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Le parlement Algérien rejette la nouvelle Constitution de Bouteflika.

Sans aucune surprise et comme il fallait bien s’y attendre, les parlementaires Algériens ont rejeté, avec la grande majorité, le texte de la nouvelle Constitution, proposé par le Président Abdelaziz Bouteflika.

Présenté par le premier ministre Abdelmalek Sellal, le nouveau projet de révision de la Constitution qui devait mettre en œuvre l’avènement d’une deuxième République et un Etat civil, a été rejeté sans surprise, par les parlementaires des deux Chambres du Parlement (APN et Conseil de la Nation), convoquées à cet effet en congrès, le 30 janvier dernier, malgré les réserves fournies sur l’avant projet de cette Constitution, par le Conseil Constitutionnel présidé par Mourad Medelci.

Sans aucune surprise et comme il fallait bien s’y attendre, les parlementaires Algériens ont rejeté, avec la grande majorité, le texte de la nouvelle Constitution, proposé par le Président Abdelaziz Bouteflika

Sans aucune surprise et comme il fallait bien s’y attendre, les parlementaires Algériens ont rejeté, avec la grande majorité, le texte de la nouvelle Constitution, proposé par le Président Abdelaziz Bouteflika

La discussion générale sur le projet s’est engagée ce matin plus tard que prévu du fait de l’examen des deux motions de procédure de vote, déposées par les députés des partis de la coalition, à savoir le FLN et le RND. Les travaux de ce congrès se sont déroulés au Palais des nations, sous la présidence du président du Parlement, Abdelkader Bensalah (du RND), et en présence de Mohamed Larbi Ould Khelifa (FLN).

Et finalement, Bouteflika n’aura pas sa troisième Constitution, en l’espace de seize ans seulement, après celle de 2002 et celle de 2008. Le vote qui s’est déroulé à mains levées a vu les parlementaires qui composent l’alliance FLN, RND, MPA et TAJ se prononcent, à l’unanimité, contre ce projet fondamental de la Nation.  

Sans aucune surprise et comme il fallait bien s’y attendre, les parlementaires Algériens ont rejeté, avec la grande majorité, le texte de la nouvelle Constitution, proposé par le Président Abdelaziz Bouteflika

Sans aucune surprise et comme il fallait bien s’y attendre, les parlementaires Algériens ont rejeté, avec la grande majorité, le texte de la nouvelle Constitution, proposé par le Président Abdelaziz Bouteflika

Un coup dur pour le premier ministre et son gouvernement : Sur les 606 parlementaires qui siègent aux deux chambres (462 députés et 144 sénateurs), le projet cher à Bouteflika n’a recueilli que les voix d’une centaine de parlementaires composés essentiellement du plus vieux parti de l’opposition-soumission, le FFS, de l’alliance de l’Algérie verte (partis islamistes) et la moitié du parti des travailleurs PT de Louisa Hanoune qui a rejoint la veille ce groupe pour cautionner cette démarche.

Les premières réactions n’ont pas tardés. Pour Mohamed Djemai, chef du groupe parlementaire FLN, la question ne devait même pas se poser. Le message est très clair : Le gouvernement de Sellal doit présenter sa démission et un débat général et portes ouvertes seront organisées pour mettre en place un texte solide. Même réponse du coté de Baha Eddine Tliba, vice président de l’APN, qui publie sur sa page Facebook un message de félicitations et de remerciement à tous les Algériens qui lui ont fait confiance et de rajouter « On ne peut pas laisser place à ces hommes d’affaires, groupés sous la forme du FCE sous la présidence de l’intrus Ali Haddad pour vendre ce pays avec leur politique de droite ».

 De son coté, Seddik Chihab, député RND d’Alger, déclare : « Le texte de la nouvelle Constitution, tel qu’il est proposé, ne garanti pas les droits des homosexuels en Algérie, et on est nombreux… Même le droit des animaux, à l’image de l’aile défendue par mon ami Miloud Chorfi, doit être garanti…».

Pour sa part, Louisette ighilahriz, fraichement nommée au tiers présidentiel au Conseil de la Nation, elle est très claire : « Ma position est la même que celle de mes frères d’armes, Yacef Saadi et Zohra Drif Bitat, qui nous manquent aujourd’hui, lors de ce vote. On n’a pas combattu le colonialisme Français pendant 7 ans, pour qu’aujourd’hui on vient nous imposer l’article 51 sur les binationaux… Je suis contre ».

