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Archive pour le 14 mars, 2013

Ali Haddad lancera une chaîne de télévision qui émettra sur satellite à partir d’Octobre

L’Homme d’affaires, Ali Haddad, aura bientôt sa chaîne de Télévision. Certaines sources proches de cet entrepreneur ont indiqué que la chaîne de Télévision, qui s’appellera DzairwebTV émettra sur satellite à partir du mois d’octobre prochain.

Ali Haddad lancera une chaîne de télévision qui émettra sur satellite à partir d’Octobre dans Confidences dzair-web-300x1932Cela fait des mois que le patron de l’ETRHB, qui possède déjà deux quotidiens nationaux, se prépare à une éventuelle ouverture du champ audiovisuel. Il a constitué une équipe de journalistes et responsables qui travaillent dans les trois langues. En plus de Reda Belkhadim qui gère la chaîne, des rédacteurs en chef sont nommés. Ainsi, l’édition francophone sera gérée par Khaled Derarni, la version amazighe par Karim Lakhdari et Kamel Zaït gérera l’édition arabe.

Des journalistes de la chaine sont même en train de couvrir des évènements pour constituer « un frigo », en vue du lancement effectif de la télévision qui diffusera en trois langues. Le patron de l’entreprise, Ali Haddad, a même acquis un immeuble à cet effet. Il est situé sur les hauteurs d’Alger. L’homme a également construit un autre immeuble à Saïd-Hamdine pour abriter les autres filiales du groupe médiatique, à savoir les deux journaux Le Temps d’Algérie et Wakt El-Jazaïr.

Certaines sources avancent que le prochain Directeur de la chaîne de la nouvelle chaîne de télévision n’est autre que Hamraoui Habib-Chawki. Actuellement ambassadeur d’Algérie en Roumanie, l’ancien dirigeant de l’ENTV rentrera bientôt pour gérer la chaine privée.

À rappeler que plusieurs chaînes de télévisions « algériennes » émettent depuis des mois déjà à partir de l’étranger. Il s’agit d’EchouroukTv, EnnaharTv, El-DjazaïrTv, NumediaTv et HoggarTv. D’autres projets sont en cours pour la création d’autres chaines privées. Le journal El-Khabar a annoncé dans un communiqué qu’il a mis en place un comité chargé de préparer le projet. Tous n’attendent qu’une chose : l’ouverture du champ audiovisuel pour s’installer carrément en Algérie.

Assassinat de la policière d’Adrar : Peine de mort pour le commissaire assassin

Le commissaire de police, Boutrik Abdelkrim a été condamné ce mercredi par le tribunal criminel de Bechar à la peine capitale pour assassinat prémédité et dissimulation de preuves de crime.Assassinat de la policière d’Adrar : Peine de mort pour le commissaire assassin dans Actualité 531549_413920878699071_1347678185_n

Il a été jugé dans le cadre de l’affaire de l’assassinat d’une policière perpétré dans la zone désertique de la région de Reggane (Adrar), le 16 juillet 2010. Alors qu’il occupait les fonctions de responsable du service de police judiciaire de la sûreté de la même wilaya.

Selon l’accusation, après avoir égorgé la victime Hadj Brahim Cherifa (31 ans), il avait procédé à l’effacement de toutes traces de son forfait. Confronté par les preuves scientifiques apportées par les enquêteurs et les autres dépositions des témoins qui ont fait état de relations suivies qu’avaient cet individu avec sa victime, il a nié en bloc avoir commis ce crime.

Pour rappel, la victime exerçait comme officier sous les ordres du commissaire Boutrik à la sûreté de la wilaya d’Adrar. De peur d’être dénoncé par sa subalterne pour son implication dans une affaire de trafic de boissons alcoolisées, il s’est présenté au domicile de la victime le 16 juillet 2010 pour lui intimer l’ordre de l’accompagner dans le cadre d’une mission.

Et c’est au cours de cette “mission” que le commissaire a égorgé la policière et l’a laissé gisant dans une mare de sang en plein désert avant qu’un nomade de passage ne découvre son corps quelques heures après le crime.

Communiqué du collectif des associations de la commune d’Illoula Oumalou (Tizi-Ouzou)

Communiqué du collectif des associations de la commune d’Illoula Oumalou (Tizi-Ouzou) dans Actualité images-21-300x116Le journal oriental, «Echourouq», qui ne voit le jour que pour servir l’arabisme et refouler le kabyle, monte d’un cran dans l’expression publique de son racisme primaire vis-à-vis de la Kabylie et de Tamurt n yiqbayliyen (la patrie des kabyles). Hélas, notre Illoulen ou Malou la chère indissociable de la Kabylie ; grande nation Amazighe, ne peut plus résister à ses insultes nazi, des insultes venus d’un pouvoir qui se comporte comme colonialiste.

