Archive pour mars, 2013

Bébés enlevés sous la dictature argentine: des victimes demandent l’audition du cardinal Bergoglio

Bébés enlevés sous la dictature argentine: des victimes demandent l’audition du cardinal Bergoglio    dans Actualité bebes-enleves-sous-la-dictature-argentine-des-victimes-demandent-l-audition-du-cardinal-bergoglio_article_main2-252x300L’avocat argentin Martin Niklison et l’association des Grands-mères de la Place de Mai ont demandé à ce que le cardinal Jorge Maria Bergoglio, archevêque de Buenos Aires, soit entendu comme témoin dans le procès pour vol de bébés durant la dictature argentine.

Deux anciens dictateurs, Jorge Videla, 85 ans et Reynaldo Bignone, 83 ans, ainsi que six officiers, comparaissent depuis le 28 février pour le vol de plus de 500 bébés enlevés à leurs mères détenues dans plusieurs prisons clandestines de la dictature militaire.

Au cours des débats, Estela de la Cuadra, fille d’Alicia de la Cuadra, une des fondatrices des Grands-mères de la Place de Mai, morte en 2008 à 93 ans, a raconté comment elle avait demandé l’aide du P. Bergoglio, alors provincial des jésuites, pour l’aider à retrouver la trace du bébé de sa sœur Elena, emprisonnée alors qu’elle était enceinte.

ENTENDU DANS UNE AUTRE AFFAIRE EN 2010

Il revient aux juges de déterminer les suites à donner à cette demande d’audition.

Le cardinal Bergoglio avait déjà été entendu en novembre 2010 dans le procès de la sinistre École de mécanique navale (Esma). Le tribunal s’était alors rendu à l’archevêché de Buenos Aires pour entendre ses explications sur la disparition en 1976 de deux jésuites internés à l’Esma une semaine après qu’il leur a retiré la permission de prêcher.

Aucune charge n’avait été retenue contre lui.

Le 21 avril dernier, une juge d’instruction du tribunal de grande instance de Paris a annoncé qu’elle souhaitait entendre le cardinal Bergoglio sur le meurtre du prêtre français Gabriel Longueville survenu au début de la dictature.

L’archevêque argentin Bergoglio devient le pape François 1er

L’Argentin Jorge Maria Begoglio a été élu pape, mercredi 13 mars, et prendra le nom de François Ier, a annoncé le Vatican . Il s’agit du premier pape venu des Amériques et du premier jésuite à assumer cette fonction. L’élection par les cent quinze cardinaux réunis en conclave dans la chapelle Sixtine a été annoncée par l’émission rituelle d’une fumée blanche et par les cloches de la basilique Saint-Pierre, qui ont retenti à toute volée.

Le nouveau pape est apparu au balcon de la basilique Saint-Pierre pour prononcer ses premiers mots :  »Le monde doit prendre le chemin de la paix, de l’amour et de la fraternité », a-t-il dit, avant d’inviter les fidèles  »à prier le Seigneur » pour qu’il le bénissse.  »Il semble que les cardinaux sont allés me chercher au bout du monde », a déclaré le pape François Ier.

Le premier évêque latino-américain et premier jésuite à devenir pape a appelé à prier pour son prédécesseur, Benoît XVI. Il a invité les fidèles à  »entreprendre un chemin de fraternité, d’amour » et d’ »évangélisation » et a demandé à la foule une minute de silence :  »Priez pour moi et donnez-moi votre bénédiction. »

A Paris, la cathédrale Notre-Dame va célébrer l’élection du nouveau pape par une messe d’ »action de grâce », menée par Mgr Jérôme Beau, évêque auxiliaire de Paris  et vicaire général. Cette messe sera suivie par une veillée de prière de 20 heures à 22 h 30.

Le premier pape argentin

François I er est le premier pape latino-américain et le premier argentin. Il est le troisième pape hispanophone après Calixte III Borgia (1455-1458) et Alexandre VI Borgia (1492-1503). Par ailleurs saint Damase Ier (366-384) était romain mais né de parents venus de Galicie (nord-ouest de l’Espagne actuelle) ou de Lusitanie (Portugal actuel).

François I er est également le premier jésuite à devenir pape. Dans l’histoire, 33 papes sont issus d’un ordre religieux, le dernier en date étant le bénédictin camaldule Grégoire XVI (1831-1846).