Si les autres partis refusent de commenter, le chef  du MPA, connu sous le Mouvement Pour l’Argent, Amara Benyounes qui n’est autre que l’ancien ministre du commerce, n’a pas été doux avec le régime et déclare lors d’une conférence de presse animée juste à la sortie du Club des Pins : « Nous l’avons dit et on le répète ; il faut sauver la Nation et je demande officiellement, au nom de mes collègues patriotes, l’application de l’article 88 de la Constitution et la destitution du Président de la République de toutes ses fonctions.  Allah yarham echouhada et je dis inaal bou li mayhabnache». 

Sans aucune surprise et comme il fallait bien s’y attendre, les parlementaires Algériens ont rejeté, avec la grande majorité, le texte de la nouvelle Constitution, proposé par le Président Abdelaziz Bouteflika

Sans aucune surprise et comme il fallait bien s’y attendre, les parlementaires Algériens ont rejeté, avec la grande majorité, le texte de la nouvelle Constitution, proposé par le Président Abdelaziz Bouteflika

Binationaux, et alors !

Dans notre histoire d’enfants d’immigrés, de Français avortés, d’indigènes de France, il a manqué quelques éléments de compréhension de chaque part. 
Du côté des blancs, nos « référents » (professeurs, éducateurs, médecins, voisins) pensaient tous que nous étions différents. 
Et surtout ils pensaient que chez nous, c’était là-bas! Alors que dans ma tête de gamin de 7 ans, chez moi, c’était ici! Je ne connaissais que ça. 
Enfin pas complètement, il y avait les vacances au bled, mais comme le petit Marcel décrivait ses vacances à la campagne ! Chez moi, c’était mon quartier encore très mixte, très multiculturel. Et comme chez nous, c’était ici et un mois par an, là-bas, on avait dénommé notre quartier Dallas. 
Mais il y avait toujours cette chose bizarre qu’on me disait que je ne comprenais pas tout à fait : « c’est comment chez vous ? ». C’était surement bizarre parce que dans mon esprit de gosse, il n’y avait pas de rupture radicale entre chez moi et dehors. Dehors, c’était dehors et chez moi, c’était l’appartement, rien d’autre. 
Mes parents, malgré l’usage de l’Algérien à la maison, ne m’ont jamais dit « chez eux ». 
C’est peut-être pour ça que je n’ai jamais compris l’altérité qu’on m’opposait, sur laquelle on me questionnait. Ce que je connaissais, c’était dar « la maison » et licoule “l’école” avec une exigence à l’excellence très marqué par papa. 
Donc, nous étions des écoliers tout à fait normaux, même si à l’époque, nos enseignants (pas tous) portaient un regard très différent sur nous de part nos origines. 
Mais dans nos têtes de mômes, du moment que nos amis nous voyaient comme leurs pairs, les grands pouvaient nous ignorer, ça ne nous touchait pas. 
Par contre, lorsqu’ils étaient injustes et qu’ils nous maltraitaient, ça nous marquaient à vie, comme tout enfant, je suppose.
Maman portait un foulard traditionnel Algérien, elle ne sortait jamais sans papa. Elle recevait à la maison les voisines et la famille, mais était très peu autonome. 
Plus tard, elle nous a expliqué, à mes sœurs et moi le pourquoi de cette réclusion domestique. Alors qu’elle était jeune, fraîchement arrivée du bled et heureuse de découvrir la France, elle est sortie au centre Bernard Palissy avec des amies. Elle avait l’air de passer un bon moment selon ses dires. 
Je ne sais pas si elle nous a tout raconté ou si elle a conservé une partie trop brutale ou honteuse de l’histoire pour ne pas nous heurter ou par pudeur. 
Mais un policier zélé leur (elle était avec des amies) a fait un contrôle d’identité marquant. Assez marquant pour la dissuader, tout le reste de sa vie, de retenter cette sortie au centre commercial à 500 m de la maison.
Alors voilà comment cette gosse Française (ma mère) a compris que dans le regard de l’autre, du blanc, elle n’était pas une vraie Française. 
C’est douloureux certes. 
Très douloureux. 
Un peu comme avec le rapport à la mère et la nécessité de « tuer » la mère symboliquement en psychanalyse, et bien là, j’ai dû aussi haïr ma mère patrie, celle qui m’avait déçue, celle qui rejetait ce que j’étais pour pouvoir mieux m’émanciper de l’altérité, cet handicap, qu’elle me renvoyait à la figure.

D’ailleurs, je me rappelle de cette crise autour de mes seize ans. Je faisais un exposé dans mon lycée peu mixte sur les illusions d’optique. A la fin de l’exposé, j’ai dit:
« Nous, Français, nous percevrions la chose de la manière suivante. » 
Et là, Manu, un copain de classe, que j’aimais bien et qui adorait faire le clown en classe me reprit :
« chez nous ???? »
Je n’avais pas compris tout de suite pourquoi sa réaction avait entraîné l’hilarité générale de toute la classe.

