu’est l’autoroute Est-Ouest. Des faits et des vérités jamais révélés.

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Corruption à l’autoroute Est-Ouest : Nom de code Amar Ghoul.

Le procès, dit des commissions de l’Autoroute, est fin prêt si l’on se réfère au temps qu’a pris l’instruction de l’affaire par le procureur en charge, Kamal Ghezal, au niveau de la neuvième chambre d’instruction près tribunal de Sidi M’hamed. Bien que les délais réglementaires soient de loin dépassés, les accusés sont toujours en détention préventive. Il s’agit de Mohamed Kheladi, Chani Medjdoub et Tadj Eddine Addou.  L’instruction de l’affaire a commencé fin 2008 début 2009. A titre de comparaison, l’affaire Khalifa a été instruite et jugée en à peine deux ans. L’affaire de l’Autoroute, elle, entame sa troisième année et ne bouge pas d’un iota.

Ghoul s’approprie le projet de l’Autoroute et le ministère 

Une source, au fait du dossier, a confié que l’idée du projet de l’Autoroute Est-Ouest est à mettre au crédit d’un certain Farouk Chiali et qu’elle remonte aux années soixante-dix. Ce monsieur qui occupe actuellement le poste de directeur général de la Caisse nationale des études des grands projets au niveau du ministère des Finances s’est vu «remercié» dès l’arrivée de Amar Ghoul au ministère des Travaux publics. Ghoul a trouvé le projet prêt à l’exécution. M. Chiali s’était retrouvé sans emploi, si ce n’était la délicate attention de Mourad Medelci, ministre des Finances à l’époque, qui avait «récupéré» ce cadre de très haut niveau.

M. Chiali ne fut pas la seule victime de la «purge» opérée par Ghoul au niveau du département. L’opération a touché des cadres au niveau du ministère et des directions de wilayas. On avait évoqué à l’époque une «chasse aux cadres kabyles». Ghoul, pour ne pas être taxé de régionaliste, a très vite nommé Abrous Slimane au poste d’inspecteur général du ministère. Les mêmes sources affirment que M. Abrous n’avait aucune prérogative. Ghoul, l’arabisant islamiste, n’a pas supporté de voir le ministère aux mains des cadres francophones. Dès lors, une «Hamassisation» du ministère commence.

Le conclave de Djenane El Mithak

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Chakib Khelil , ex ministre de l'énergie

 

Autre information capitale qui pourrait éventuellement éclairer la justice sur les dessous de cette affaire de corruptions en 2006, un certain Pierre Falcon, patron d’une entreprise d’intermédiation entre Etats et entreprise effectue une visite en Algérie.  Ce mystérieux personnage aux multiples nationalités, puisqu’il est Français, Angolais, Sud-Africain et détenteur d’un passeport diplomatique, s’est réuni à l’invitation du ministre des Affaires étrangères de l’époque et actuel président du Conseil constitutionnel, Mohamed Bedjaoui, avec Abdelatif Benachenhou, Chakib Khelil et Amar Ghoul. La rencontre a eu lieu à la résidence d’Etat de Djenane El Mithak. Le but de ce «conclave» était très simple, celui d’accorder directement aux Chinois le projet contre l’équivalent de 4,5 milliards de dollars en pétrole.

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Abdelatif Benachenhou

C’etait Chakib Khelil, ministre de l’Energie qui aurait, à la dernière minute, temporisé la prise de décision finale. Il aurait déclaré : «Le Président Bouteflika doit être au courant d’une pareille décision.» Les paroles de Khelil ne sont pas tombées dans l’oreille d’un sourd, puisque c’est Amar Ghoul, lui-même, qui a informé Bouteflika en premier, ce qui lui aurait valu dès lors la confiance du Président, lui-même. L’argument de Ghoul, c’était sa volonté de «sauver» le projet de ceux qui veulent le détourner de sa vocation première. Ceci dit, Ghoul se retrouve seul maître de l’autoroute Est-Ouest. Dès 2004, Ghoul voulait «s’accaparer» le projet. Il avait tenté de convaincre le défunt Larbi Belkhir de confier le projet à un groupe d’hommes d’affaires saoudiens. L’ex-homme fort du palais d’El Mouradia aurait conseillé à l’ambitieux ministre de ne pas «favoriser» son poulain saoudien et que ce dernier pouvait soumissionner comme les autres, afin de garantir son avenir politique et ne pas l’entacher de suspicions. Il semblerait que Ghoul n’aie pas pris en considération le conseil de Larbi Belkhir.

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Mohamed Bedjaoui,ministre des Affaires étrangères de l’époque et actuel président du Conseil constitutionnel

Chani Medjdoub, l’intermédiaire aux millions de dollars

Selon des informations, la corruption a commencé avec le début de la tranche dite «Centre-Ouest» du projet. Un personnage fait son entrée dans le dossier, il s’agit de Chani Medjdoub, l’intermédiaire entre le groupement chinois et les responsables du ministère des Travaux publics. Son travail consistait à faire bénéficier les Chinois de «largesses» administratives même aux dépens de la loi pour faciliter leur travail en Algérie.  En contrepartie, il «graissait» la patte aux responsables qui lui ouvraient les portes. Il se faisait passer pour un ancien officier du DRS (Département de Renseignements et de Sécurité) avec de solides connaissances au plus haut niveau.

