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Archive pour le 11 mars, 2013

Journée mondiale de la femme : Ould Ali El Hadi l’imposteur de tous les jours.

Le directeur de la culture de Tizi-Ouzou, l’imposteur Ould Ali El Hadi, qui n’est pas à présenter, vient encore de parler de lui.

En effet, à l’occasion de la journée internationale de la femme, le directeur de la ‘‘SAS de Tizi-Ouzou’’ a reçu son deuxième coup de gueule de la semaine, après l’intervention magistrale de Hend SADI lors du colloque international sur l’œuvre de Mouloud Mammeri, le 3 mars.

A l’occasion du 8 mars, journée internationale de la femme, l’aJournée mondiale de la femme : Ould Ali El Hadi l’imposteur de tous les jours. dans Flash - Scoop 5300382-7909079-300x225ssociation islamiste «El irshad Wa El islah», a été installé à la Maison de la culture «Mouloud Mammeri», pour prêcher la «bonne parole» et le «droit chemin» aux femmes de Kabylie, sous couvert de conférences ayant pour thème central «Fadhma N Summer», héroïne kabyle: une femme qui a mené, les armes à la main, des hommes contre le colon français : un véritable blasphème ! 

Grace à ce «chargé de missions, Ould Ali El Hadi», le nom de Fadhma N Summer est utilisé par ces islamistes du parti islamiste –HMS- pour lancer une campagne de sensibilisation de grande envergure sur le port du voile et l’incitation des jeunes femmes kabyles à «retrouver le droit chemin», celui de la soumission. Le tout à l’occasion de la journée internationale des droits de la femme et dans la maison de la culture Mouloud Mammeri.

La grande salle de la maison de la culture Mouloud Mammeri devait abriter un gala, spécial femmes, animé par : Akli Yahiatene, Lounis Ait Menguellet, Ali Meziane et ‘‘Autres invités surprises, comme on pouvait lire sur l’affiche’’. Mais à la surprise générale, se sont des chanteurs RAI qui occupaient la scène. C’est ainsi que les deux chanteurs de la cause Amazighe, Lounis Ait Menguellet et Ali Meziane, se sont révolté et ont quitté la salle, en refusant de servir d’alibi.

LES BENYOUNES : UNE AFFAIRE D’HONNEUR

S’il y a bien quelque chose que je ne peux pas changer, c’est mon lieu de naissance. » Cette déclaration est de Amara Benyounes. Une manière pour lui de regretter qu’il soit né kabyle et de confirmer que pour le reste, en bon caméléon, il peut tout changer, tout renier. La ddîn, la mella.

Mais qui est donc ce personnage ?
Infiltré par son frère au RCD comme chauffeur à la veille des assises de 1989, il disparaît au lendemain de l’élection législative de 1991 et du début de la vague de terrorisme pour s’installer en France. Il intègre pour la première fois l’exécutif du RCD en 1994 comme secrétaire national à l’émigration avant de revenir au pays début 1995.
Devenu ministre en 1999, il multiplie depuis les pots de vin et les passe-droits. La décision du RCD de se retirer du gouvernement, à la suite des événements de Kabylie, est une aubaine pour lui puisqu’on apprendra plus tard que plusieurs enquêtes avaient été diligentées contre lui.

Le RCD qui a rassemblé des preuves sur sa corruption prépare son exclusion. Il est question notamment de racket des importateurs de médicaments, d’octroi de licences d’importation frauduleuses contre commission, de prélèvements de quotes-parts dans le déblocage des factures non payées des entrepreneurs, de détournement important du financement des travaux de confortement du port d’Oran……. 

Apprenant à l’université d’été de Tipaza sa convocation devant la commission de discipline, il disparait à jamais. Moins de trois mois après, et suite à une instruction du général Toufik qui lui débloquait huit millions de dinars, il lance un journal qualifié par les citoyens de « Débauche de Kabylie ». Une période où les agréments pour les nouveaux titres étaient bloqués. C’était au moment où le pouvoir travaillait à normaliser la Kabylie en y injectant de l’argent sale et en structurant la délinquance locale. Durant la même année, il s’est vu octroyer un terrain de plusieurs dizaines d’hectares à Boudouaou, à l’entrée est d’Alger.