« Hahaha »

C’était terrible, j’ai ri amèrement aussi pour « sauver » la face. 
Quelle face ? 
Celle de « gnoule » qu’on venait de me renvoyer, ou celle du groupe qui était entrain de rire d’une blague raciste.
Encore cette fichue différence.

Elle est là, en eux. 
Elle est en eux cette différence, pas en moi. 
C’est leur regard qui était biaisé par des générations de racisme national et colonial, pas le mien.

Sinon comment expliquer que mon histoire est l’histoire de France. Mes références étaient Françaises à cet âge là. 
Ma culture extérieure était Française. 
Et là, comme un affront, ce pote me disait que je ne faisais pas parti de son groupe.
Ce rejet a eu raison de mon sentiment d’appartenance. 
Et au bout du compte, j’ai détesté la France comme elle m’a détesté et rejeté. Je le disais à ma famille. Comme si j’avais une autre alternative !
Alors cette année là, en juillet, lorsque nous sommes montés dans la camionnette familiale pour descendre au bled, c’est comme si j’allais enfin me retrouver chez moi. J’étais heureux, excité, à l’idée de conforter mon sentiment d’être d’ailleurs.

Ah le bled!
Là bas, au moins, mon physique fait de moi un Algérien. 
Là-bas, je serai chez moi !
Le voyage en France fût clément, loin des chaleurs caniculaires habituelles. L’été était pluvieux, ce qui faisait que nous n’avions pas besoin d’allumer le mini ventilateur qui se situait sur le tableau de bord et de me tordre le cou afin de saisir un peu de fraîcheur. On avait même tellement froid par notre immobilisme que nous partagions les quelques centimètres carré de couverture qui étaient emmené au cas où. 
L’attente à Marseille était d’une nuit. Je suis resté sur le port à contempler les reflets de l’eau et je pensais à mon année scolaire, à mes vacances passées et à ce que ça changeait d’aller au bled en étant un jeune gosse. 
Je m’endormais sur ce sentiment de toucher la paix de près.
La paix intérieure.
Appartenir à un lieu, à une histoire…

Le lendemain, nous embarquions.
Et le passage du trajet le plus détestable pour moi est de se retrouver parqué dans cette soute de bateau. 
Il y règne une odeur à vomir. 
Alors je me presse un bout de vêtement sur le nez en attendant de sentir l’air marin sur le pont.
Nous sommes arrivés à Alger.
Ah Alger la blanche ! 
On la sent tout de suite l’Algérie.
C’est différent. 
Dépaysement total.

Le passage de la douane est toujours une épreuve pour papa et son porte monnaie. Quelle bande de rapaces ces douaniers! Ils extirpent aux vacanciers autant qu’ils le peuvent.
Les voilà, à la fin de la journée avec au moins 5 ou 6 fois leur salaire mensuel. 
J’ai toujours eu un profond mépris pour ces hommes qui usent de « rachoua » (corruption) sans aucune gêne. Et pour chaque enfant de voir son père obligé de participer à cette corruption est juste insupportable. Avec leurs gros bidons pleins d’alcool, ils se tiennent fiers comme des piquets. 
Ils n’ont pas le sens du devoir mais le sens cupide est exacerbé chez eux. 
Ils se foutent de la loi ou du bien commun. 
C’est peut-être pour ça qu’ils ne sont pas prêts, les Algériens au pouvoir, à un Etat démocratique après tout. 
Ca demande le dépassement de la conscience individuelle.

La douane passée, nous voilà posés dans un parking pour aller prendre le fameux petit déjeuner rifain. 
Un vrai délice, des galettes de blé tendre, du thé bien sucré et brulant. 
Papa se lâche au bled, en Algérie, et nous offre ce qu’il ne peut pas offrir en France à sa grande famille. En Algérie, on connaît les joies d’une sortie au resto ou d’un brunch familial. Qu’est ce que c’est bon d’y gouter là où papa et maman sont chez eux.

En retournant à la voiture, deux hommes d’une vingtaine d’années, nous (ma sœur et moi) examinent du regard. Je vois bien leur regard se poser sur ma sœur et moi, mais je pense que c’est des dragueurs et je n’y prête pas attention. Ma joie est trop grande d’être « chez moi ».

Et là, un des gars se retourne et lâche:
« Z’magra wellou lbladkoum » (Les immigrés rentrez chez vous).

Le choc fut terrible. 
Toute la rage que je venais d’abandonner en France a ressurgi. 
Quoi ? 
Moi?
Immigré en Algérie ?