Si quelqu’un veut comprendre quelle place que réserve les dirigeants de l’Algérie officielle pour les Illoulen ou Malou , l’organe de la wilaya trois, il suffit que de lire le journal des (Echourouq) qui dénigre nos mères, dénigre nos hommes, qui contrains leurs projets assimilationniste ,colonialiste, nos hommes et nos femmes qui ont depuis toujours produit des idées de respect et de reconnaissance de l’autre, une énième fois nous assistons à des news-colonialistes qui ciblent les populations des villages des Illoulen de Kabylie par une presse financée par l’argent du peuple en portant directement atteinte à la dignité kabyle au profond même de sa société : les femmes et les enfants kabyles : Les femmes; parce que sont les gardiennes des valeurs et des traditions ancestrales qu’elles réussissent à transmettre malgré le matraquage idéologique entrepris par l’Etat négationniste d’Alger; et les enfants pour être l’avenir, le futur de cette Kabylie de cette Afrique du nord qu’ils aspirent à faire descendre à leur propre niveau, celui du reniement de l’histoire, de la langue et de la civilisation amazighes de façon à les réduire à leur propre statut ; celui de vulgaires copies, même pas « conforme », de l’identité arabo-islamique. 

Ainsi, revenons à l’intention du général ou du colonel «Echourouq». Le journal des terroristes diabolisés à l’image de son idéologie raciste qu’est l’arabisme, a commis un article dont le titre, à lui seul, est révélateur des objectifs infects qui le sous-tendent : « Les femmes mettent au monde leurs enfants dans la rue, les enfants vont à l’école sur des ânes ».

C’est toute la haine nourrie envers cette région qui dégouline de ce titre injurieux, réservé, et l’on sait pourquoi, aux villages de la commune d’Iloula Oumalou. Parce qu’elle a enfanté des braves qui se sont donné corps et âmes pour combattre le colonialisme d’hier, parce qu’elle a donné naissance à un leader qui a refusé votre colonialisme d’aujourd’hui caché sous le nom et le drapeau de l’Algérie. 

Nous demandons à nos frères n Le∑erc n yillulen et nos Tijemuya∑ n Tudrin d Iloulen ou Malou, comment ils restent indifférents devant toute ces injures maladives blindées de haine à notre égare, du journal « Echourouq », qui insulte nos femmes et nos mères.

Si vous décrivez la vie misérable de notre région, parce que tous simplement l’argent et les pétro dollars qui doivent être investis dans le développement de ce malheureux pays, vous dirigeants Monsieur le « journaleux », méfient criminels les versent dans le financement des journaux qui colonise l’Algérie, dans les groupes terroristes qui sabotent la Kabylie.

Vous général que vous êtes, ou colonel du (DRS) ou responsable politique de (OUDJDA) à la tête des (Echourouq), vous devez savoir que votre système est le plus mellifique et diabolique que l’Afrique du nord a vu durant toute son histoire, que votre colonialisme est le plus féroce, car ce new impérialisme est venu au nom d’une Algérie que nos prédécesseurs souhaitaient qu’elle soit libre est démocratique.

Nous voulons demander à ce journal qui s’occupe des insultes à notre encontre, de faire une véritable enquête sur ceux qui ont assassiné Tahar DJAOUT, sur ceux qui ont assassiné BOUDIAF, sur les scandales de la mafia-politico-financière, mais de faire l’enquête sur les véritable enjeux des kidnappings en Kabylie, sur la véritable intention du quadrillage militaire de notre Illoulen ou Malou et chère Kabylie , sur ces crimes des Etats que vous appelez dans vous journaux (bavures militaires), sur les donneurs d’ordre d’assassiner notre brillant lycéen MHENNI par des armes de guerre de votre gendarmerie . Aussi sur le racisme et marginalisation économique de notre commue, nous demandons à vous apparatchiks de l’occident et du moyen orient jusqu’à l’Arabie saoudite, de définir quels genre d’investissent que votre système envisageait en Kabylie depuis 1962, aucune usine publique, aucun hôpital aucune salle des sports.

Vous nous disiez que les citoyens de cette commune «ne survivent que grâce à la charité de l’Etat à travers des dons distribués au niveau du siège de l’APC», peut-être c’est vrais vous distribuez de l’argent à la clientèle Harki du système étatique Harki Algérien que vous avez placé un peu partout sur le territoire appelé Algérien, 
Vos propos parlent du «chômage», «dégradation des routes», «impossible de se déplacer la nuit», «absence de transports scolaire » «se déplacent sur des ânes pour aller à l’école» toute cette constatation reflète l’image de votre régime corrompu et colonialiste harkis accentué par « l’occident » et le « Machriq », un régime qui tiraillé l’Algérie et qui colonise les algériens, notamment la Kabylie qui doublement colonisée.