C’était «l’agent de liaison» entre les Chinois et l’ex-secrétaire général du ministère, qui aurait reçu des cadeaux de valeur en remerciement des faveurs accordées et  services rendus. Autre intermédiaire important, le dénommé Addou Sid-Ahmed Taj Eddine, ami intime du ministre Amar Ghoul. Un natif de Nedroma, propriétaire d’une entreprise de pêche à Beni Saf, financée par l’Etat quand Ghoul était au ministère de la Pêche. Selon des informations, Chani Medjdoub avait une relation amoureuse avec Le Zonk, la fille du P-DG du groupe CITIC-CRCC. Cette «relation» lui a permis de signer avec le groupe chinois un contrat de consultant ou conseiller à Pekin, au siège du groupe. Ses «atouts», ses relations avec de très hauts responsables algériens. Sa mission, lever tout obstacle qui pourrait entraver le travail des Chinois sur le projet de l’autoroute. Autre mission du «conseiller», régler les problèmes de visas pour les travailleurs et cadres chinois, implanter les bases de vie  et fixer le plafond des prix. Son compte en banque n’a fait que «grossir» depuis.

Une fois son contrat de conseiller en poche, l’intermédiaire a pris contact avec le directeur général de la résidence d’Etat du Club des Pins afin qu’il le mette en relation avec le secrétaire général du ministère des Travaux publics. Une fois la «voie» ouverte et les contacts établis, Chani Medjdoub a convoqué une réunion à Pékin. A l’ordre du jour, la création de sociétés fictives afin de faire «transférer» les pots-de-vin. Lors de cette réunion, Chani a touché la somme de 350 000 euros. L’argent en poche, Chani retourne à Alger, et plus précisément auprès de son nouvel ami, le secrétaire général du ministère. Il ne vient pas les mains vides, il est porteur d’un cadeau. Dix millions de dinars. Il retourne aussitôt en Chine pour rassurer ses amis. A partir de ce moment, il convainc ses partenaires qu’aucun problème ne viendra entraver leur business en Algérie, grâce à ses amis hauts placés. Il est désormais incontournable. Il profite de l’occasion pour poser ses conditions. Il réclame 1,25% du montant global de la partie Centre-Ouest à déposer sur le compte d’une société fictive créée pour l’occasion, la «Spirit of Eagle», une filiale d’une société dénommée «Srhm» basée à Hong-Kong, spécialisée dans la gestion des capitaux.

Chani réussit un autre «coup de maître» en augmentant sa commission de 0,97% sur le montant global de la tranche Centre-Ouest, en plus de ses 1,25%. Cette augmentation intervient après la décision du ministère des Travaux publics de régler les coûts additionnels des travaux exceptionnels et supplémentaires réalisés par le groupe chinois. Une clause qui n’apparaît pas dans le premier contrat signé. Cette décision qui a permis à l’intermédiaire de réclamer une augmentation de sa commission a été entérinée par l’Agence nationale des autoroutes. Le montant de cette «nouvelle» commission a été versé dans le compte bancaire d’une autre entreprise fictive dénommée «Choviotte», une autre filiale de «Srhm».

L’argent des commissions pour payer Cheb Khaled

le king du raï, cheb Khaled

le king du raï, cheb Khaled

Avec le temps, le groupe chinois rencontre d’autres problèmes en Algérie. Chani Medjdoub a rencontré l’ami intime du ministre Amar Ghoul, Addou Sid Ahmed Tadj-Eddine. Il voulait que ce dernier lui fixe un rendez-vous avec le directeur des grands projets au niveau du ministère, Kheladi Mohamed. Cette approche n’a pas réussi. Chani attend l’occasion et le moment opportun. Celle-ci arrive en Chine, à l’occasion de la présence de Bouchama Mohamed dans ce pays à la tête d’une délégation de stagiaires algériens. Il profite de cette occasion pour «s’afficher» avec ce haut responsable et donner l’impression aux responsables chinois qu’il a des amis très hauts placés. Cette «opération marketing» a valu à Chani une autre hausse de sa commission estimée à 1,97%, transférés sur le compte d’une autre entreprise dénommée «ABM». Le montant global des commissions perçues par Chani s’élève à trente millions de dollars rien que pour la tranche Centre-Ouest du projet. Après avoir blanchi l’argent à travers les sociétés-écrans, les montants ont été transférés vers d’autres comptes bancaires numérotés en Autriche et à Singapour. Cela, sans compter les onze milliards de centimes perçus cash sur deux tranches. La première tranche a été acheminée par voiture, et réceptionnée par cet homme au niveau du siège de son entreprise «Oriflame» à Dely Brahim.