Je venais de me prendre en pleine face ce que les blancs pensaient souvent mais ne disaient pas aussi brutalement. 
Sans gants, sans retenue, il venait de faire de moi un apatride. 
Je n’étais pas chez moi là bas non plus.

Tout d’un coup, je venais d’apercevoir, que chez nous, là bas, au pays des droits de l’Homme, c’était les lois du droit du sang et du sol, de la déchéance de nationalité qui se discute.

Chez nous, ici, la nationalité se limite, selon certains, qui se proclament plus patriotes que les autres !

Chez nous, là bas, au pays de l’égalité, la réforme constitutionnelle annoncée et l’introduction de la déchéance de nationalité pour les nés en France, heurte de plein fouet l’idéologie et la morale : non-discrimination, société ouverte et multiculturelle.
Elle met en place une différence juridique fondamentale entre deux catégories de Français : Nous, les binationaux, issus de l’immigration, et les autres, eux, Français d’origine.
Les premiers pourront être déchus de leur nationalité Française, et non les autres. Elle est donc strictement à l’opposé de toute la morale actuelle fondée sur l’égalité des droits, la non-discrimination, le rejet de la distinction entre Français immigrés et d’origine.

Chez nous, ici, je vois qu’un jour, un législateur rancunier, ira jusqu’à proposer de priver ces citoyens à double nationalité de leur droit de vote, car après tout, la Constitution a bien inféré qu’ils ne sont Algériens qu’à moitié». Et c’est ainsi qu’un climat d’apartheid sera établi. Le spectacle est terrifiant, apocalyptique.

Je laisse le soin aux futurs générations, enfants d’immigrés, indigènes indignés, comme nous tous, de sauver la nation.

 

Binationaux, et alors !

 

La contradiction de l’ancien article 51 et de son amendement tel que proposé !

ARTICLE 51 : L’égal accès aux fonctions et aux emplois au sein de l’Etat, est garanti à tous les citoyens, sans autres conditions que celles fixées par la loi.

La nationalité algérienne exclusive est requise pour l’accès aux hautes responsabilités de l’Etat et aux fonctions politiques.

La contradiction de l’ancien article 51 et de son amendement tel que proposé ! ARTICLE 51 : L’égal accès aux fonctions et aux emplois au sein de l’Etat, est garanti à tous les citoyens, sans autres conditions que celles fixées par la loi.  La nationalité algérienne exclusive est requise pour l’accès aux hautes responsabilités de l’Etat et aux fonctions politiques.

La contradiction de l’ancien article 51 et de son amendement tel que proposé !
ARTICLE 51 : L’égal accès aux fonctions et aux emplois au sein de l’Etat, est garanti à tous les citoyens, sans autres conditions que celles fixées par la loi.
La nationalité algérienne exclusive est requise pour l’accès aux hautes responsabilités de l’Etat et aux fonctions politiques.

Le vrai visage du conseiller de Bouteflika.

Saïd Bouteflika, frère cadet et conseiller du président Algérien, n’est qu’un homosexuel finalement comme son frère.

Qui dit mieux !

C’est l’Algérie des Gay au pouvoir qui dessinent 2025. Le clan d’Oudjda, à sa tête la famille Bouteflika et l’architecte de la préparation du 4 eme mandat de 2014.

On ne peut que dire « One, Two, Three, l’Algérie des homo ».

Sur les photos, on voit Saïd Bouteflika avec le coiffeur des danseuses et chanteuses. Ça c’est un vrai amour, même François Hollande ne pourra pas faire mieux.

Le vrai visage du conseiller de Bouteflika. dans Algérie 545258_522049717873369_1746331808_n1

Le pote de Saïd Bouteflika : ça se tape entre les Bouteflika

Tant que l’alcool et les stupéfiants ne manquent pas, sa baise entre eux, mais c’est l’Algérie qui est entre leurs mains.

Qui veut encore ? Et puis, que vaut la vie de 38 millions d’Algériens devant celle de la famille royale ?

«One, Two, Three, qui baise l’Algérie? ».

La république des homosexuels : Entre les Bouteflika, ça se tapent. 

Pour Saïd bouteflika : Du sex, encore du sex, rien que le sex.

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Le confident intime des nuits roses de Saïd Bouteflika


SCOOP AU FFS.

Le 20 Aout 2013, c’est Brahim Meziani le sénateur FFS de la wilaya de Bejaia qui a profité de la visite du premier secrétaire national du FFS, Ahmed Bétatache à Ifri Ouzellaguen pour inaugurer sa permanence parlementaire qui se situe juste à coté du siège de la section d’akbou. Ya dra, que sera la durée de vie de la permanence de Brahim Meziani ? Pourra-t-elle dépasser celle de Chafaa Bouaiche qui a déjà fermé ses portes juste après 8 mois d’ouverture?