Enfin n’oubliez pas que vous êtes les premiers ennemis de l’Algérie qui complotent avec le new impérialisme économique de l’occident et idéologique du moyen orient, n’oubliez pas que surtout votre système nous colonise et colonise tout les Algériens notamment les autochtones kabyles, ou Mzab Chaoui ou Chlouh, Chenoui ou Targui, ces dernies sont en train de subir des assauts de l’aviation et de l’armée française qui à partir du territoire Algérien, donc vous, les meilleurs collaborateurs.

Et nous les lycéens nous avons compris maintenant pourquoi cette guerre totale contre notre commune, contre la Kabylie et contre l’Algérie.

« Le collectif des associations de la commune d’Illoula Oumalou »
ILLOULA OUMALOU, le 14 Mars 2013

Tunisie : La diplomatie des occasions perdues

Tunisie : La diplomatie des occasions perdues dans Analyse diplomatie_tunisienne_14_3-300x191Une diplomatie à trois ou quatre tête, qui oublie qu’elle est intérimaire, passe à côté de l’essentiel et s’emporte «au quart de tour», ne peut que cueillir les déconvenues et entamer sa crédibilité et le préjugé favorable de la révolution du 14 janvier 2011.

-De Tunis, Par Moncef Dhambri-

La diplomatie est un art, une affaire de tact et de flair, une science, un savoir-faire, un savoir-vivre, des connaissances certaines, de brillantes idées et de nombreux moyens matériels et humains qu’un pays et ses dirigeants possèdent ou ne possèdent pas. Et je m’empresse de d’ajouter qu’Ennahdha et ses associés de la Troïka n’ont rien de tous ces éléments essentiels et qu’il en est, malheureusement, ainsi pour plusieurs raisons, dont notamment la structure mentale, le tempérament et la culture de ces hommes qui nous gouvernent depuis une bonne quinzaine de mois.

Les inoubliables standing-ovations… oubliées

Au bout de plus deux années de révolution, il nous semble possible d’établir un bilan de la diplomatie de notre pays, de faire une évaluation de ce que la Tunisie, sous la direction de la Troïka, a pu réaliser ou tenter de réaliser, ce qu’elle a réussi ou raté.

Nous savons également que la diplomatie est l’art de la discrétion, une gymnastique qui se pratique dans les coulisses des chancelleries et une acrobatie faite de petits pas, de très peu de mots, de subtiles nuances et de non-dits.

Evidemment, dans pareil contexte, l’analyste se résout assez souvent à l’interprétation de menus indices, à la lecture entre les lignes, voire l’extrapolation.

Au départ, le 14 janvier 2011, et par la suite, au lendemain des élections du 23 octobre 2011, la Tunisie disposait d’un héritage diplomatique bourguibien plus ou moins intact et de la manne révolutionnaire divine. Autant dire qu’il s’agissait d’un riche capital inusable. 

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L'émir du Qatar chez Moncef Marzouki: une diplomatie de sous-traitance.

Le legs bourguibien était perfectible, moyennant quelques rectifications mineures et quelques clarifications de ses fondamentaux. La manne révolutionnaire, elle, pouvait tout simplement ramasser à la pelle les dividendes abondants de notre inattendu 14 janvier: la Révolution du jasmin, porteuse du Printemps arabe, s’est vite attiré la sympathie et le soutien du monde entier pour devenir le plus intéressant laboratoire à idées du 21e siècle.

Rien, ni personne, ne pouvait priver notre pays de cette chance inouïe d’imprimer son sceau sur la scène internationale.

Rien, ni personne, ne pouvait «se mettre au travers de la route» de notre ascension historique et de notre émergence démocratique.

Aux quatre coins du monde, pour des raisons diverses, les premiers pas de notre révolution ont été accueillis par d’inoubliables standing ovations, par l’expression de regrets (sincères ou pas, peu importe) de n’avoir pas su dire «non» à Ben Ali ou de l’avoir soutenu, et par la générosité et le soutien moral et financier que méritent les braves. L’on accourrait de toutes parts pour rendre hommage à notre miracle révolutionnaire, pour tenter de comprendre le sens de nos «Dégage!» et «Game Over!», et «pour apprendre la leçon» tunisienne, selon la formule de l’ancienne secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton…

De fait, en ces temps de «fin des idéologies» et de confusion des référentiels, des idées et des idéaux, notre «petite» Tunisie aurait ouvert de nouvelles voies dans lesquelles le monde pouvait s’engager.

Que nous reste-t-il donc aujourd’hui de ce trésor abondant? Notre diplomatie révolutionnaire, laissée au soin des Nahdhaouis et leurs associés, qu’en a-t-elle fait? En a-t-elle fait bon usage? L’a-t-elle rentabilisé ? Ou, au contraire, l’a-t-elle dilapidé, épuisé et perdu à jamais?

Pour emprunter la voie la plus courte et la plus directe, nous dirons que l’incompétence, la maladresse, l’inconscience et immaturité de nos diplomates de la Troïka ont commis les erreurs les plus irréparables, les faux-pas les plus irrattrapables et récolté les «boulettes» les plus inimaginables, les unes après les autres.