À 76 ans et 89 jours, il est le huitième pape le plus âgé au moment de son élection après Clément X (1670-1676), 79 ans et 290 jours, Alexandre VIII (1689-1691), 79 ans et 177 jours, Paul IV (1555-1559), 78 ans et 330 jours, Clément XII (1730-1740), 78 ans et 100 jours, Benoît XVI (2005-2013), 78 ans et 3 jours, Jean XXIII (1958-1963), 76 ans et 337 jours et Innocent XII (1691-1700), 76 ans et 124 jours.

Dans les prochains jours, le nouveau pape devrait recevoir un certain nombre de personnes en audience, notamment les cardinaux présents à Rome, le corps diplomatique accrédité près le Saint-Siège, le clergé romain, la presse…

Dimanche 17 mars devrait avoir lieu le premier Angélus, tandis que la première audience générale pourrait se tenir mercredi 20 mars.

La messe d’inauguration du pontificat pourrait être célébrée mardi 19 mars. Le nouveau pape y recevra le pallium et l’anneau du pêcheur. L’ensemble des cardinaux présents à Rome viendront également lui promettre solennellement obéissance.

La Semaine sainte, à partir du dimanche des Rameaux  24 mars, sera marquée de nombreux rendez-vous, et notamment sa première bénédiction Urbi et Orbi pascale, dimanche de  Paques 31 mars.

 

Dans « un délai convenable », comme le prescrit la constitution Universi Dominici Gregis, sur l’élection du pape, il devra également prendre possession de la basilique Saint-Jean-de-Latran, la cathédrale du diocèse de Rome.L'archevêque argentin Bergoglio devient le pape François 1er dans Actualité le-cardinal-jorge-mario-bergoglio-est-le-pape-francois-ier_article_main-300x206


 

 

Fumée blanche à Rome, l’Église a un pape

Fumée blanche à Rome, l’Église a un pape dans Actualité fumee-blanche-a-rome-l-eglise-a-un-pape_article_main-300x210Réunis en conclave depuis le soir du mardi 12 mars, les 115 cardinaux électeurs réunis dans la chapelle Sixtine ont choisi le 265e successeur de Pierre.

Les cardinaux réunis depuis mardi 12 mars ont élu le successeur de Benoît XVI, comme l’indique la fumée blanche sortie de la fameuse cheminée placée sur le toit de la chapelle Sixtine, mercredi 13 mars à 19h06.

Il aura fallu cinq scrutins pour parvenir à réunir les 77 voix minimum nécessaires à l’élection du nouveau pape, soit au moins deux tiers du Sacré Collège. Le nom du successeur de Benoît XVI ne sera connu que lorsqu’il sera annoncé par le cardinal français Jean-Louis Tauran, protodiacre, à la fenêtre de Saint-Pierre de Rome. En 2005, il s’était déroulé environ une heure entre la fumée blanche et l’apparition de Joseph Ratzinger.

Sur la place Saint-Pierre, une grande clameur a accueilli la nouvelle.

Mot de l’administrateur de Libres Penseurs.

Présent sur le terrain à vos côtés, plus récemment sur les réseaux sociaux avec ma page Facebook souvent l’objet de critiques acerbes sur l’actualité, et prochainement à travers la presse locale pour défendre ma vision d’une région différente tournée vers l’avenir ou encore.

Il me semblait important de pouvoir, par ce blog, vous livrer au quotidien mon opinion politique, ma pensée, mes idées et mes aspirations pour cette région qui m’a vu naître et dont je n’ai de cesse de défendre les intérêts depuis plus de 15 ans.

Oui, il est possible d’agir différemment, d’évoluer dans un lien étroit avec les citoyens qui sont et seront nos électeurs .

Par nature, je serai sans concession, ce devoir que je m’impose, est aussi votre droit envers moi.

L’administrateur.

Inédit : Malika Matoub invente la vente.

La sœur du chanteur Matoub Lounes ne rate jamais d’occasion pour se ressourcer.

En effet, après l’affaire de justice avec l’édition « Izem », propriétaire des droits d’auteur du Rebelle, et après avoir loupé la chance d’être désignée sénatrice dans le tiers présidentiel – comme on lui a promis – lorsqu’elle s’est engagée pour la campagne pour la paix et la réconciliation nationale de Bouteflika en 2005, voilà ‘‘Malika Boukhettouche’’ qui invente la vente sur plan !