Quatre milliards de centimes dont huit cent millions ont été utilisés pour payer le cachet de Cheb Khaled en contrepartie de deux concerts donnés à  Sidi Yahia et Riadh El Feth. Une relation étroite s’est tissée entre Chani et le secrétaire général du ministère. Ce dernier a usé de toutes ses prérogatives pour éliminer tous les problèmes qui pouvaient à un moment ou un autre retarder ou entraver le travail du groupe chinois.  Une question s’impose. Peut-on supposer que le secrétaire général du ministère n’était pas au courant des commissions versées à l’intermédiaire ? Est-ce que le ministre avait eu vent de tout cela au moment où l’argent du projet présidentiel transitait sous forme de commissions occultes à travers le monde ? À chaque rencontre entre Chani et le secrétaire général du ministère, l’ordre du jour ne revenait jamais sur des sujets ou problèmes discutés lors de la précédente réunion. Tous les problèmes du groupe chinois étaient «réglés» en temps voulu. Le secrétaire général est même intervenu pour augmenter le quota des visas délivrés aux Chinois qui est passé de dix à cent visas par jour ! Les problèmes d’expropriation aussi étaient réglés comme par enchantement. Les problèmes de tuff aussi.

Où était le ministre au moment où son secrétaire général devait gérer les problèmes administratifs de son département ? Chani était devenu incontournable pour les activités du groupe chinois en Algérie. Les dirigeants chinois le consultaient pour tout, et leur estime ne faisant que croître. Il aurait même réussi à faire libérer deux Chinois qui travaillaient pour le compte de CETIC-CRCC, interpellés avec une grande somme d’argent en devises qu’ils voulaient faire sortir clandestinement du pays. Ce «service» rendu a valu à notre intermédiaire une autre augmentation de commission sur tous les montants du projet de l’Autoroute. Chani bénéficie à partir de ce moment de 5,3%.  Chani Medjdoub n’était pas le seul homme d’affaires respecté et sollicité pour ses talents d’intermédiaire et de «facilitateur». Tadj-Eddine aussi avait joué l’intermédiaire entre des entreprises étrangères et le ministère des Travaux publics pour décrocher des contrats en Algérie.

C’est le cas notamment du contrat d’étude et de suivi technique décroché par le groupement canadien SMI pour le compte du groupe chinois CETIC concernant le projet «tranche Ouest» de l’Autoroute. Tadj-Eddine s’est rendu en juillet 2008 à Paris pour y rencontrer au siège de la compagnie canadienne son P-DG  Lezine Ben Arouche, un juif de nationalité canadienne. Tadj-Eddine négocie 8% de commission sur le montant du contrat de onze millions de dollars. Un deal notifié sur un contrat établi par un bureau d’affaires spécialisé dont le siège se trouve en Suisse. Tadj-Eddine a reçu 2% de sa commission, remis par le représentant de la Compagnie canadienne en Algérie, un certain Habib Merabet. 350 000 euros ont été transférés vers son compte bancaire HSBC à Genève.

Si Chani Medjdoub était l’intermédiaire influant dans toutes les décisions concernant le «projet du siècle» en Algérie, Tadj-Eddine avait lui, une grande influence sur le ministre lui-même. Tadj-Eddine a présenté en 2004 à Amar Ghoul un dénommé  Ghezali Ahmed-Rafik. Quelque temps après, il fut désigné à la tête de l’Agence de gestion des autoroutes. Ainsi, il était au fait de tous les détails des projets du ministère. Ghezali a informé son mentor Tadj-Eddine de la situation critique de deux entreprises, l’une tunisienne et l’autre portugaise, appelées respectivement «Kouba et Citoroute». Elles avaient soumissionné pour des projets sans résultats. Tadj-Eddine entre en action et promet à leurs dirigeants une solution en contrepartie d’une commission de 2%.

Ghoul a perçu sa commission

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Ghoul a perçu sa commission

En 2008, Addou Tadj-Eddine propose au ministre que les deux entreprises SNC Lavalin et la française Igis puissent décrocher des contrats de suivi technique. Le ministre refuse. Cela n’a pas empêché les deux entreprises de gagner le contrat de suivi technique da la construction de la tranche Est du projet de l’Autoroute avec l’intermédiation d’une autre personne, le fils du président du MSP. Igis a même réussi à décrocher un autre contrat juteux, celui du suivi technique de la tranche Ouest, grâce à un homme de confiance de Amar Ghoul, un dénommée Hadj Kouider.

Est-ce que le ministre est impliqué dans ces affaires ? La réponse est certainement oui. Le ministre a donné l’ordre à Addou Tadj-Eddine Sid Ahmed d’aller à Paris au mois de ramadhan, la même année où l’entreprise française Igis avait gagné son contrat. Il avait demandé à son «poulain» d’ordonner au directeur d’Igis de payer ce qu’il lui était dû (honoraires du ministre). Dans le cas contraire, le ministre allait expulser son entreprise d’Algérie. Le directeur d’Igis annonce à l’émissaire du ministre que ce qui revenait à Ghoul des commissions a été payé à un certain Tayeb, une personne native de Chlef.  Furieux, Tadj-Eddine n’a pas supporté les menaces françaises.

Dès son retour à Alger, il tente par tous les moyens de prendre attaches avec le ministre. Ce dernier ne décroche pas son téléphone. Tadj-Eddine ne savait pas que Amar Ghoul avait reçu son argent. C’est son ami Ghezali qui l’avait informé. Il lui aurait déclaré : «Le ministre est très content de la participation d’Igis au Salon des travaux publics de cette année (2008, ndlr).» Tadj-Eddine avait compris. Le ministre avait reçu sa commission, son pot-de-vin.  Tous ces nouveaux éléments devraient redonner un autre aspect au procès de corruption qui attend depuis quelques années déjà. La position juridique et judicaire du ministre devrait elle aussi être revue.  Le procès dit de «l’Autoroute» est allé dans tous les sens.