Improvisations et ratages de tous genres

Tout d’abord, leur inexpérience en matière de politique étrangère s’est traduite par cette division ou partage de la prise de décision ou prise de position entre trois, quatre ou cinq: le locataire de Carthage, le Premier ministre provisoire, le ministre des Affaires étrangères sortant Rafik Abessalem, le chef d’Ettakatol et même le gourou de Montplaisir, tous avaient leur mot à dire. Tous ont mis, couche sur couche, leurs gaucheries à contribution pour un produit final décevant et affligeant.

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Rafik Abdessalem et Hillary Clinton à Washington: faux-pas irrattrapables et «boulettes» inimaginables.

Une diplomatie tri- ou quadri-céphale qui oubliait qu’elle était intérimaire, qui ne voyait pas l’essentiel ou lui tournait le dos pour s’emporter «au quart de tour», ne pouvait cueillir que des déconvenues et entamer, à chaque fois, son crédit, sa crédibilité et le préjugé favorable dont la Révolution du 14 janvier 2011 bénéficiait au départ.

A plusieurs reprises, nos diplomates novices se sont crus obligés de porter le fanion de certaines causes pour lesquelles mêmes les grandes nations de ce monde ont souhaité s’accorder plus de temps et de réflexion. Par populisme, naïveté et, certainement aussi, par manque d’expérience, ils ont cru bon se placer au devant de la scène, bousculer la bienséance et faire fi à maintes reprises des intérêts du pays. Chacune des têtes «pensantes» de notre politique étrangère improvisait au jour le jour et collectionnait ainsi les ratages les plus honteux.

Par exemple, par souci d’exportation de notre révolution et pour épater une certaine galerie, nous avons vu Moncef Marzouki, président provisoire de la république, et le ministre des Affaires étrangères sortant remuer ciel et terre pour être parmi les premiers «amis du peuple syrien». Leur enthousiasme et leur euphorie ont pu susciter un certain intérêt, au début, pour vite tomber dans l’oubli et l’indifférence… Des conférences internationales se tiendront sur cette question, en leur absence, ou en leur «présence absente»… Et le sort de nos concitoyens résidant en Syrie était passé au second plan.

Sur les terrains proches, africains, proche-oriental ou méditerranéens, nos diplomates ont brillé par les petites idées que leurs homologues n’écoutent que par politesse ou par respect pour le peuple tunisien. En Europe voisine, l’on ne nous réserve plus que tact et protocole. Aux réunions onusiennes, nos participations pouvaient passer inaperçues.

Et, petit-à-petit, notre pays, qui est devenu sous la direction de la Troïka «exportateur de jihadistes» et importateur de wahhabisme, a attiré de moins en moins de sympathie et de soutien, il a froissé certaines de nos fraternités et perdu quelques unes de nos amitiés.

Bref, en une si courte période de temps, la somme totale de notre politique étrangère a été une maigre, très maigre, moisson.

Peut-on encore rattraper le temps perdu?

Banques nationales et institutions financières internationales révisent leur générosité à la baisse, suspendent leurs promesses en attendant «de pouvoir voir mieux», prétextent leurs propres difficultés économiques et expliquent que la restitution des biens spoliés par l’ancien régime est une opération très délicate qui nécessite beaucoup de patience.

Les investisseurs étrangers, apeurés, sauvent ce qu’ils peuvent et plient bagages, car la Tunisie n’offre plus la sécurité nécessaire à leurs affaires.

L’innocence des touristes se laisse prendre et décide, malgré les incertitudes, de refaire confiance à l’hospitalité et l’ouverture tunisiennes. Cependant, à chaque fois, une surprise désagréable vient contrarier cette bonne volonté: pêle-mêle, une ambassade des Etats-Unis saccagée, Chokri Belaïd assassiné, un drapeau français brûlé sur l’avenu Habib Bourguiba, une députée nahdhaouie, Sonia Toumia, qui exige des«exquises» du ministre français de l’Intérieur, etc.

Que de temps et de terrain perdus! Que de manque à gagner!

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Hollande reçoit Marzouki à l'Elysée: sous le masque souriant, une mésentente cordiale.

Un jour, le 23 octobre 2011, a suffi pour se transformer en un destin, une descente, une chute libre que le gouvernement Lârayedh est, en toute honnêteté, mal placé pour arrêter.

Il faut espérer que les prochaines élections, dans sept ou huit mois, redistribueront les cartes, qu’elles mettront sur la touche les Nahdhaouis, le Congrès pour république et Ettakatol et donneront une chance nouvelle à «la véritable Tunisie», celle du vrai juste milieu, moderniste, progressiste et ouverte, de s’exprimer et de pouvoir recoller les morceaux…

Ce jour-là, nos diplomates parleront le bon arabe de notre région et ils maîtriseront le français et l’anglais à la perfection.