Pour ce faire, elle annonce la vente prochainement du film ‘‘Zenith 1995’’, mais une vente qui n’est pas comme les autres : Les personnes intéressées doivent verser 40 euros, sur le compte bancaire de la fondation Matoub Lounes et à l’avance SVP, et devront attendre fin 2014 pour recevoir le DVD dans leurs boites aux lettres !

NB : Ne posez pas de questions à qui les droits d’auteur, mais priez juste que vous resterez toujours vivants et ne changez pas de domicile avant la fin de 2014.

 

Affaire des deux enfants tués à Constantine : deux suspects arrêtés

Affaire des deux enfants tués à Constantine : deux suspects arrêtés dans Actualité 581911_434382909927296_1510372140_n-300x168Deux personnes suspectées d’avoir participé à l’assassinat des deux enfants, Haroun (10 ans) et Ibrahim (9 ans), ont été arrêtées par les services de sécurité, rapporte ce mardi l’agence officielle APS, citant des sources policières. Les deux suspects résident dans le voisinage des parents des deux victimes, ont précisé ces sources. Aucun autre détail n’a été fourni sur leur identité.

« L’enquête se poursuit pour faire toute la lumière sur cette affaire », ont ajouté les mêmes sources. Les jeunes Haroun et Ibrahim, retrouvés morts ce mardi après-midi à Ali-Mendjeli (Constantine), ont été tués et leurs corps affreusement mutilés, a indiqué à l’APS une source policière, évoquant un crime ignoble.

Les corps sans vie des deux enfants avaient été découverts à l’unité de voisinage no 17 dans deux sacs en plastique dont un était enfoui dans un cabas. Les corps ont été acheminés vers le centre hospitalo-universitaire de Constantine pour autopsie.

Ce crime abominable a mis en émoi toute la ville de Constantine et provoqué des tensions dans la ville. Plusieurs jeunes se sont regroupés devant les structures de la police pour demander justice. Les forces de l’ordre sont même intervenues pour éviter que la situation ne dégénère, rapporte l’APS.

Journée mondiale de la femme : Ould Ali El Hadi l’imposteur de tous les jours.

Le directeur de la culture de Tizi-Ouzou, l’imposteur Ould Ali El Hadi, qui n’est pas à présenter, vient encore de parler de lui.

En effet, à l’occasion de la journée internationale de la femme, le directeur de la ‘‘SAS de Tizi-Ouzou’’ a reçu son deuxième coup de gueule de la semaine, après l’intervention magistrale de Hend SADI lors du colloque international sur l’œuvre de Mouloud Mammeri, le 3 mars.

A l’occasion du 8 mars, journée internationale de la femme, l’aJournée mondiale de la femme : Ould Ali El Hadi l’imposteur de tous les jours. dans Flash - Scoop 5300382-7909079-300x225ssociation islamiste «El irshad Wa El islah», a été installé à la Maison de la culture «Mouloud Mammeri», pour prêcher la «bonne parole» et le «droit chemin» aux femmes de Kabylie, sous couvert de conférences ayant pour thème central «Fadhma N Summer», héroïne kabyle: une femme qui a mené, les armes à la main, des hommes contre le colon français : un véritable blasphème ! 

Grace à ce «chargé de missions, Ould Ali El Hadi», le nom de Fadhma N Summer est utilisé par ces islamistes du parti islamiste –HMS- pour lancer une campagne de sensibilisation de grande envergure sur le port du voile et l’incitation des jeunes femmes kabyles à «retrouver le droit chemin», celui de la soumission. Le tout à l’occasion de la journée internationale des droits de la femme et dans la maison de la culture Mouloud Mammeri.

La grande salle de la maison de la culture Mouloud Mammeri devait abriter un gala, spécial femmes, animé par : Akli Yahiatene, Lounis Ait Menguellet, Ali Meziane et ‘‘Autres invités surprises, comme on pouvait lire sur l’affiche’’. Mais à la surprise générale, se sont des chanteurs RAI qui occupaient la scène. C’est ainsi que les deux chanteurs de la cause Amazighe, Lounis Ait Menguellet et Ali Meziane, se sont révolté et ont quitté la salle, en refusant de servir d’alibi.

