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Archive pour le 20 mars, 2013

Chine : manipulation génétique effarante !

La Chine pense à rendre ses enfants plus intelligents grâce à une manipulation génétique ! 

Chine : manipulation génétique effarante ! dans Actualité chine

Les scientifiques chinois ont relevé l’ADN de 2000 personnes remarquablement intelligentes

A Shenzhen, les biologistes de Beijing Genomics Institute ont relevé l’ADN des personnes les plus intelligentes du monde. Après avoir classé leurs génomes, les scientifiques chinois ont aujourd’hui déterminé le gène de l’intelligence humaine. Grâce à leurs compétences en génétique, ils pourraient bien favoriser le plus intelligent des embryons.

Le gouvernement chinois apporte son soutien à un nouveau programme de génie génétique qui améliorerait les capacités intellectuelles des générations futures. Les connaissances acquises des biologistes de Beijing Genomics Institute leur permettraient aujourd’hui d’utiliser le gène qui a une influence sur l’intelligence, rapporte le site Vice.

Grâce à la génétique, le plus tordu des parents pourrait assurer un brillant Quotient Intellectuel à sa descendance. Ces possibilités d’application font froid dans le dos. Si les Chinois parviennent à réaliser de telles manipulations génétiques, que deviendront leurs enfants ? De brillants mutants. 

Pour ce faire, les scientifiques chinois ont relevé l’ADN de 2000 personnes remarquablement intelligentes dont celui de Geoffrey Miller, un psychologue évolutionniste et professeur à l’Université de New York, pour identifier le gène de l’intelligence.

« La plupart d’entre nous avons été recrutés lors de conférences scientifiques, ou par le bouche à oreille » avant d’ajouter : « Vous devez alors les convaincre que vous êtes aussi intelligents que vous prétendez l’être », déclare ce dernier.

Geoffrey Miller défend le programme de Beijing Genomics Institute. Il a participé avec enthousiasme à ce projet. Aujourd’hui, il est impatient de voir les biologistes le mettre en oeuvre.

Une manipulation génétique discutable

Les biologistes interviendraient sur une zone spécifique de l’embryon. Leurs analyses détermineraient alors si le gène de l’intelligence des parents est bien présent dans l’ADN de l’organisme. Si ce n’est pas le cas, « vous pouvez tester de nombreux embryons et analyser lequel d’entre eux sera le plus intelligent », poursuit le cerveau Geoffrey Miller. Toutefois, il nuance en précisant que « ce sont les gênes que les couples ont déjà ». Aussi, ce psychologue prévoit donc des consultations gratuites pour ces enfants qui apprendront qu’ils ont été génétiquement manipulés avant de venir au monde.

Dominer le monde à tout prix

Le projet de Beijing Genomics Institute ne vise pas essentiellement à satisfaire des parents inquiets d’avoir de brillants enfants. Après tout, leurs quotients intellectuels ne gagneraient que cinq points. L’ambition du gouvernement chinois est plus importante encore. « Le but de l’opération est de multiplier exponentiellement l’intelligence de la population », explique Geoffrey Miller. La Chine chercherait donc à renforcer sa domination sur le reste du monde en contrôlant l’ADN de ses enfants. Mais est-ce vraiment nécessaire…

LA RELIGION, UN FAUX PRETEXTE AUX VIOLENCES FAITES AUX FEMMES

Les 193 États membres de l’ONU se sont accordés vendredi sur une déclaration dénonçant les violences faites aux femmes. Les pays musulmans ont accepté un paragraphe soulignant qu’ »aucune considération religieuse » ne pouvait justifier des violences.

Occidentaux et pays musulmans ont surmonté vendredi leurs profondes divergences pour s’accorder sur une déclaration de l’ONU qualifiée d’historique qui dénonce les violences faites aux femmes et définit un code de conduite pour les combattre.

A l’issue de près de deux semaines de négociations à New York entre les 193 Etats membres de l’ONU, l’Iran, la Libye, le Soudan et d’autres pays musulmans à l’origine très réticents ont accepté d’inclure dans cette déclaration un paragraphe soulignant que la violence contre les femmes et les filles ne pouvait se justifier « par aucune coutume, tradition ou considération religieuse ».

De leur côté, les pays occidentaux, notamment scandinaves, qui poussaient à l’adoption d’un texte vigoureux ont fait des concessions sur le chapitre des droits des homosexuelles et des droits sexuels.