Le consensus est fait à Béjaia : Pour un parti coupé de la société, les garages seront plus rentables avec un registre de commerce  »CAFÉ » !

REMAQUE : Le ledit sénateur a décidé seul (de faire semblant) d’ouvrir la permanence, il n’a informé ni la fédération ( Béjaia ), ni même pas la section d’Akbou qui est à quelques trentaines de mètres. 

Voici une photo prise lors de l’inauguration de la permanence d’Akbou, avec des membres de la direction.

SCOOP AU FFS. dans Algérie ffs

Remarque, avec l’égyptien Betatache tout est possible.

 

C’est grave messieurs : « Permanance » ce n’est pas un mot français, moi je connais permanEEEEEEEce avec E pas avec A. Un peu de respect pour la langue française.

Remarque, avec l’égyptien Betatache tout est possible.

Palme d’or du Festival de Cannes: Après le mariage pour tous, le cinéma pour tous l’emporte.

Palme d'or du Festival de Cannes: Après le mariage pour tous, le cinéma pour tous l'emporte. dans Actualité presidium-ffs

Mohand Amokrane CHERIFI, Ali LASKRI, Rachid HALET, Saida ICHALLAMENE et Aziz BALOUL composent le Présidium.

Le Front des Forces Socialistes (FFS) a visiblement tremblé une nouvelle fois, tôt durant la matinée du 25/05/2013 sous le chapiteau au moment du déroulement du cirque payant à Zeralda, où une secousse tellurique de magnitude 5,1 sur l’échelle de Nebou, un soumis illettré de tous les temps.

Le tremblement a été ressentie dans toutes les régions, ainsi que dans d’autres pays notamment l’Europe, et l’Amérique où existe une forte concentration de la communauté Algérienne. Le premier bilan fait état de plusieurs blessés sur le plan moral et ce, suite à l’annonce des membres du présidium. Par ailleurs, une vieille carcasse aux sentiments faibles s’est effondrée, partiellement pleurniche en cachette derrière le chapiteau mis en place.

Le Centre de recherche en astronomie politique situé à Lausanne, situe l’épicentre de la secousse au même endroit que celui du 2007. Soit à 6 km ouest de Zeralda, plus exactement à coté de oued Mazafran. Selon le Premier ATEVELOUCHE, ce n’est pas la première fois une secousse d’une telle magnitude se produit dans la même zone depuis 1990. La première d’une magnitude de 10,1 sur l’échelle de Djeddai & Cie a eu lieu en 2007.

Pour rappel, ces dernières décennies, plusieurs secousses de faibles magnitudes ont été enregistrées. D’après certains spécialistes, ces séries de secousses ont débutées depuis le retour de Mr Fax vers le pays des verdures et des rivières.

L’origine de l’instabilité du sol mis en place par un Bulldozer conduit par un conducteur d’Ait Bouadddou sur lequel la structure s’est basée le FFS, est derrière les causes de ces événements sismiques.

Sans doute, d’autres répliques sont à prévoir dans les mois à venir.

A l’heure de la rédaction de ce présent article, on nous signale par cellulaire 5G qu’il y a eu des dégâts sur le plan psychique des 1040 porteurs de badges de couleurs bleu ciel. Information confirmée par un organe auxiliaire de Cheraga travaillant dans les coulisses proche du cabinet noir, dont le siège est situé à El Mouradia. Un organe de régulateur des secousses et des répliques.

Par ailleurs, cela n’a pas été sans créer un mouvement de panique chez les participants venus en grands nombres des hauteurs de la grande et de la petite Kabylie.

Afin de parer à toute éventualité en pareille circonstance, par mesure de sécurité, en craignant d’autres répliques d’une importance particulière, les nouveaux recrus quittèrent le chapiteau pour se retrouver dehors. Fort heureusement, cette secousse est intervenue au moment où, les membres fondateurs et Mr FAX étaient absents. Donc, plus de peur que de mal…

Le FFS est divisé en deux … Il y a ceux qui ont payé de leur sang (martyres de 1963) et ceux qui sont dans les salons (Ait Ahmed et son cabinet noir).

C’est le Co-président de l’atelier des statuts, M. Ahmed BETATACHE (Chef de groupe parlementaire) qui a annoncé en plénière du Congrès que les statuts du parti consacrent désormais Hocine AIT AHMED président d’honneur du FFS.

580397_189259984563175_1443269044_n1 dans Algérie

Plénière du Congrès FFS : Adoption des résolutions et liste fermée.