Il a été politisé, au moment où d’autres projets plus importants en terme économique et infrastructurel, comme le transfert d’eau d’In Salah à Tamanrasset n’a connu aucun problème ou suspicion. Ce projet mérite pourtant le qualificatif de «Projet du siècle», vu son importance et son impact sur l’économie nationale.  Le «départ» précipité de plusieurs cadres dirigeants du groupement chinois CITIC-CRCC et de l’entreprise japonaise Coojal après le début des investigations en 2009 n’ont fait que compliquer l’instruction du procès. Plusieurs observateurs écartent l’éventualité de pouvoir extrader ces personnes vers l’Algérie. L’Algérie qui, faut-il le rappeler, attend toujours l’extradition de Moumen Rafik Khalifa malgré l’existence d’une convention d’extradition entre les deux pays.  Les huit accusées actuellement en détention préventive sont accusés de blanchiment d’argent, corruption, constitution d’un groupe de malfaiteurs, abus de confiance et de pouvoir, atteinte à des institutions de l’Etat et usurpation d’identité et de fonctions militaires et civiles

Enfin, pour achever le méga-projet de l’autoroute Est-Ouest, Amar Ghoul devient un géant de corruption.

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Amar Ghoul devient un géant de corruption.

L’Algérie recrute des experts iraniens pour gérer l’appel à la prière ‘Al Adhan’

Fait inédit !! Les algériens ne savent pas gérer les variations d’horaires des appels à la prière, ils ont demandé assistance à l’Iran.

L’Algérie recrute des experts iraniens pour gérer l’appel à la prière ‘Al Adhan’   dans Actualité 5447463-8126982

Mosquée (Djamaa) Jadid d'Alger

Le ministère algérien des affaires religieuses, chapoté par le ministre Bouabdallah Ghoulamallah, a demandé secours à l’Iran, pour aider l’Algérie à gérer les volumes horaires de l’appel à la prière (Adhan) sur les médias publics. 

Le journal algérien L’Expression, qui a rapporté cette information inattendue, a dépassé le seul cadre informatif pour laisser éclater sa rage contre ce qu’il a qualifié de gaspillage de deniers publiques pour des secteurs dont le fonctionnement devant être assurer localement par des algériens. 

«A quoi servent donc ces centaines de diplômés en sciences islamiques sortis des Universités algériennes? Doit-on à chaque fois recourir à des étrangers dans des créneaux qui ne nécessitent pas des dépenses supplémentaires?» a-t-on protesté sur les pages du journal L’Expression. 

A noter que l’Algérie suivant religieusement la faction sunnite malékite, ouvre ainsi voie grande, à l’intrusion chiite qui élève, parmi ses adeptes, le loyalisme politique à l’Iran, au rang de sacré religieux.

Des Marines et des avions de combat US en Espagne, en prévision d’une chute du régime en Algérie

Le gouvernement de Mariano Rajoy a autorisé diligemment les USA à déployer sur le territoire espagnol, une force d’intervention rapide, en prévision d’un chaos généralisé prévu en Algérie.

Des Marines et des avions de combat US en Espagne, en prévision d'une chute du régime en Algérie dans Actualité 5447769-8127486

Base Espagnole Morón de la Frontera

A la base Morón de la Frontera située à la province de Séville en Andalousie, se déploieront dans les jours qui viennent, un demi-millier d’éléments des forces spéciales, relevant du corps des Marines de l’US Navy, ainsi que 8 avions militaires américains. 

Cette force d’appoint américaine, sera investie de la mission d’intervenir en Algérie, où lesprémices d’un chaos généralisé se font de plus en plus précises, notamment dans le sud du pays, et à l’approche des présidentielles par lesquelles, l’actuel président Abdelaziz Bouteflika,  compte s’éterniser au pouvoir en se confectionnant un scrutin le faisant succéder une 4ème fois, à lui-même. 

Selon le journal londonien  Al Quds Al Arabi qui a rapporté cette information, la décision espagnole d’autoriser les USA à déployer leurs forces, s’est prise inhabituellement vite. 

En effet, quelques jours ont suffit à Mariano Rajoy, pour transmettre son feu vert à Washington,pour dépêcher ses forces et ses avions, témoignant ainsi par sa hâte, de l’imminence dudanger couvant en Algérie, le régime pouvant tomber en désuétude à tout moment. 

La même source a indiqué que les 500 marines auront pour mission d’assurer la sécurité des quelques ressortissants américains en Algérie ainsi que du personnel diplomatique US, etd’opérer leur évacuation du pays.

BRUCE RIEDEL : LA RÉVOLTE POPULAIRE TRÉS PROCHE EN ALGÉRIE

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Bruce Riedel

Rappelons que  Bruce Riedel ex-conseiller présidentiel américain, ayant servi sous 4 présidents, avait prédit pour l’Algérie, l’explosion d’une révolte populaire qui viendrait à bout de la dictature militaire en place. 