Ce jour-là aussi, les chefs d’Etat frères et amis et autres les grandes personnalités du monde n’ajourneront plus ou n’annuleront plus leurs visites en Tunisie. Ce jour-là, nous retrouverons notre pays.

Les femmes saoudiennes forcées d’allaiter les hommes pour pouvoir fréquenter.

Les femmes saoudiennes forcées d’allaiter les hommes pour pouvoir fréquenter. dans International allaitementEn Arabie Saoudite, les femmes et les hommes ne peuvent se côtoyer ou vivre sous le même toit sauf s’ils ont des liens familiaux, au risque d’être puni par la loi. Pour contourner l’interdiction de mixité, les cheiks ont établi une règle pour le moins surprenante: elle impose aux femmes d’allaiter –oui, comme les bébés– les hommes qu’elles souhaiteraient fréquenter, et ce cinq fois. Car le seul fait pour l’homme de boire le lait de la femme lui permet d’être considéré comme un proche et ainsi de vivre avec elle sous le même toit, dans le respect de la loi.

Il faut se rendre compte de la sévérité de cette interdiction de mixité pour comprendre d’où vient cette étrange histoire d’allaitement: Open Salon rappelle qu’en mars 2009, une veuve de 75 ans avait été condamnée à 6 mois de prison et 40 coups de fouet pour avoir été retrouvée chez elle en compagnie de deux hommes, qui lui livraient son pain.

Mais pourtant, le débat ne se focalise pas sur cette question de mixité, explique Open Salon, «ce qui est le plus bizarre dans tout ça, c’est que la question principale qui se pose est: comment les hommes peuvent-ils boire ce lait?»

Car tous ne sont pas d’accord sur le procédé. Doit-on boire le lait directement au sein de la femme, ou dans un verre? Pour Abi Ishaq Al Huwaini, il faut procéder à une tétée en règle, directement au sein de la femme. Le Gulf News rapporte les propos du cheikh Al Obeikan, conseiller au ministère de la Justice et à la Cour Royale qui lui prône la seconde option, celle de boire le lait mais pas directement de la poitrine de la femme.

Pour la blogueuse Ema Al Nafjan, cette pratique est dégoûtante:

Toute cette histoire montre à quel point les hommes sont perdus. Tous ces va et vient entre les cheiks et personne ne daigne demander à une femme si c’est logique. Si c’est possible d’allaiter un homme adulte cinq fois.

Car les hommes n’ont vraisemblablement pas pris en compte un argument naturel: est-il possible pour une femme d’allaiter un adulte? Normalement le corps d’une femme ne secrète du lait qu’après un accouchement.

Et la blogueuse de pointer du doigt les contradictions d’un régime puritain.

De plus, la vision d’une tête chevelue sur la poitrine d’une femme n’évoque pas de sentiments fraternels ou maternels. Cela va plutôt du grotesque à l’érotique mais il n’y a définitivement rien de maternel là-dedans.

Certains hommes ont d’ailleurs bien saisi la dimension érotique du geste. Une femme a déjà porté plainte contre un chauffeur de bus qui désirait lui téter le sein. 

Lettre à Bouteflika président de la République algérienne

 

Lettre ouverte à Monsieur Bouteflika Président de la République algérienne

Une libre opinion d’André Savelli, professeur agrégé au Val de Grâce

Transmise par le docteur Paul ASSICOT de Rennes, frère du docteur Michel ASSICOT, ancien appelé en Algérie, voici un courrier exemplaire adressé au président algérien Monsieur BOUTÉFLIKA, par M. André SAVELLI, professeur agrégé en histoire au Val de Grâce. 

Monsieur le Président,

En brandissant l’injure du génocide de l’identité algérienne par la France, vous saviez bien que cette identité n’a jamais existé avant 1830. Mr Ferrat Abbas et les premiers nationalistes avouaient l’avoir cherchée en vain. Vous demandez maintenant repentance pour barbarie : vous inversez les rôles ! C’était le Maghreb ou l’Ifriqiya, de la Libye au Maroc. Les populations, d’origine phénicienne (punique), berbère (numide) et romaine, étaient, avant le VIIIème siècle, en grande partie chrétiennes (500 évêchés dont celui d’Hippone / Annaba, avec Saint Augustin). Ces régions agricoles étaient prospères. 

Faut-il oublier que les Arabes, nomades venant du Moyen Orient, récemment islamisés, ont envahi le Maghreb et converti de force, « béçif » (par l’épée), toutes ces populations. « Combattez vos ennemis dans la guerre entreprise pour la religion….Tuez vos ennemis partout où vous les trouverez » (Coran, sourate II, 186-7). Ce motif religieux était élargi par celui de faire du butin, argent, pierreries, trésor, bétail, et aussi bétail humain, ramenant par troupeaux des centaines de milliers d’esclaves berbères ; ceci légitimé par le Coran comme récompense aux combattants de la guerre sainte (XLVIII, 19, 20) .Et après quelques siècles de domination arabe islamique, il ne restait plus rien de l’ère punico romano berbère si riche, que des ruines (Abder-Rahman ibn Khaldoun el Hadrami , Histoire des Berbères,T I, p.36-37,40,45-46. 1382) . 