Plus de 6.000 représentants de la société civile participaient depuis le 4 mars à cette 57e session annuelle de la Commission de l’ONU sur le statut de la femme. Des applaudissements nourris et des cris de joie ont salué l’annonce de l’adoption du texte tard vendredi soir au siège de l’ONU à New York.

 

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Michelle Bachelet, directrice exécutive de ONU Femmes

Michelle Bachelet, directrice exécutive de ONU Femmes, a qualifié la réunion d’ »historique ». Juste après, l’ONU a annoncé que Mme Bachelet quittait son poste pour reprendre sa carrière politique au Chili, dont elle a été présidente.

Au cours des négociations, l’Iran, le Vatican ou la Russie s’étaient ligués dans une alliance conservatrice, selon des diplomates, pour tenter d’édulcorer le projet de déclaration finale soutenu par les Etats-Unis, le Canada et les Européens, notamment la Norvège et le Danemark. Cette impasse a menacé jusqu’à la dernière minute de faire échouer la réunion, comme cela avait été le cas en 2003.

Les pays conservateurs s’opposaient aussi à ce que des relations sexuelles imposées à une femme par son mari ou son compagnon soient considérées comme un viol et contestaient des références dans le texte au droit à l’avortement.

Les Frères musulmans en Egypte ont estimé vendredi que le texte en discussion à l’ONU était contraire à l’islam et conduirait à la « déchéance totale de la société » en cas d’adoption.

« La Commission demande instamment aux Etats de condamner avec force toutes formes de violence contre les femmes et les filles et de s’abstenir d’invoquer toute coutume, tradition ou considération religieuse pour se soustraire à leur obligation de mettre fin » à cette violence, proclame la déclaration.

Elle ajoute que les Etats doivent « accorder une attention particulière à l’abolition des pratiques et des lois discriminatrices envers les femmes et les filles ou qui perpétuent ou considèrent comme acceptable la violence exercée à leur égard ».

Les pays doivent « traiter et éradiquer en priorité les violences domestiques », souligne le texte.

« C’est le type de language susceptible de faire grincer des dents en Iran et dans les autres pays musulmans qui prônent un islam radical », a estimé un diplomate occidental présent à la réunion.

La conférence s’est tenue dans un contexte de mobilisation après l’attaque des talibans en octobre contre une adolescente pakistanaise, Malala Yousafzai, qui luttait pour promouvoir l’éducation des filles dans son pays, et le viol collectif d’une jeune Indienne en décembre dernier.

Selon un rapport de la Banque mondiale évoqué à la conférence, les femmes âgées de 15 à 44 ans sont plus nombreuses à décéder de mort violente que du paludisme, du sida ou du cancer réunis.

ARRET DE LA COUR DES COMPTES A L’ENCONTRE DE M. ABDELAZIZ BOUTEFLIKA

ARRÊT DE LA COUR DES COMPTES A L’ENCONTRE DE M. ABDELAZIZ BOUTEFLIKA

Par respect au serment prêté par les hauts fonctionnaires de la cour des comptes, nous republions l’arrêt de la cour des comptes mettant en cause celui qui prête serment la main sur le coran. Document publié le 9 août 1983 au journal « EL MOUDJAHID ». 

ARRÊT DE LA COUR DES COMPTES A L’ENCONTRE DE  M. ABDELAZIZ  BOUTEFLIKA 

ARRET DE LA COUR DES COMPTES A L’ENCONTRE DE M. ABDELAZIZ BOUTEFLIKA dans Actualité cours-des-comptes1

Cours des comptes

  • Mise en débet pour une somme de plus de 6 milliards de centimes. 
  • Transmission du dossier au ministère de la justice. 
  • La cour  des comptes (troisième chambre) a rendu hier un arrêt concernant la gestion, entre 1965 et 1978. de reliquats des exercices budgétaires et des recettes extrabudgétaires des postes diplomatiques et consulaires en mettant en débet M. Abdelaziz Bouteflika pour une somme dont la contre valeur en Dinars représente 58 868 679.85 DA qui reste à justifier.
  • La  cour a également mis en débit ce même justiciable pour une somme de 469 169.82 francs suisse, représentant une créance que détenait l’État algérien sur l’administration fiscale helvétique et dont le recouvrement relevait dûment d sa responsabilité.

Le montant de ces deux sommes totalise plus de 6 milliards de centimes.

Par ailleurs, l’instruction de cette affaire ayant relevé l’existence de faits délictueux préjudiciables au Trésor publique. La cour a décidé conformément aux dispositions de l’article 53 de la loi n 80-05 du 1er mars 1980, de transmettre l’ensemble du dossier au ministère de la Justice. 