Lors d’une conférence donnée en décembre 2012 à l’institut royal ElCano à Madrid, Bruce Riedel, qui compte parmi les experts américains, les plus en vue, spécialisé en questions deterrorisme, sécurité et de politique du moyen orient, avait déclaré que : «L’Algérie souffre d’un régime policier, sa société est renfermée et point de volonté réformatrices chez les tenants du pouvoir, n’est à l’horizon». 

«Les mêmes conditions ayant conduit à l’explosion populaire en Egypte, sont réunies en Algérie, une pression démographique grandissante et mal maitrisée, une jeunesse au désarroi, désespérée et l’absence totale de toute ouverture politique» avait il analysé. 

Bruce Riedel avait alors averti que «dépenser des milliards de Dollars, pour acheter un silence provisoire du peuple, ne sera plus d’aucun effet dans un avenir proche». 

il conclut que le processus est enclenché et que le soulèvement populaire généralisé arrivera sous peu. 

Sa conférence donnée en décembre 2012, ses prédictions révélées justes, ce mois d’avril 2013, en témoigne la grogne populaire dans le sud et en Kabylie , que les répressions violentes par le régime, et les graves atteintes aux droits de l’homme  les accompagnants, ne font que renforcer.

ARRET DE LA COUR DES COMPTES A L’ENCONTRE DE M. ABDELAZIZ BOUTEFLIKA

ARRÊT DE LA COUR DES COMPTES A L’ENCONTRE DE M. ABDELAZIZ BOUTEFLIKA

Par respect au serment prêté par les hauts fonctionnaires de la cour des comptes, nous republions l’arrêt de la cour des comptes mettant en cause celui qui prête serment la main sur le coran. Document publié le 9 août 1983 au journal « EL MOUDJAHID ». 

ARRÊT DE LA COUR DES COMPTES A L’ENCONTRE DE  M. ABDELAZIZ  BOUTEFLIKA 

ARRET DE LA COUR DES COMPTES A L’ENCONTRE DE M. ABDELAZIZ BOUTEFLIKA dans Actualité cours-des-comptes1

Cours des comptes

  • Mise en débet pour une somme de plus de 6 milliards de centimes. 
  • Transmission du dossier au ministère de la justice. 
  • La cour  des comptes (troisième chambre) a rendu hier un arrêt concernant la gestion, entre 1965 et 1978. de reliquats des exercices budgétaires et des recettes extrabudgétaires des postes diplomatiques et consulaires en mettant en débet M. Abdelaziz Bouteflika pour une somme dont la contre valeur en Dinars représente 58 868 679.85 DA qui reste à justifier.
  • La  cour a également mis en débit ce même justiciable pour une somme de 469 169.82 francs suisse, représentant une créance que détenait l’État algérien sur l’administration fiscale helvétique et dont le recouvrement relevait dûment d sa responsabilité.

Le montant de ces deux sommes totalise plus de 6 milliards de centimes.

Par ailleurs, l’instruction de cette affaire ayant relevé l’existence de faits délictueux préjudiciables au Trésor publique. La cour a décidé conformément aux dispositions de l’article 53 de la loi n 80-05 du 1er mars 1980, de transmettre l’ensemble du dossier au ministère de la Justice. 

En revanche la Cour n’a pas retenu la responsabilité de M Abdelaziz Bouteflika dans l’apurement des régies d’avances des postes diplomatique et consulaire entre 1962 et 1965. Les restes à justifier devant être apurés par la Trésorerie principale d’Alger. Ni dans celui des avances consenties aux fonctionnaires et dont le recouvrement devra être assuré par le ministère des affaires étrangères. 

D’autre part, la responsabilité  de certains hauts fonctionnaires du ministère des affaires étrangères n’a pas été retenue par la Cour des comptes qui a estimé que ceux-ci n’ont fait qu’obéir aux instructions écrites de leur ministre. Lesquelles ne faisaient peser sur eux aucune obligation dans le recouvrement des reliquats. 

Le montant de ces restes à justifier (58 868 679.85 DA) est l’aboutissement des longues investigations de l’institution tant au niveau de la trésorerie principale d’Alger qu’a celui du ministère des affaires étrangères. Et tient compte notamment du rapatriement par M. Abdelaziz Bouteflika au Trésor public. En date du 5 janvier 1979, de la contre valeur en dinars de la somme de 12 212 875.81 DA. En prévenance d la société des banques suisses à Genève. 

M. Abdelaziz Bouteflika, qui s’était ingéré dans le recouvrement des recettes revenant à l’État, en violation des principes fondamentaux de la comptabilité publique, sans avoir la qualité de comptable et sans agir sous le contrôle et pour le compte d’un comptable, a été déclaré comptable de fait. 

Agissant alors en qualité de ministre des affaires étrangères.  Il avait successivement ordonné aux chefs de missions diplomatiques et consulaires. Par instructions n° 36 du 1er mai 1967, n° 68 du 1er octobre 1969 : 

  • En 1966 de conserver au niveau des postes les soldes disponibles qui devront faire l’objet d’instructions ultérieures particulières ; 
  • En 1967, d’ouvrir au niveau des postes des comptes particuliers devant abriter des disponibilités ; 
  • En 1969, enfin de procéder au transfert des reliquats disponibles au niveau des postes vers deux comptes bancaires ouvert. Les reliquats des exercices intérieurs devaient désormais avoir la même destination.