Faut-il oublier aussi que les Turcs Ottomans ont envahi le Maghreb pendant trois siècles, maintenant les tribus arabes et berbères en semi esclavage, malgré la même religion, les laissant se battre entre elles et prélevant la dîme ,sans rien construire en contre partie. 

Faut-il oublier que ces Turcs ont développé la piraterie maritime, en utilisant leurs esclaves. Ces pirates barbaresques arraisonnaient tous les navires de commerce en Méditerranée, permettant, outre le butin, un trafic d’esclaves chrétiens, hommes, femmes et enfants. Dans l’Alger des corsaires du XVI ème siècle, il y avait plus de 30.000 esclaves enchaînés. D’où les tentatives de destruction de ces bases depuis Charles Quint, puis les bombardements anglais, hollandais et même américain…..Les beys d’Alger et des autres villes se maintenaient par la ruse et la force, ainsi celui de Constantine, destitué à notre venue, ayant avoué avoir fait trancher 12.000 têtes pendant son règne. 

 

 

L’esclavage existait en Afrique depuis des lustres

Faut-il oublier que l’esclavage existait en Afrique depuis des lustres et existe toujours. Les familles aisées musulmanes avaient toutes leurs esclaves africains. Les premiers esclavagistes, Monsieur le Président, étaient les négriers noirs eux-mêmes qui vendaient leurs frères aux Musulmans du Moyen Orient, aux Indes et en Afrique (du Nord surtout), des siècles avant l’apparition de la triangulaire avec les Amériques et les Antilles, ce qui n’excuse en rien cette dernière, même si les esclaves domestiques étaient souvent bien traités. 

Faut-il oublier qu’en 1830, les Français sont venus à Alger détruire les repaires barbaresques ottomans qui pillaient la Méditerranée, libérer les esclaves et, finalement, affranchir du joug turc les tribus arabes et berbères opprimées. 

Faut-il oublier qu’en 1830, il y avait à peu près 5.000 Turcs, 100.000 Koulouglis, 350.000 Arabes et 400.000 Berbères dans cette région du Maghreb où n’avait jamais existé de pays organisé depuis les Romains. Chaque tribu faisait sa loi et combattait les autres, ce que l’Empire Ottoman favorisait, divisant pour régner. 

Faut-il oublier qu’en 1830 les populations étaient sous développées, soumises aux épidémies et au paludisme. Les talebs les plus évolués qui servaient de toubibs (les hakems), suivaient les recettes du grand savant « Bou Krat » (ou plutôt Hippocrate), vieilles de plus de 2.000 ans .La médecine avait quand même sérieusement évolué depuis ! 

 

La France a soigné toutes les populations du Maghreb

Faut-il oublier qu’à l’inverse du génocide, ou plutôt du massacre arménien par les Turcs, du massacre amérindien par les Américains, du massacre aborigène par les Anglais et du massacre romano-berbère par les Arabes entre l’an 700 et 1500, la France a soigné, grâce à ses médecins (militaires au début puis civils) toutes les populations du Maghreb les amenant de moins d’un million en 1830 en Algérie, à dix millions en 1962. 

Faut-il oublier que la France a respecté la langue arabe, l’imposant même au détriment du berbère, du tamashek et des autres dialectes, et a respecté la religion (ce que n’avaient pas fait les Arabes, forçant les berbères chrétiens à s’islamiser pour ne pas être tués, d’où le nom de « kabyle » – j’accepte). 

Faut-il oublier qu’en 1962 la France a laissé en Algérie, malgré des fautes graves et des injustices, une population à la démographie galopante, souvent encore trop pauvre, – il manquait du temps pour passer du moyen âge au XX ème siècle – mais en bonne santé, une agriculture redevenue riche grâce aux travaux des Jardins d’Essais, des usines, des barrages, des mines, du pétrole, du gaz, des ports, des aéroports, un réseau routier et ferré, des écoles, un Institut Pasteur, des hôpitaux et une université, la poste… Il n’existait rien avant 1830. Cette mise en place d’une infrastructure durable, et le désarmement des tribus, a été capital pour l’Etat naissant de l’Algérie. 

Faut-il oublier que les colons français ont asséché, entre autres, les marécages palustres de la Mitidja, y laissant de nombreux morts, pour en faire la plaine la plus fertile d’Algérie, un grenier à fruits et légumes, transformée, depuis leur départ, en zone de friche industrielle. 

Faut-il oublier que la France a permis aux institutions de passer, progressivement, de l’état tribal à un Etat nation, et aux hommes de la sujétion à la citoyenneté en construction, de façon, il est vrai, insuffisamment rapide. Le colonialisme, ou plutôt la colonisation a projeté le Maghreb, à travers l’Algérie, dans l’ère de la mondialisation. 