En octobre 1956, Ait Ahmed parmi les cinq chefs de la Révolution Algérienne, présent dans l’avion détourné par les autorités françaises. En mai 2013, Ait Ahmed absent parmi les cinq chefs composant le « Presidium » dans le chalutier transporté par rivière, à l’au…

SCOOP : ça coince au FFS.

SCOOP : ça coince au FFS. dans Actualité copie-de-581826_464476256973324_294744457_n

Ahmed Djedai ne figure pas parmi les membres du conseil national du FFS

Le présidium désigné par le cabinet noir du FFS se trouve déjà piégé après uniquement 24 heures de la fin des travaux du congrès. Ahmed Djedai, qui a retiré sa liste lors de l’élection de la direction collégiale, suite à des négociations/promesses d’être nommé ‘‘premier secrétaire national’’, se retrouve parmi les victimes de la machine des Baloul et rejoint ainsi les grands perdants. En effet, le saigneur Chaffaa Bouaiche (qui se dit : El Mouhtaram) a réussi son coup de fraude, et donc Ahmed Djedai ne figure pas parmi les membres du conseil national du FFS. Coup dur pour ce dernier, car les nouveaux statuts stipulent que : « Le premier secrétaire national sera désigné par le présidium parmi les membres élus au conseil national »

Beaucoup de congressistes et pas des moindres au vu de leur niveau politique et intellectuel quitteront le bateau et non sans dégâts après ce congrès puisque le FFS par ces manières machiavéliques redevient entre les mains de ces saigneurs (seigneurs) qui l’ont éclaboussé.

En route pour la prochaine entourloupe. Et ça a souvent marché.

On liquide d’abord les nouveaux jeunes, présents pour la première fois juste pour servir d’alibi, en limitant les dégâts à l’intérieur du congrès. Et le cabinet noir a pu compter sur l’indéniable talent d’hypnotiseur saigneur de Chaffaa Bouaiche qui a réussi à faire croire à chacun ce qu’il avait envie d’entendre et à endormir tout le monde.

Jugurtha Ait Ahmed (Fils de Hocine Ait Ahmed)  appelé pour le secours du cabinet noir

Jugurtha Ait Ahmed (Fils de Hocine Ait Ahmed) appelé pour le secours du cabinet noir

Puis on noie le poisson sur la liste du nouveau présidium, à propos duquel on essaie de limiter la casse au sein des présents majoritairement opposés à la liste fermée  proposée par le cabinet noir … sans toutefois ne renoncer à rien, sauf à retarder l’échéance de quelques heures jusqu’à ce que Jugurtha Ait Ahmed (Fils de Hocine Ait Ahmed) sera appelé pour le secours.

Jugurtha Ait Ahmed (Fils de Hocine Ait Ahmed) au secours du cabinet noir du FFS

Jugurtha Ait Ahmed (Fils de Hocine Ait Ahmed) au secours du cabinet noir du FFS

Puis on repousse carrément l’affaire du vote des congressistes car ça ne passe décidément pas. Mais au fond on ne renonce à rien, surtout quand l’horizon ne semble pas s’éclairer même grâce à la décision du cabinet noir sur le partage de tout les pouvoirs.

Et, comble du cynisme, si on en reparle ce n’est pas pour 2014, mais on l’annonce déjà pour l’après congrès fermé.

C’est tellement gros que ça pourrait même passer pour de la finesse !

Pendant ce temps-là on espère que la magie va opérer. Ce qui semble être le cas si on prête l’oreille pour écouter la réaction rapide et gourmande d’Ahmed Djedai.

Sur la forme, la mécanique est bien huilée. Mais c’est en se battant dans les coulisses sur le fond qu’ils réussiront à écarter cette odieuse manœuvre.

Le cabinet noir s’accapare du FFS.

Le cabinet noir s’accapare du FFS.

Le cabinet noir a tranché :

Superbe victoire, claironneront certains !

Congrès noir, affirmeront d’autres !

Le résultat est tombé, craint par les seconds, espérés par les premiers.

Le cabinet noir du FFS a tranché pour le partage des pouvoir.

Le cabinet noir du FFS a tranché pour le partage des pouvoir.

De quoi inviter les triomphateurs du jour à en rabattre et en particulier à renoncer clairement et définitivement à toute idée d’aller plus loin, car de surcroît Ait Ahmed Hocine a manqué aux congressistes en essayant de leur faire avaler le gros mensonge de sa maladie à la suite de son long voyage de retour d’un enterrement de ses proches au Maroc ! L’insulte a ainsi succédé à la provocation.

Car ne nous y trompons pas : Ait Ahmed Hocine ne se soucie absolument pas, ni des congressistes, ni des Algériens et de leur supposé désir de pouvoir conserver leur nationalité tout en exerçant des droits civiques, réduits d’ailleurs, sur notre territoire.