LES BENYOUNES : UNE AFFAIRE D’HONNEUR

S’il y a bien quelque chose que je ne peux pas changer, c’est mon lieu de naissance. » Cette déclaration est de Amara Benyounes. Une manière pour lui de regretter qu’il soit né kabyle et de confirmer que pour le reste, en bon caméléon, il peut tout changer, tout renier. La ddîn, la mella.

Mais qui est donc ce personnage ?
Infiltré par son frère au RCD comme chauffeur à la veille des assises de 1989, il disparaît au lendemain de l’élection législative de 1991 et du début de la vague de terrorisme pour s’installer en France. Il intègre pour la première fois l’exécutif du RCD en 1994 comme secrétaire national à l’émigration avant de revenir au pays début 1995.
Devenu ministre en 1999, il multiplie depuis les pots de vin et les passe-droits. La décision du RCD de se retirer du gouvernement, à la suite des événements de Kabylie, est une aubaine pour lui puisqu’on apprendra plus tard que plusieurs enquêtes avaient été diligentées contre lui.

Le RCD qui a rassemblé des preuves sur sa corruption prépare son exclusion. Il est question notamment de racket des importateurs de médicaments, d’octroi de licences d’importation frauduleuses contre commission, de prélèvements de quotes-parts dans le déblocage des factures non payées des entrepreneurs, de détournement important du financement des travaux de confortement du port d’Oran……. 

Apprenant à l’université d’été de Tipaza sa convocation devant la commission de discipline, il disparait à jamais. Moins de trois mois après, et suite à une instruction du général Toufik qui lui débloquait huit millions de dinars, il lance un journal qualifié par les citoyens de « Débauche de Kabylie ». Une période où les agréments pour les nouveaux titres étaient bloqués. C’était au moment où le pouvoir travaillait à normaliser la Kabylie en y injectant de l’argent sale et en structurant la délinquance locale. Durant la même année, il s’est vu octroyer un terrain de plusieurs dizaines d’hectares à Boudouaou, à l’entrée est d’Alger.

En 2003, il lance un parti l’UDR que les militants du MAK transforment aussitôt en U-DRS. La facture de 3 600 000 DA qu’il doit à la mutuelle des matériaux de construction de Zeralda, lieu où il a tenu son congrès, et qu’Ouyahia s’est engagé à prendre en charge est à ce jour impayée. Très vite, il devient le carrefour des exclus de tous bords.

Voulant à tout prix réintégrer le gouvernement ou à défaut accéder à la fonction d’ambassadeur, il multiplie les courbettes et les postures d’allégeance. Il se propose à deux reprises dans le comité de campagne du candidat Bouteflika et anime des meetings sur les vertus de la Réconciliation nationale à la veille du référendum de 2005 tout en se posant comme ennemi irréductible des islamistes.

En 2007, Benyounes se présente aux élections législatives dans la circonscription d’Alger comme tête de liste d’une alliance électorale avec une fraction du MDS de Hocine Ali et l’ANR de Réda Malek. L’échec est sans appel. Il ne parvient même pas à dépasser les 0,5 %. En Kabylie, sa liste recueille 3 voix dans son village natal qui compte 1400 âmes. Depuis, il s’est recyclé dans l’importation de parfums.

Ne perdant jamais une occasion d’accaparer un bien, il négocie l’échange du local attribué généreusement par l’APC d’Alger centre à son parti non agréé contre un autre situé sur la rue Victor Hugo qu’il s’approprie à titre personnel. Le local en question devait être transformé en médiathèque par l’APC avant d’être attribué à la famille Bouteflika.

La collaboration des Benyounes avec la police politique est d’abord une affaire de famille. C’est, en effet, à partir de 1961 que le frère ainé Mohand Akli Benyounes, dit Daniel a été enrôlé par le MALG. Au lendemain de l’indépendance, il a été infiltré dans les rangs du FFS pour s’occuper de la… trésorerie. Plus tard, Ait Ahmed l’a accusé publiquement d’avoir détourné la caisse du FFS. C’est en effet à cette période qu’il a lancé l’agence Soleil Voyage, une couverture pour pister tous les activistes kabyles dans l’Hexagone. Cette agence est actuellement gérée par son fils Réda, qui est ex-beau fils du général Khaled Nezzar. Ce dernier qui avait tiré sur un gendarme dans un barrage à la sortie d’une soirée arrosée du côté de Zeralda a été soustrait à la justice.