 

Personne ne vous demande repentance pour avoir laissé péricliter l’Algérie…

Faut-il oublier qu’en 1962, un million d’européens ont dû quitter l’Algérie, abandonnant leurs biens pour ne pas être assassinés ou, au mieux, de devenir des habitants de seconde zone, des dhimmis, méprisés et brimés, comme dans beaucoup de pays islamisés. Il en est de même de quelques cent mille israélites dont nombre d’ancêtres s’étaient pourtant installés, là, 1000 ans avant que le premier arabe musulman ne s’y établisse. Etait-ce une guerre d’indépendance ou encore de religion ? 

Faut-il oublier qu’à notre départ en 1962, outre au moins 75.000 Harkis, sauvagement assassinés, véritable crime contre l’humanité, et des milliers d’européens tués ou disparus, après ou avant, il est vrai, les excès de l’O.A .S., il y a eu plus de200.000 tués dans le peuple algérien qui refusait un parti unique , beaucoup plus que pendant la guerre d’Algérie. C’est cette guerre d’indépendance, avec ses cruautés et ses horreurs de part et d’autre, qui a fondé l’identité algérienne. Les hommes sont ainsi faits ! 

Monsieur le Président, vous savez que la France forme de bons médecins, comme de bons enseignants. Vous avez choisi, avec votre premier ministre, de vous faire soigner par mes confrères du Val de Grâce. L’un d’eux, Lucien BAUDENS, créa la première Ecole de médecine d’Alger en 1832, insistant pour y recevoir des élèves autochtones. Ces rappels historiques vous inciteront, peut-être, Monsieur le Président, à reconnaître que la France vous a laissé un pays riche, qu’elle a su et pu forger, grâce au travail de toutes les populations, des plus pauvres aux plus aisées – ces dernières ayant souvent connu des débuts très précaires -. La France a aussi créé son nom qui a remplacé celui de Barbarie. Personne ne vous demandera de faire acte de repentance pour l’avoir laissé péricliter, mais comment expliquer que tant de vos sujets, tous les jours, quittent l’Algérie pour la France ? 

En fait, le passé, diabolisé, désinformé, n’est-il pas utilisé pour permettre la mainmise d’un groupe sur le territoire algérien ? Je présente mes respects au Président de la République, car j’ honore cette fonction. 

Un citoyen français, André Savelli, Professeur agrégé du Val de Grâce. 

 

Le professeur André Savelli est né en 1927 à Rabat de parents originaires de Blida et Oued El Aleug. C’est l’aîné de 7 garçons, il fait ses études secondaires à Rabat. Il entre à la Faculté de Médecine d’Alger en 1945 puis à l’Ecole du Service de Santé de Lyon. Il passe sa thèse à Alger sous la direction du Professeur Benhamou puis passera trois ans comme médecin militaire à In Salah avant de rejoindre le 1er RTA à Blida. En 1961 il sera chef du service psychiatrique de l’Hôpital Maillot puis sera nommé Professeur Agrégé au Val de Grâce. Par la suite il fut Chargé de Cours en psychopathologie à la Faculté des Lettres de Montpellier et Chargé de Criminologie Psychiatrique à la Faculté de Droit. Il est l’auteur d’une centaine de publications en psychpathologie. Il est Chevalier de la Légion d’Honneur, Officier de l’Ordre National du Mérite et membre de l’Académie des Sciences et des Lettres de Montpellier.

 

 

 

 

La chasse aux couples non-mariés est de retour à Alger.

La chasse aux couples non-mariés est de retour à Alger.  dans Actualité 75006_503322559732621_1030933077_nÀ Chéraga, ces dernières semaines, les policiers n’hésitent plus à embarquer ces couples jugés illégitimes. Mieux encore, la Police vérifie même « la virginité des filles surprises encompagnie des hommes ».

Selon le quotidien francophone l’Expression, les policiers de la DGSN de Chéraga ont procédé à l’arrestation de plusieurs couples non-mariés. Embarquées au commissariat, les filles sont emmenées par la suite à l’hôpital pour que l’on puisse examiner leur virginité, rapporte ce quotidien qui cite des sources hospitalières. « À 4 heures du matin, la police nous a ramené deux jeunes filles de 17 ans qui étaient avec leurs copains en voiture pour une réquisition d’examen d’hymen », a confié ainsi anonymement une source hospitalière.

De nombreux médecins s’interrogent, par ailleurs, sur « la légalité de telles interpellations surtout qu’elles ne répondaient aucunement à une quelconque «requête» ou plainte des parents, seuls détenteurs d’autorité sur des enfants mineurs », précise la même source qui se pose, en dernier lieu, cette question : la volonté de protection des mineurs doit-elle passer par la vérification de l’état de l’hymen ?