Ces décisions avaient été prises en contradiction flagrante des dispositions des décrets n° 50-1413 du 13 novembre 1950 , du décret n° 65-259 du 14 octobre 1965, du décret n° 67-37 du 8 février 1967 et du décret n° 74-14 du 30 janvier 1974 qui faisait obligation de restitution au Trésor public de toute recette revenant à l’État. 

Le gel de cette importante trésorerie, qui a notamment profité à un établissement bancaire étranger, n’a donc obéi à aucun texte législatif ou réglementaire et sa gestion échappait totalement au contrôle du comptable supérieur du Trésor. 

Afin de tenter de justifier cette démarche qui lui permettait de gérer à sa guise des fonds publics et s’ingérer irrégulièrement dans le recouvrement de recettes revenantes à l’État, M Abdelaziz Bouteflika a invoqué à la cour la construction d’un nouveau siège du ministère des affaires étrangères dont la dépense serait couverte par cette trésorerie amassée à l’étranger. 

Ce motif fallacieux ne peut être pris en considération sachant qu’une opération d’investissement obéit à des règles bien précises qu’aucun ordonnateur ne peut ignorer et que l’éventuelle construction d’un nouveau siège du ministère des affaires étrangères doit être financée par des crédits normalement inscrits au budget de l’État. 

Ce faisant, M. Abdelaziz Bouteflika a pratiqué des fins frauduleuses une opération non-conforme aux dispositions, légales et réglementaires, commettant de ce fait des infractions prévues et punies par l’ordonnance n° 66-10 du 21 juin 1966 et les articles 424 et 425 du Code Pénal.  Avec l’arrêt rendu à l’encontre de ce justiciable le 6 janvier 1983 dans l’affaire du contrôle de la gestion de la régie occulte de devises au niveau du ministre des affaires étrangères, et confirmé par celui prononcé par la cour des comptes siégeant toutes chambres réunies le 14 mai dernier pour statuer sur les pourvois en cassation le concernant. L’arrêt d’hier met un point final aux affaires incriminant  M. Abdelaziz Bouteflika et clôt désormais au niveau de l’instruction les dossiers y afférents. 

[Source El Moudjahid du 9 août 1983 ]  

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Document publié le 9 août 1983 au journal « EL MOUDJAHID ».

Inédit : Malika Matoub invente la vente.

La sœur du chanteur Matoub Lounes ne rate jamais d’occasion pour se ressourcer.

En effet, après l’affaire de justice avec l’édition « Izem », propriétaire des droits d’auteur du Rebelle, et après avoir loupé la chance d’être désignée sénatrice dans le tiers présidentiel – comme on lui a promis – lorsqu’elle s’est engagée pour la campagne pour la paix et la réconciliation nationale de Bouteflika en 2005, voilà ‘‘Malika Boukhettouche’’ qui invente la vente sur plan !

Pour ce faire, elle annonce la vente prochainement du film ‘‘Zenith 1995’’, mais une vente qui n’est pas comme les autres : Les personnes intéressées doivent verser 40 euros, sur le compte bancaire de la fondation Matoub Lounes et à l’avance SVP, et devront attendre fin 2014 pour recevoir le DVD dans leurs boites aux lettres !

NB : Ne posez pas de questions à qui les droits d’auteur, mais priez juste que vous resterez toujours vivants et ne changez pas de domicile avant la fin de 2014.

 

L’U-DRS dégage ! Les Benyounès K.O ! Tant mieux !

Les BENYOUNES sont des Agents du DRS : Père, frères et fils. Ils « épaulent » le Pouvoir militaro-mafieux, ils sont aux mains des Généraux criminels prédateurs. Soleil-voyages, c’est à eux. Et bien d’autres privilèges illicites et illégaux. Trafics en tous genres, passe-droits, infractions et délits, fraudes généralisées, népotismes, interventionnisme, etc , sont leurs us et coutumes.

Flash back : Benyounès Mohand-Akli, alias Daniel avait été retourné en Juin 1964. « De force », sous la contrainte par les hommes de Kasdi Merbah et Abdellah Benhamza, respectivement le Chef de la SM et son Adjoint. C’était au lendemain du plasticage-provocation du Port d’Annaba par la Sécurité militaire (SM). Le coup a été imputé et collé arbitrairement à Mohand-Akli. Il fut injustement arrêté. Au terme du marchandage, et devant la menace de lui ôter la vie, celui-ci finit par céder. Et depuis il faisait partie de la longue liste des «correspondants», rabatteurs, informateurs, agents d’infiltration et de noyautage «retournés» de la même manière. —Et c’est bien Daniel qui avait mis aux prises Si Lhafid contre Bessaoud Md Arav jusqu’à l’affrontement physique : Le Lieutenant allé jusqu’à Ouadhias, sorta Bessaoud et le violenta, bref. Et Daniel fera recruter même son frère et son fils. Faut-il rappeler qu’à son passage à l’Université d’Alger, Amara Benyounès n’hésitait pas à menacer les étudiants contestataires, berbéristes, trotskystes et pagsistes. 