Feu Bessaoud Mohand Arab, raconte dans l’un de ses livres que c’était Daniel Benyounes qui était derrière son arrestation et son exil en Angleterre en 1978. Une dénonciation à l’origine de la cessation d’activité de l’Académie Berbère en France.

C’est la carrière de ce personnage qui sert de référence à Amara Benyounes. En effet, voilà quelqu’un qui a vécu toute sa vie de l’argent du FFS et de dénonciations mais qui reste à ce jour inaccessible à la justice. Il y a deux ans, il a été nommé sénateur dans le tiers présidentiel par Bouteflika.

L’U-DRS dégage ! Les Benyounès K.O ! Tant mieux !

Les BENYOUNES sont des Agents du DRS : Père, frères et fils. Ils « épaulent » le Pouvoir militaro-mafieux, ils sont aux mains des Généraux criminels prédateurs. Soleil-voyages, c’est à eux. Et bien d’autres privilèges illicites et illégaux. Trafics en tous genres, passe-droits, infractions et délits, fraudes généralisées, népotismes, interventionnisme, etc , sont leurs us et coutumes.

Flash back : Benyounès Mohand-Akli, alias Daniel avait été retourné en Juin 1964. « De force », sous la contrainte par les hommes de Kasdi Merbah et Abdellah Benhamza, respectivement le Chef de la SM et son Adjoint. C’était au lendemain du plasticage-provocation du Port d’Annaba par la Sécurité militaire (SM). Le coup a été imputé et collé arbitrairement à Mohand-Akli. Il fut injustement arrêté. Au terme du marchandage, et devant la menace de lui ôter la vie, celui-ci finit par céder. Et depuis il faisait partie de la longue liste des «correspondants», rabatteurs, informateurs, agents d’infiltration et de noyautage «retournés» de la même manière. —Et c’est bien Daniel qui avait mis aux prises Si Lhafid contre Bessaoud Md Arav jusqu’à l’affrontement physique : Le Lieutenant allé jusqu’à Ouadhias, sorta Bessaoud et le violenta, bref. Et Daniel fera recruter même son frère et son fils. Faut-il rappeler qu’à son passage à l’Université d’Alger, Amara Benyounès n’hésitait pas à menacer les étudiants contestataires, berbéristes, trotskystes et pagsistes. 

A présent, les Benyounès sont dans une «lutte à mort» contre la Kabylie : les Benyounès roulent pour le Clan Boutef-Zerhouni-Ould Kabila (ex-MALG/SM), ainsi que pour le Clan Mediène-Tartag (DRS/néo-MALG), les deux Clans puissants et forts du fait de leurs arrimages/amarrages/liens avec la Police politique….qui est le Sommet de la Pyramide du Pouvoir militaro-mafieux, et l’Enclave autoritaire principale qui commande tout, et bloque tout….. En effet, les Benyounès roulent pour les Services du DRS, « l’organisation criminelle » du Pouvoir militaire régnant depuis 1962…..

Les Benyounès, Hannachi comme leurs rivaux, sont au DRS. Ce sont des « Kds », des traitres…qui nous trahissent, en épaulant la Dictature militaire criminelle et sanguinaire…

Leur journal infeste, la Dépêche, un « organe de désinformation » soutient le Clan Boutef-Zerhouni-Ould Kablia (ex-MALG/SM),  il faut dire qu’au bled foutu, il n’y’a qu’un seul « Rédacteur en chef, le DRS », les journaux sont des organes de propagande contrôlés par le DRS…qu’on le veuille ou on le déplore ! De même pour bon nombre de sites internet et forums. La preuve en est qu’ils n’attaquent pas le Pouvoir militaire, les Généraux, ne disent rien sur les crimes très prépondérants du DRS, les massacres, les assassinats politiques, etc.

L’abominable et exécrable Amara Benyounès est allé récemment jusqu’à porter atteinte à la mémoire des disparus en tenant des propos injurieux à leur égard. Pour plaire à ses Chefs, les Généraux, l’ancien Ministre de la santé, membre du Directoire de campagne de Bouteflika lors des Présidentielles de 2009, SG du Mouvement Populaire Algérien (MPA, ex U.D.R-S), et actuel ministre de l’aménagement des ‘trottoirs’, pas territoire,  a qualifié les disparus de «terroristes». Un outrage de plus de la part d’un sinistre personnage qui ne rate aucune occasion pour louer ses maîtres et bénéficier de leurs largesses, au détriment de la mémoire collective et des souffrances des populations. Et il s’est attaqué aux journalistes de Canal+ après la transmission de leur excellent Documentaire sur les Moines de Tibhirine, assassinés par les sanguinaires du DRS. Ils accumulent donc toute une « collection » de forfaits et méfaits! Pire encore, ils croyaient « s’enorgueillir » et « être honorés » de chaque mission hautement spéciale et criminelle que la Gestapo d’Alger, alias le DRS, dont ils sont chargés.