Urgent : La famille d’Ahmed Ouyahia quitte l’Algérie

Une source bien informée a vu le départ de toute la famille d’Ahmed Ouyahia, ancien premier ministre et ancien patron du RND, ce jeudi à 09 heures du matin de l’Aéroport Houari Boumediene d’Alger vers une destination d’un pays européen.

D’après les premières informations, il s’agit bien d’une fuite bien préparée depuis quelques semaines, suites aux multiples enquêtes diligentées sur des grands dossiers de corruption et détournements, et des biens et privilèges acquis par Ahmed Ouyahia depuis des années, dont l’entreprise de transport TAHKOUT mais aussi son implication dans des affaires de Sonatrach (Tassili Airlines) et l’affaire Khalifa Bank.

Attendez plus de détails, on reviendra sur cette affaire. 

Tunisie: Les obsèques du vendeur ambulant tournent à la manifestation anti-Ennahda

Plusieurs centaines de personnes ont participé aux funérailles jeudi du vendeur à la sauvette qui s’est immolé cette semaine à Tunis, une procession qui s’est transformée en manifestation contre le parti islamiste au pouvoir, Ennahda. Les obsèques d’Adel Khazri, 27 ans, ont eu lieu dans la petite localité déshéritée de Souk Jemaa, dans le nord-ouest de la Tunisie, le jour où le nouveau gouvernement de l’islamiste Ali Larayedh doit prendre ses fonctions et s’atteler à résoudre une crise politique, sociale et institutionnelle.

Les proches et voisins de la famille du défunt hurlaient leur colère d’abord devant la petite maison de la mère d’Adel Khazri puis lors de la procession. Avec notre âme et notre sang nous nous sacrifions pour notre martyr, Ennahda dégage ont notamment scandé les habitants de ce village difficilement accessible et situé sur une colline au bout d’une piste boueuse. Plusieurs dizaines de jeunes sont ensuite montés à bord de voitures dans le but d’aller manifester dans la capitale régionale, Jendouba, contre la misère et le chômage dans cette région très pauvre.

Adel Khazri, qui subvenait aux besoins de sa famille en vendant des cigarettes à la sauvette, s’est immolé par le feu mardi sur l’avenue Habib Bourguiba de Tunis, haut lieu de la révolution de janvier 2011, une révolte qui avait été déclenchée par l’immolation d’un autre marchand ambulant excédé par la misère. Deux ans plus tard la pauvreté et le chômage continuent de faire des ravages en Tunisie. Dans ce contexte, les grèves, les manifestations et les conflits sociaux se sont multipliés ces derniers mois.

Ennahda Blâme le comportement de ses militants envers l’ambassadeur français François Gouyette :

Le mouvement Ennahdha a estimé mercredi « injustifié le comportement observé envers l’ambassadeur d’un pays ami », dans une allusion aux slogans brandis par des étudiants de la Faculté des sciences de Jarzouna (Bizerte), pour protester contre la visite de l’ambassadeur de France en Tunisie, François Gouyette, à la Faculté. Ennahdha souligne, dans un communiqué, « l’importance et la solidité des relations tuniso-françaises dans plusieurs domaines», affirmant que les relations entre les deux pays « ne peuvent être altérées par de tels comportements inadmissibles».

Des étudiants de la Faculté des sciences de Jarzouna à Bizerte, appartenant à l’Union générale tunisienne des étudiants (Ugte) (courant islamiste) ont crié « Dégage », à l’ambassadeur français en visite au gouvernorat de Bizerte, l’obligeant à interrompre sa participation à la conférence scientifique programmée à la faculté.

ACTE MANQUÉ – La Conférence épiscopale italienne salue l’élection d’un pape… italien

C’est ce qu’on appelle une faute de communication. La journal italien Il Fatto quotidieno publie en effet le communiqué de presse envoyé mercredi soir par la Conférence épiscopale italienne (CEI) pour saluer l’élection du nouveau pape. Problème : au lieu de féliciter Jorge Mario Bergoglio pour sa nomination, le communiqué se réjouit du choix d’Angelo Scola, archevêque de Milan.

Dans ce communiqué envoyé à 20 h 24, soit plus d’une

heure après l’élection du pape François, « le secrétaire général exprime la joie de toute l’Eglise italienne après l’annonce de l’élection du cardinal Angelo Scola sur le trône de Saint-Pierre. » « Le nouveau pape poursuivra le travail entrepris par Benoît XVI, et l’Eglise italienne lui promet d’ores et déjà révérence inconditionnelle et obéissance », peut-on encore y lire.

Angelo Scola était effectivement bien placé dans la liste des prétendants au titre pontifical, mais le conclave lui a préféré finalement un pape non-italien.

Précisons toutefois que dans une pièce jointe à ce communiqué de presse, le nom du nouveau pape est rapporté correctement. C’est donc cela de prendre un peu trop ses espoirs pour des réalités. 

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