La seule chose qui l’intéresse c’est d’empocher la mise d’enterrer le FFS avec sa mort biologique à Lausanne. C’est petit et minable.

Le cabinet noir s’accapare du FFS et rajeunit les vieux.

Le cabinet noir s’accapare du FFS et rajeunit les vieux.

Tout le reste n’est que mensonge, manipulation et mépris pour ceux que l’on prétend promouvoir et qui ne deviennent que de malheureux otages d’un  » coup politique  » indigne.

N’aggravez pas votre cas devant les Algériens avec un nouveau coup de Jarnac qui ne pourra qu’accroître les tensions et les divisions. Ait Ahmed a beau croire que le temps va passer et que mois après mois la plaie se fermera et cicatrisera : il se trompe lourdement. Et le prix à payer sera terrible car on n’abîme pas ainsi son pays sans avoir à rendre rapidement des comptes, et je le crois sévèrement.

Sachez que non seulement votre projet capotera mais que, à l’arrivée vous subirez l’échec politique le plus terrible et le plus humiliant de l’histoire contemporaine.

Mais au passage l’Algérie aura trop souffert. Et ça nous ne vous laisserons pas le faire !

Nous allons bien voir, dans les jours qui viennent, comment tout ceci va évoluer.

Abdelmadjid Sidi Saïd, patron de l’ UGTA, hospitalisé en suisse

Le secrétaire général de la centrale syndicale, Union générale des travailleurs algériens, Abdelmadjid Sidi Saïd, se trouve actuellement à Genève pour des soins médicaux, suite à un grave malaise cardiaque. Il est la troisième personnalité dans le cercle présidentielle à avoir choisit l’étranger pour des soins, après Abdelaziz Bouteflika (Val-De-Grâce, France) et Abdelkader Messahel (Erasme, Belgique), en l’espace de dix jours.

Selon des informations, Abdelmadjid Sidi Saïd a été transféré en urgence dans la nuit du mardi 30 avril vers une clinique privée à Genève, après un malaise cardiaque, suite à plusieurs maladies dont il souffre depuis plusieurs années. C’est ce qui a d’ailleurs expliqué son absence lors des festivités de la journée mondiale du travail, le 1 mai, et la finale de la coupe d’Algérie.

Agé de 64 ans, Abdelmadjid Sidi Saïd, est secrétaire général de l’UGTA depuis l’attentat qui a couté la vie à Abdelhak Benhamouda en 1997.

Abdelmadjid Sidi Saïd, patron de l’ UGTA, hospitalisé en suisse   dans Actualité p120510-22

Abdelmadjid Sidi Saïd, patron de l’ UGTA, hospitalisé en suisse

Définition d’un responsable Algérien :

Personnalité « importante » traitée au VAL- DE –GRÂCE, hôpital militaire à Paris, laissant le reste des citoyens dits « sujets » mourir dans les hôpitaux de notre riche pays. 

En Algérie, il y a des personnages plus importants que d’autres, qui méritent de vivre et d’autres NON !!!

Abdelaziz BOUTEFLIKA a eu AVC sans séquelles, d’après les communiqués de la présidence, traité au VAL- DE –GRÂCE, hôpital militaire à Paris. La vie de notre président a autant de valeur que la vie des 20 000 malades algériens atteints de cancer à qui on ne donne pas le choix, ils doivent rester en Algérie, leur pays riche, qui les condamne à mort, en leur refusant l’accès aux centres de radiothérapie Tunisiens et Marocains. 

Je souhaite un prompt rétablissement à tous ces malades, et je considère que toute vie sur terre mérite le respect et la dignité qu’importe son statut, qu’importe son âge, qu’importe ses croyances et son appartenance. 

Tous les algériens sont des personnalités « importantes » qui méritent de vivre, qui méritent d’avoir des soins dignes, peuvent-ils seulement en avoir conscience ? Peuvent-ils se battre pour l’exiger pour eux-mêmes, pour leurs enfants, pour l’Algérie ?

Définition d’un responsable Algérien : dans Actualité 943511_537063936344713_468718639_n

Définition d’un responsable Algérien

Coupe d’Algérie (Finale 2013) : USMA-MCA (1-0)

En principe c’est le président du sénat qui devait remplacer Bouteflika, malade ou mort, pour cette cérémonie, non ?

En principe l’équipe ayant perdu la finale, se présente quand même à la tribune officielle pour prendre une médaille, et bien chez nous l’équipe du MCA, perdant le match, a tout simplement refusé et a quitté le stade tout de suite après la fin du match. (!!)