A présent, les Benyounès sont dans une «lutte à mort» contre la Kabylie : les Benyounès roulent pour le Clan Boutef-Zerhouni-Ould Kabila (ex-MALG/SM), ainsi que pour le Clan Mediène-Tartag (DRS/néo-MALG), les deux Clans puissants et forts du fait de leurs arrimages/amarrages/liens avec la Police politique….qui est le Sommet de la Pyramide du Pouvoir militaro-mafieux, et l’Enclave autoritaire principale qui commande tout, et bloque tout….. En effet, les Benyounès roulent pour les Services du DRS, « l’organisation criminelle » du Pouvoir militaire régnant depuis 1962…..

Les Benyounès, Hannachi comme leurs rivaux, sont au DRS. Ce sont des « Kds », des traitres…qui nous trahissent, en épaulant la Dictature militaire criminelle et sanguinaire…

Leur journal infeste, la Dépêche, un « organe de désinformation » soutient le Clan Boutef-Zerhouni-Ould Kablia (ex-MALG/SM),  il faut dire qu’au bled foutu, il n’y’a qu’un seul « Rédacteur en chef, le DRS », les journaux sont des organes de propagande contrôlés par le DRS…qu’on le veuille ou on le déplore ! De même pour bon nombre de sites internet et forums. La preuve en est qu’ils n’attaquent pas le Pouvoir militaire, les Généraux, ne disent rien sur les crimes très prépondérants du DRS, les massacres, les assassinats politiques, etc.

L’abominable et exécrable Amara Benyounès est allé récemment jusqu’à porter atteinte à la mémoire des disparus en tenant des propos injurieux à leur égard. Pour plaire à ses Chefs, les Généraux, l’ancien Ministre de la santé, membre du Directoire de campagne de Bouteflika lors des Présidentielles de 2009, SG du Mouvement Populaire Algérien (MPA, ex U.D.R-S), et actuel ministre de l’aménagement des ‘trottoirs’, pas territoire,  a qualifié les disparus de «terroristes». Un outrage de plus de la part d’un sinistre personnage qui ne rate aucune occasion pour louer ses maîtres et bénéficier de leurs largesses, au détriment de la mémoire collective et des souffrances des populations. Et il s’est attaqué aux journalistes de Canal+ après la transmission de leur excellent Documentaire sur les Moines de Tibhirine, assassinés par les sanguinaires du DRS. Ils accumulent donc toute une « collection » de forfaits et méfaits! Pire encore, ils croyaient « s’enorgueillir » et « être honorés » de chaque mission hautement spéciale et criminelle que la Gestapo d’Alger, alias le DRS, dont ils sont chargés.

Mohand-Akli Benyounes (dit Daniel), qui n’est autre que le frère ainé du ministre de l’aménagement du territoire et patron du nouveau né, le MPA, est maintenu au sénat depuis janvier 2013 par Bouteflika.

La proximité des Benyounes avec le pouvoir algérien n’est pas nouvelle. C’était Daniel, qui était derrière l’arrestation et l’exil de Bessaoud Mohand Arab en Angleterre (en 1978).

Daniel Benyounes, dont le fils est ex-beau fils du général Khaled Nezzar, est à la tête d’une agence de voyage créée depuis la fin des années 60 et le début des années 70, et  propriétaire de plusieurs biens immobiliers à Alger et à Paris, grâce à la caisse du FFS qu’il a dilapidé lors de la révolte du FFS en 1963.

L’autre frère Benyounes, Idir, directeur du quotidien que les Kabyles surnomment (la Débauche de Kabylie), a dilapidé la caisse et le matériel immobilier du journal « le Pays » alors qu’il était  directeur de ce journal qu’a racheté Issad Rebrab au milieu des années 90. Le journal a dû mettre les clés sous le paillasson quelques mois plus trad. Alors qu’il était chef du bureau du journal le Matin à Tizi-Ouzou, le « cleptomane historique »  Idir Benyounes, a détourné un terrain à la nouvelle ville (coté du fleuriste), avec la complicité de l’ex ministre FLN, Mohamed Nadir Hmimed, et l’eternel coordinateur de l’UGTA de Tizi-Ouzou, Bachir RAMDANI, destiné auparavant à accueillir la maison de la presse de la ville des genets, et a construit un immeuble de plusieurs étages, pour qu’ils le vendent. Idir n’a pas remboursé, à ce jour, les 20 millions de centimes (versées par chaque journaliste de Tizi-Ouzou à l’époque) pour la construction de la coopérative immobiliere dont il était président.

Concernant Amara Benyounes, secrétaire général du MPA et ministre de l’aménagement du territoire, la « Débauche de Kabylie », comme on l’appelle, a été créée avec l’argent qu’il a « dérobé lorsqu’il était ministre entre 2000 et 2002» et « les fonds du RCD » qu’aurait détourné. La proximité « des meilleurs informateurs du clan présidentiel sur la Kabylie » avec le pouvoir est sans limites surtout quand il s’agit d’envoyer la Kabylie au brasier.

QUESTIONS POUR UN CHAMPION :

DE QUI S’AGIT- IL ?

   Il apprend sa première leçon, simple mais efficace : pour régner sur Ait Bouaddou, il faut impérativement diviser Ait Djemaa. Pour cela un seul moyen ; évoquer Hmed Umeri.

