Marathon au FFS
La fédération FFS de Tizi-Ouzou, et à sa tête Farid Bouaziz est entrain de faire un travail d’enroulement massif en prévision du prochain congrès national.
Ils (Les responsables de cette fédération) distribuent des cartes pour gonfler l’organique du parti et ils sont entrain de jouer à leur sport favori qui est le clientélisme politique. Leur objectif : C’est d’avoir le plus de congressistes. Ce qui veut dire, avoir beaucoup plus de membres au prochain conseil national pour surpasser la fédération de Bejaia.
Et là, pour plaire à leurs véritables chefs du DRS, une guerre de chiffre re-commence entre les deux ‘‘camarades’’ : Chafaâ Bouaiche de Béjaia et Nassim Sadeg de Tizi-Ouzou.
Pour rappel, voici deux informations sur les deux ‘‘amoureux’’ qui ne partagent apparemment rien avec le FFS sauf des liaisons fatales :
Un gay candidat sur la liste FFS aux législatives du 10 Mai
Publié le mercredi 21 mars 2012.
Chafaâ Bouaiche, Un gay, notoirement connu sur la place d’Alger, multiplie les attaques contre ma personne dès qu’il est en manque. Il sévirait sur la toile, sous un pseudonyme « El Mouhtarem » qui est l’exact contraire de son pseudo, dans un blog pornographique « FFS 1963 » faisant office d’un site politique proche du FFS. N’étant pas particulièrement un féru de ce genre de sites, j’ai jamais eu l’occasion de lire les délires répétitifs de ce gay dont j’en entends parler que via des amis. Cet individu, que je ne connais ni d’Ève ni d’Adam, traîne toutefois une réputation suffisamment trouble pour que je m’interdise toute polémique sérieuse avec lui. Je fais par respect à ma propre personne et par mépris pour ce prostitué politique qui a entamé sa carrière à l’UNEA du FLN qu’il quittera pour le RCD avant de finir (pour le moment) au FFS. Je tiens juste à préciser que les gays ne m’intéressent pas. D’ailleurs, dans nos traditions, notre éducation, notre culture cette perversion sexuelle n’est pas une vertu mais une honte. Espérons que ce genre de prostituées cesse d’infester le monde de la presse qu’ils ont rejoint par effraction. C’est une question d’écologie.
Aujourd’hui, il est devenu chargé à la communication du FFS et numéro 2 sur la liste des candidats aux législatives à Bejaia.
« Heureux les martyrs qui n’ont rien vu »
par Amar Rabia, mercredi 21 mars 2012
PS : Article publié par Kamel Amarni, journaliste au Soir d’Algérie, modifié et actualisé.
En 2005 il a avalé sa carte de militant, en 2012 il est candidat aux législatives !
Par Amar Rabia, mardi 27 mars 2012.
Curieux que je suis avec ce qui reste du FFS, j’ai cherché après les candidats, même si je ne voterais pas. Ce qui m’a surpris de plus c’est l’ex ami de mon frère alors qu’ils étaient étudiants à l’université de Tizi-Ouzou.
Sadeg Nassim, de son vrai nom est l’actuel Secrétaire national chargé de la mobilisation et du suivi des fédérations au sein du Front des Forces Socialistes(FFS).
Ce qu’on retient de lui alors qu’il était étudiant à l’université durant plusieurs années, avant de l’abandonner sans diplôme, c’est son surnom « Monica », vu son caractère féminisé.
En 2002, alors qu’il était étudiant en 3 eme année électronique, il négocie avec le doyen de sa faculté pour accéder en classe supérieur, pendant que ses camarades étaient en grève illimité.
Durant la même année, il a été dégommé de la scène syndicale par une jeune génération de nouveaux étudiants, lui et ses camarades du FFS qui ont pris en otage la Coordination Locale des Etudiants (CLE) en otage.
Le 11 janvier 2005, alors qu’il était avec d’autres étudiants membres de la CLE, qui se sont déplacés à l’ITFC d’Alger pour s’acquérir de la situation de l’université d’Alger suite à l’arrestation de Merzouk Hamitouche, il a avalé sa carte de militant FFS, juste après son arrestation par la police et ce de peur d’être découvert qu’il est militant politique.
Le lendemain au soir, soit après la libération des étudiants, il vole 20 DA, je dis bien une pièce de 20 DA, à un malheureux policier qui était posté devant l’entrée du siège du RCD de Didouche Mourad d’Alger.
Pis encore, la même année et à la veille de la marche traditionnelle du 20 avril, il reçoit un coup de téléphone de la part de Karim Tabou pour lui demander de se retirer de cette marche, donc il annonce publiquement sa démission du FFS, et ce juste à coté du pavillon H de la cité universitaire de Oued-Aissi. D’ailleurs, les étudiants savent qu’il y aura marche ou rassemblement, avant même la diffusion de l’appel, dés qu’ils voient Nassim Sadeg faisait l’auto-stop pour fuir l’université.
Une année plus tard, soit en 2006, il vole « une couverture » appartenant à son camarade du Club scientifique d’électronique de Bastos, pour faire l’inventaire de fin d’année à la cité universitaire.
Après avoir passé quatre ans en 4 eme année, il quitte l’université sans diplôme pour rejoindre le siège national du FFS. C’est ainsi qu’il découvre Nabila, la permanente du siège national, qui devient ainsi sa première maitresse.
De Monica, il devient DSK du FFS, non pas l’économiste ; mais avec ses scandales.
Un bœuf-carottes, proxénète, qui devient célèbre sous les traits et les vêtements d’une femme, mais sa vie privée s’en trouve singulièrement compliquée.
Sous l’ancienne direction du FFS, il consomme une facture salée qui dépasse les cinq millions de centimes juste pour les appels téléphoniques à ses maitresses.
D’ailleurs, c’est cette même Nabila, femme forte du siège national, qui le place à la 6 eme place de la liste des candidats de Tizi-Ouzou, avec la bénédiction de Chafaâ Bouaiche qui lâcha devant les contestataires : «Nous n’avons pas besoin de vos voix, en tout cas nos quotas sont garantis et c’est Karim Bahloul qui nous a confirmé».
Avec sa nullité tapageuse, arrogance, incompétence, manque d’idées et étroitesse des vues, Nassim Sadeg n’est rien d’autre qu’un vulgaire professionnel de la pire espèce, en quête permanente et à la recherche de privilèges, comme il l’a toujours fait : il déjeune le matin avec les étudiants, il dine le soir avec les directeurs de cités.
Voici un CV exemplaire d’un militant FFS qui prétend légiférer à la future Assemblée Nationale.
Il était une fois un pays étrange, où le pire était toujours à craindre lorsqu’il s’assoupissait, paraissait résigné, détaché de la chose politique, subissant une étrange langueur dont il n’était en rien responsable.
Nous voici, hélas, au temps des nains !
Politiquement ils ont dit « participation tactique ». Le choix des candidats était une stratégie d’épicier
Après la participation tactique, c’est le choix clanique ?
Une commission nationale de choix des candidatures qui était juge et partie.
Décidément, c’est l’éternel : Qim Thoura.
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