En principe … en principe … oui … mais chez nous, visiblement il n y’a plus de principes, ni de normes … tag 3ala Mène tag …

(La visite officielle de la maison de repos « maison des vieux » au stade du 5 juillet. Votre place est à Serkadji) 

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(La visite officielle de la maison de repos « maison des vieux » au stade du 5 juillet. Votre place est à Serkadji)

Honte à Bouteflika…

Coup de gueule de SHAMY CHEMINI :

Ce coup de gueule est destiné à provoquer une concertation afin que nous nous rendions devant le Val de Grâce et exigions du président de la République algérienne d’aller se faire soigner chez lui, dans le pays qu’il dirige depuis vingt-sept ans. Il est donc le principal architecte des fléaux accablant la population : répression, corruption, sans parler du reste !

1937 : Naissance de monsieur Abdelaziz Bouteflika aux frontières algériennes.

1962 : Dans les valises de son mentor, le dictateur Boumedienne, avec l’armée des frontières, il rentre en Algérie.

1962 -1965 : Avec son père spirituel, le même Boumedienne, ils fomentent un coup d’État.

1965 : Le dictateur devient président et jusqu’à sa mort en 1978, A.Bouteflika est ministre des Affaires étrangères.

1978 : Vexé de ne pas succéder à son complice défunt, il se réfugie durant vingt années dans les pays de la Péninsule arabique.

1999 : Le voilà de retour et cette fois, président de la République jusqu’à ce jour…

Honte à Bouteflika… dans Actualité bouteflika_0

Photographie DENIS ALLARD / POOL / AFP

Si l’on effectue tous les calculs de ces dates, il n’a pas vécu une année complète en Algérie en tant que simple citoyen, pays qu’il affirme être le sien.

Son incurie, son incompétence et celles de ses comparses se révèlent aussi dans le constat accablant d’une population laissée à l’abandon. Ils n’ont même pas été capables de faire construire un hôpital digne de ce nom où ils pourraient se faire soigner correctement !

En effet, le président et ses acolytes lorsqu’ils attrapent un rhume, qu’ils toussent, se précipitent en France, pays soi-disant haï. Ils s’affirment anciens combattants ayant lutté contre le colonialisme français. La ritournelle des discours adressés au peuple algérien stigmatise « l’ennemi extérieur » et chacun comprend : la France.

Voit-on Chavez ou Castro allant se faire soigner aux États-Unis ? Ou madame Merkel, monsieur Hollande retrouver la santé en Algérie ?

Que penser de l’orgueil, l’amour propre affiché de ces dirigeants vis-à-vis d’une population méprisée et opprimée, alors que leur veulerie est sans limites.

Semblable au jour où le président algérien, à son arrivée au pouvoir, a fait, tel un sujet, un baise-main au ministre des Affaires étrangères français Hubert Védrine ! Ce jour-là, j’ai souhaité que la terre s’ouvre et m’engloutisse pour cacher ma honte !

– Honte aux artistes, se considérant soi-disant comme les ambassadeurs de notre culture. Ils prétendent nous éclairer, mais en réalité, nous aveuglent. Ils s’enrichissent sur la cause berbère qu’ils appauvrissent par leurs comportements…

– Honte à ces dirigeants n’accordant pas leur confiance à leurs compatriotes médecins…

– Honte à plus de huit mille médecins algériens qui ont quitté leur pays afin d’occuper des postes d’infirmiers dans les hôpitaux français…

– Honte aux partis politiques de porter ce qualificatif…

– Honte à ceux qui prétendent au statut de personnalités ou d’intellectuels…

– Honte au tissu associatif, soutenu par des subventions françaises, passant le temps à se chamailler sur des sujets futiles et absents des actions essentielles…

– Honte à toute la communauté algérienne en France, moi inclus, ni présente ni à la hauteur des grands rendez-vous et de rester indifférente à cette hospitalisation au Val de Grâce…

Ce coup de gueule est destiné à provoquer une concertation afin que nous nous rendions devant le Val de Grâce et exigions du président de la République algérienne d’aller se faire soigner chez lui, dans le pays qu’il dirige depuis vingt-sept ans. Il est donc le principal architecte des fléaux accablant la population : répression, corruption, sans parler du reste ! 

Mes respects à ceux qui sont morts, blessés ou disparus, connus ou anonymes, dans l’indifférence générale afin de libérer le pays, pour la justice, la liberté, de 1954 à nos jours, ceux d’octobre 88, de la décennie noire, du printemps noir… 

 

302773_150448755127965_529155199_n dans Algérie

SHAMY CHEMINI artiste, écrivain, réalisateur

30 avril 2013


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