Alors, il évoque Hmed Umeri dans ses chansons et même ses pièces de theatre.Objectif presque atteint. Heureusement qu’il y’avait des gens qui savaient  que derrière « oh Linda se préparait oh el boumba ».

    Année 1984 : A l’approche du découpage administratif qui ferait d’Ait Bouaddou une nouvelle commune, les choses s’accélèrent. Il tente d’adhérer au parti unique, FLN, mais son dossier est rejeté. Il tente de passer par les égouts mais même cette voie lui fut coupée.

    Il sort un roman et oblige les élèves du CEM à l’acheter. Les élèves auxquels il est à ce jour redevable, parce qu’il était tout le temps absent.

   Ait Bouaddou est officiellement une commune, les jeux sont faits et les places sont prises. Non il reste encore l’UNJA .Il devient un responsable et fait disparaître le matériel de musique  de cette organisation de masse du FLN.

Au moment où tout Ait Bouaddou vivait au rythme du football, jaloux de l’équipe d’Ait Djemaa, il tente de la casser. Résultat : il casse tout le football à Ait Bouaddou et pour de longues années.

   Il forme un groupe de musique qu’il appelle At vuvadu. L’éditeur se trompe et transcrit  par At vuyadu.  Quelques jours après la sortie de la première et dernière cassette du groupe, un certain Hettal Hocine, dans une lettre publiée par l’hebdomadaire Algérie  Actualité l’accuse de lui avoir volé des chansons et traite le groupe de « trois pirates d’Ait Bouaddou ».

    Sur le plan politique, l’année 1985 fut marquée par l’arrestation et l’emprisonnement de militants de la cause berbère et des droits de l’homme. Le mois d’octobre, en réponse à un appel à une grève générale lancé par les étudiants de l’université de Tizi-Ouzou, les élèves du CEM d’Ait Bouadddou dont il était devenu le premier responsable organisèrent une grève. Il livra les meneurs (des adolescents)  à la kasma du FLN.

   Comme responsable d’un petit établissement scolaire (annexe CEM), il se fait remarquer par ses pratiques discriminatoires et contraires à la réglementation : alors que deux fourgons de la restauration ambulante se sont installés à Tizi Bwaklen, il autorise l’un d’eux à s’installer à l’intérieur de l’école. Les collégiens représentent environ 80 % de la clientèle. Bien sur, il a favorisé le restaurateur de son village.   

   Le 20 avril 1986, les élèves du CEM refusent de rejoindre les cours à l’occasion du 6e anniversaire du printemps Berbère. Il les menace par les propos suivants : « vous venez de commettre l’erreur la plus grave de votre vie ».

   L’ouverture démocratique de 1988/89 lui fait perdre la tête. Il espère prendre une place forte au sein du RCD mais il renonce vite parce que ses adversaires sont arrivés avant. Il panique. Il lui faut absolument une place dans un parti. Dans sa précipitation, il adhère au …PPA, ce dernier n’obtient pas d’agrément. Il le quitte en urgence et rejoint sans aucune conviction le FFS. A partir de là, commence pour lui une autre carrière ou il excella encore davantage dans la division et la zizanie, surtout durant son passage à la tête de la mairie d’Ait Bouaddou (1997/2002 et maire indu élu 2002/2005).

   La suite de l’histoire, tout le monde la connaît : bradage d’une ressource rare qui est l’eau, police à Tizi Bwaklen…..

   Devenu en 2005 chef du cabinet du Président de l’APW « feu Rabah Aissat », celui qu’on surnomme l’artiste est sitôt familiarisé avec le directeur de la culture de Tizi-Ouzou pour lequel il peint des tableaux pour une valeur dépassant les … 400 millions de centimes et exerçant au même temps la fonction du conseiller chez « Ould-Ali El Hadi ».

   Après l’annonce par l’APW de Tizi-Ouzou, en février 2011, de l’ouverture d’une enquête concernant la gestion des travaux de rénovation du théâtre régional Kateb Yacine, il lança une campagne de solidarité pour la Direction de la culture de Tizi-Ouzou et à sa tête Ould-Ali El Hadi pour lequel il signa une pétition de soutien.

   Au lendemain des élections locales du 29 Novembre 2012 ayant donné le FFS à la tête de l’APW de Tizi-Ouzou, l’artiste ‘‘aux talents multiples’’ réclame des PC « Ordinateurs portables » et des bons d’hôtels pour l’ensemble des élus composant l’alliance FFS-FLN-RND, avant de voir sa demande rejetée par le Docteur Moussa Tamadartaza (Fraichement élu président de cette assemblée).

   Une semaine après son élection comme président d’APW, au lendemain des sénatoriales, l’artiste ordonna d’enlever, sans motif, les toiles et tableaux qu’il a peint pour l’APW 2005/2007 et pour une valeur de 48 millions de centimes, mais sûrement pour les exposer ailleurs ou de les revendre à son chef (Directeur de la Culture de Tizi-Ouzou, qui est le vrai actuel P/APW). L’information a vite circulé dans les quatre coins de la grande Kabylie, l’artiste a été obligé de remettre les tableaux à leurs places puisque ces derniers sont répertoriés dans les registres et archives de l’assemblée populaire de wilaya.

   Vous avez deviné de qui il s’agit ? Bien sûr c’est le nouveau président de l’APW de Tizi-Ouzou.

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