En revanche la Cour n’a pas retenu la responsabilité de M Abdelaziz Bouteflika dans l’apurement des régies d’avances des postes diplomatique et consulaire entre 1962 et 1965. Les restes à justifier devant être apurés par la Trésorerie principale d’Alger. Ni dans celui des avances consenties aux fonctionnaires et dont le recouvrement devra être assuré par le ministère des affaires étrangères. 

D’autre part, la responsabilité  de certains hauts fonctionnaires du ministère des affaires étrangères n’a pas été retenue par la Cour des comptes qui a estimé que ceux-ci n’ont fait qu’obéir aux instructions écrites de leur ministre. Lesquelles ne faisaient peser sur eux aucune obligation dans le recouvrement des reliquats. 

Le montant de ces restes à justifier (58 868 679.85 DA) est l’aboutissement des longues investigations de l’institution tant au niveau de la trésorerie principale d’Alger qu’a celui du ministère des affaires étrangères. Et tient compte notamment du rapatriement par M. Abdelaziz Bouteflika au Trésor public. En date du 5 janvier 1979, de la contre valeur en dinars de la somme de 12 212 875.81 DA. En prévenance d la société des banques suisses à Genève. 

M. Abdelaziz Bouteflika, qui s’était ingéré dans le recouvrement des recettes revenant à l’État, en violation des principes fondamentaux de la comptabilité publique, sans avoir la qualité de comptable et sans agir sous le contrôle et pour le compte d’un comptable, a été déclaré comptable de fait. 

Agissant alors en qualité de ministre des affaires étrangères.  Il avait successivement ordonné aux chefs de missions diplomatiques et consulaires. Par instructions n° 36 du 1er mai 1967, n° 68 du 1er octobre 1969 : 

  • En 1966 de conserver au niveau des postes les soldes disponibles qui devront faire l’objet d’instructions ultérieures particulières ; 
  • En 1967, d’ouvrir au niveau des postes des comptes particuliers devant abriter des disponibilités ; 
  • En 1969, enfin de procéder au transfert des reliquats disponibles au niveau des postes vers deux comptes bancaires ouvert. Les reliquats des exercices intérieurs devaient désormais avoir la même destination.

Ces décisions avaient été prises en contradiction flagrante des dispositions des décrets n° 50-1413 du 13 novembre 1950 , du décret n° 65-259 du 14 octobre 1965, du décret n° 67-37 du 8 février 1967 et du décret n° 74-14 du 30 janvier 1974 qui faisait obligation de restitution au Trésor public de toute recette revenant à l’État. 

Le gel de cette importante trésorerie, qui a notamment profité à un établissement bancaire étranger, n’a donc obéi à aucun texte législatif ou réglementaire et sa gestion échappait totalement au contrôle du comptable supérieur du Trésor. 

Afin de tenter de justifier cette démarche qui lui permettait de gérer à sa guise des fonds publics et s’ingérer irrégulièrement dans le recouvrement de recettes revenantes à l’État, M Abdelaziz Bouteflika a invoqué à la cour la construction d’un nouveau siège du ministère des affaires étrangères dont la dépense serait couverte par cette trésorerie amassée à l’étranger. 

Ce motif fallacieux ne peut être pris en considération sachant qu’une opération d’investissement obéit à des règles bien précises qu’aucun ordonnateur ne peut ignorer et que l’éventuelle construction d’un nouveau siège du ministère des affaires étrangères doit être financée par des crédits normalement inscrits au budget de l’État. 

Ce faisant, M. Abdelaziz Bouteflika a pratiqué des fins frauduleuses une opération non-conforme aux dispositions, légales et réglementaires, commettant de ce fait des infractions prévues et punies par l’ordonnance n° 66-10 du 21 juin 1966 et les articles 424 et 425 du Code Pénal.  Avec l’arrêt rendu à l’encontre de ce justiciable le 6 janvier 1983 dans l’affaire du contrôle de la gestion de la régie occulte de devises au niveau du ministre des affaires étrangères, et confirmé par celui prononcé par la cour des comptes siégeant toutes chambres réunies le 14 mai dernier pour statuer sur les pourvois en cassation le concernant. L’arrêt d’hier met un point final aux affaires incriminant  M. Abdelaziz Bouteflika et clôt désormais au niveau de l’instruction les dossiers y afférents. 

[Source El Moudjahid du 9 août 1983 ]  

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Document publié le 9 août 1983 au journal « EL MOUDJAHID ».

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