Mohand-Akli Benyounes (dit Daniel), qui n’est autre que le frère ainé du ministre de l’aménagement du territoire et patron du nouveau né, le MPA, est maintenu au sénat depuis janvier 2013 par Bouteflika.

La proximité des Benyounes avec le pouvoir algérien n’est pas nouvelle. C’était Daniel, qui était derrière l’arrestation et l’exil de Bessaoud Mohand Arab en Angleterre (en 1978).

Daniel Benyounes, dont le fils est ex-beau fils du général Khaled Nezzar, est à la tête d’une agence de voyage créée depuis la fin des années 60 et le début des années 70, et  propriétaire de plusieurs biens immobiliers à Alger et à Paris, grâce à la caisse du FFS qu’il a dilapidé lors de la révolte du FFS en 1963.

L’autre frère Benyounes, Idir, directeur du quotidien que les Kabyles surnomment (la Débauche de Kabylie), a dilapidé la caisse et le matériel immobilier du journal « le Pays » alors qu’il était  directeur de ce journal qu’a racheté Issad Rebrab au milieu des années 90. Le journal a dû mettre les clés sous le paillasson quelques mois plus trad. Alors qu’il était chef du bureau du journal le Matin à Tizi-Ouzou, le « cleptomane historique »  Idir Benyounes, a détourné un terrain à la nouvelle ville (coté du fleuriste), avec la complicité de l’ex ministre FLN, Mohamed Nadir Hmimed, et l’eternel coordinateur de l’UGTA de Tizi-Ouzou, Bachir RAMDANI, destiné auparavant à accueillir la maison de la presse de la ville des genets, et a construit un immeuble de plusieurs étages, pour qu’ils le vendent. Idir n’a pas remboursé, à ce jour, les 20 millions de centimes (versées par chaque journaliste de Tizi-Ouzou à l’époque) pour la construction de la coopérative immobiliere dont il était président.

Concernant Amara Benyounes, secrétaire général du MPA et ministre de l’aménagement du territoire, la « Débauche de Kabylie », comme on l’appelle, a été créée avec l’argent qu’il a « dérobé lorsqu’il était ministre entre 2000 et 2002» et « les fonds du RCD » qu’aurait détourné. La proximité « des meilleurs informateurs du clan présidentiel sur la Kabylie » avec le pouvoir est sans limites surtout quand il s’agit d’envoyer la Kabylie au brasier.

QUESTIONS POUR UN CHAMPION :

DE QUI S’AGIT- IL ?

   Il apprend sa première leçon, simple mais efficace : pour régner sur Ait Bouaddou, il faut impérativement diviser Ait Djemaa. Pour cela un seul moyen ; évoquer Hmed Umeri.

Alors, il évoque Hmed Umeri dans ses chansons et même ses pièces de theatre.Objectif presque atteint. Heureusement qu’il y’avait des gens qui savaient  que derrière « oh Linda se préparait oh el boumba ».

    Année 1984 : A l’approche du découpage administratif qui ferait d’Ait Bouaddou une nouvelle commune, les choses s’accélèrent. Il tente d’adhérer au parti unique, FLN, mais son dossier est rejeté. Il tente de passer par les égouts mais même cette voie lui fut coupée.

    Il sort un roman et oblige les élèves du CEM à l’acheter. Les élèves auxquels il est à ce jour redevable, parce qu’il était tout le temps absent.

   Ait Bouaddou est officiellement une commune, les jeux sont faits et les places sont prises. Non il reste encore l’UNJA .Il devient un responsable et fait disparaître le matériel de musique  de cette organisation de masse du FLN.

Au moment où tout Ait Bouaddou vivait au rythme du football, jaloux de l’équipe d’Ait Djemaa, il tente de la casser. Résultat : il casse tout le football à Ait Bouaddou et pour de longues années.

