Le prince milliardaire saoudien Walid Ibn Talal a mis toute sa puissance pour peser contre la décision de Microsoft d’intégrer de la langue tamazight dans Windows 8. Pourquoi tant de haine ?
Ce petit-fils du Roi Abdelaziz ben Abderrahman Al Saoud est du côté de sa mère, le petit-fils de Riad Solh, l’un des fondateurs du Liban arabe moderne et l’un des héritiers du fondateur de l’Arabie Saoudite. Le Prince Al Walid pèse 20 milliards de dollars. Il représente la 26ème plus grosse fortune mondiale, d’après le magazine américain Forbes.


Walid Ibn Talal qui bénéficie des largesses des démocraties occidentales, règne en maître par ses investissements en Afrique du Nord.
Le Roi Mohamed 6 l’a décoré en novembre 2011 « du grand cordon du Ouissam Allaouite ».
François Hollande inaugurait encore à ses côtés le 20 septembre dernier le département des Arts Islamiques au Musée du Louvre.
Ce grand ténor du capitalisme mondial est aussi le bâtisseur de la mosquée de Zine el-Abidine Ben Ali en Tunisie ! Récemment, Walid Ibn Talal a injecté la somme de 300 millions de dollars sur le compte de Twitter.
Plusieurs pages facebook ont dénoncé le milliardaire saoudien.
Si ce n’étaient les puissances occidentales et les Mecquois qui gèraient leurs pays et les guidaient personne ne parleraient des « pays dits arabes ».
Oui, tous les Kabyles doivent comprendre que notre culture est convoitée par les occidentaux comme par ces féodaux de l’Orient. Il ont le ventre à la place de cerveau, barillets de pétrole. Ils n’ont jamais accepté un Algérien amazigh non converti à l’islam et à l’arabité. Le modèle du vrai homme libre n’est jamais pris en exemple dans leur société.
Ne vous étonnez pas si personne ne parle suffisamment de cet événement en Algérie. Ne vous étonnez pas de ne pas voir de collaborateurs algériens à ce projet.
Les Monarchies d’Orient ont peur des savants Nord Africains. L’homme amazigh se bat pacifiquement, doucement mais sûrement, la tête haute, sans jamais courber l’échine.
Les marionnettes d’Orient, pensent avec leur ventre remplis et leurs cœurs remplis de haines.
Rappelez-vous d’Aksel. Il était le chef des armées de la reine Kahina. Durant les conquêtes arabes pour islamiser l’Afrique du nord, il affronta en duel leur chef Okba Ibnu Nafaa et le tua. Les Arabes n’ont jamais pu avaler que leur héros soit abattu par un amazigh. La soif de revanche sur la culture berbère ne s’est jamais estompée !
Rappelez-vous quand les pays arabes ont aidé Ben Bella exigeant de lui en retour la négation de nos racines berbères dès 1962 avant même son pitoyable discours « Nous sommes tous des Arabes »