   Il forme un groupe de musique qu’il appelle At vuvadu. L’éditeur se trompe et transcrit  par At vuyadu.  Quelques jours après la sortie de la première et dernière cassette du groupe, un certain Hettal Hocine, dans une lettre publiée par l’hebdomadaire Algérie  Actualité l’accuse de lui avoir volé des chansons et traite le groupe de « trois pirates d’Ait Bouaddou ».

    Sur le plan politique, l’année 1985 fut marquée par l’arrestation et l’emprisonnement de militants de la cause berbère et des droits de l’homme. Le mois d’octobre, en réponse à un appel à une grève générale lancé par les étudiants de l’université de Tizi-Ouzou, les élèves du CEM d’Ait Bouadddou dont il était devenu le premier responsable organisèrent une grève. Il livra les meneurs (des adolescents)  à la kasma du FLN.

   Comme responsable d’un petit établissement scolaire (annexe CEM), il se fait remarquer par ses pratiques discriminatoires et contraires à la réglementation : alors que deux fourgons de la restauration ambulante se sont installés à Tizi Bwaklen, il autorise l’un d’eux à s’installer à l’intérieur de l’école. Les collégiens représentent environ 80 % de la clientèle. Bien sur, il a favorisé le restaurateur de son village.   

   Le 20 avril 1986, les élèves du CEM refusent de rejoindre les cours à l’occasion du 6e anniversaire du printemps Berbère. Il les menace par les propos suivants : « vous venez de commettre l’erreur la plus grave de votre vie ».

   L’ouverture démocratique de 1988/89 lui fait perdre la tête. Il espère prendre une place forte au sein du RCD mais il renonce vite parce que ses adversaires sont arrivés avant. Il panique. Il lui faut absolument une place dans un parti. Dans sa précipitation, il adhère au …PPA, ce dernier n’obtient pas d’agrément. Il le quitte en urgence et rejoint sans aucune conviction le FFS. A partir de là, commence pour lui une autre carrière ou il excella encore davantage dans la division et la zizanie, surtout durant son passage à la tête de la mairie d’Ait Bouaddou (1997/2002 et maire indu élu 2002/2005).

   La suite de l’histoire, tout le monde la connaît : bradage d’une ressource rare qui est l’eau, police à Tizi Bwaklen…..

   Devenu en 2005 chef du cabinet du Président de l’APW « feu Rabah Aissat », celui qu’on surnomme l’artiste est sitôt familiarisé avec le directeur de la culture de Tizi-Ouzou pour lequel il peint des tableaux pour une valeur dépassant les … 400 millions de centimes et exerçant au même temps la fonction du conseiller chez « Ould-Ali El Hadi ».

   Après l’annonce par l’APW de Tizi-Ouzou, en février 2011, de l’ouverture d’une enquête concernant la gestion des travaux de rénovation du théâtre régional Kateb Yacine, il lança une campagne de solidarité pour la Direction de la culture de Tizi-Ouzou et à sa tête Ould-Ali El Hadi pour lequel il signa une pétition de soutien.

   Au lendemain des élections locales du 29 Novembre 2012 ayant donné le FFS à la tête de l’APW de Tizi-Ouzou, l’artiste ‘‘aux talents multiples’’ réclame des PC « Ordinateurs portables » et des bons d’hôtels pour l’ensemble des élus composant l’alliance FFS-FLN-RND, avant de voir sa demande rejetée par le Docteur Moussa Tamadartaza (Fraichement élu président de cette assemblée).

   Une semaine après son élection comme président d’APW, au lendemain des sénatoriales, l’artiste ordonna d’enlever, sans motif, les toiles et tableaux qu’il a peint pour l’APW 2005/2007 et pour une valeur de 48 millions de centimes, mais sûrement pour les exposer ailleurs ou de les revendre à son chef (Directeur de la Culture de Tizi-Ouzou, qui est le vrai actuel P/APW). L’information a vite circulé dans les quatre coins de la grande Kabylie, l’artiste a été obligé de remettre les tableaux à leurs places puisque ces derniers sont répertoriés dans les registres et archives de l’assemblée populaire de wilaya.

   Vous avez deviné de qui il s’agit ? Bien sûr c’est le nouveau président de l’APW de Tizi-Ouzou.

123456

Pourvillerupt2014 |
C2i3 |
Onesto |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Demoschange
| Collectifensa
| I.D.E.A.L. GONFARON