En 2003, il lance un parti l’UDR que les militants du MAK transforment aussitôt en U-DRS. La facture de 3 600 000 DA qu’il doit à la mutuelle des matériaux de construction de Zeralda, lieu où il a tenu son congrès, et qu’Ouyahia s’est engagé à prendre en charge est à ce jour impayée. Très vite, il devient le carrefour des exclus de tous bords.

Voulant à tout prix réintégrer le gouvernement ou à défaut accéder à la fonction d’ambassadeur, il multiplie les courbettes et les postures d’allégeance. Il se propose à deux reprises dans le comité de campagne du candidat Bouteflika et anime des meetings sur les vertus de la Réconciliation nationale à la veille du référendum de 2005 tout en se posant comme ennemi irréductible des islamistes.

En 2007, Benyounes se présente aux élections législatives dans la circonscription d’Alger comme tête de liste d’une alliance électorale avec une fraction du MDS de Hocine Ali et l’ANR de Réda Malek. L’échec est sans appel. Il ne parvient même pas à dépasser les 0,5 %. En Kabylie, sa liste recueille 3 voix dans son village natal qui compte 1400 âmes. Depuis, il s’est recyclé dans l’importation de parfums.

Ne perdant jamais une occasion d’accaparer un bien, il négocie l’échange du local attribué généreusement par l’APC d’Alger centre à son parti non agréé contre un autre situé sur la rue Victor Hugo qu’il s’approprie à titre personnel. Le local en question devait être transformé en médiathèque par l’APC avant d’être attribué à la famille Bouteflika.

La collaboration des Benyounes avec la police politique est d’abord une affaire de famille. C’est, en effet, à partir de 1961 que le frère ainé Mohand Akli Benyounes, dit Daniel a été enrôlé par le MALG. Au lendemain de l’indépendance, il a été infiltré dans les rangs du FFS pour s’occuper de la… trésorerie. Plus tard, Ait Ahmed l’a accusé publiquement d’avoir détourné la caisse du FFS. C’est en effet à cette période qu’il a lancé l’agence Soleil Voyage, une couverture pour pister tous les activistes kabyles dans l’Hexagone. Cette agence est actuellement gérée par son fils Réda, qui est ex-beau fils du général Khaled Nezzar. Ce dernier qui avait tiré sur un gendarme dans un barrage à la sortie d’une soirée arrosée du côté de Zeralda a été soustrait à la justice.

Feu Bessaoud Mohand Arab, raconte dans l’un de ses livres que c’était Daniel Benyounes qui était derrière son arrestation et son exil en Angleterre en 1978. Une dénonciation à l’origine de la cessation d’activité de l’Académie Berbère en France.

C’est la carrière de ce personnage qui sert de référence à Amara Benyounes. En effet, voilà quelqu’un qui a vécu toute sa vie de l’argent du FFS et de dénonciations mais qui reste à ce jour inaccessible à la justice. Il y a deux ans, il a été nommé sénateur dans le tiers présidentiel par Bouteflika.

L’U-DRS dégage ! Les Benyounès K.O ! Tant mieux !

Les BENYOUNES sont des Agents du DRS : Père, frères et fils. Ils « épaulent » le Pouvoir militaro-mafieux, ils sont aux mains des Généraux criminels prédateurs. Soleil-voyages, c’est à eux. Et bien d’autres privilèges illicites et illégaux. Trafics en tous genres, passe-droits, infractions et délits, fraudes généralisées, népotismes, interventionnisme, etc , sont leurs us et coutumes.

Flash back : Benyounès Mohand-Akli, alias Daniel avait été retourné en Juin 1964. « De force », sous la contrainte par les hommes de Kasdi Merbah et Abdellah Benhamza, respectivement le Chef de la SM et son Adjoint. C’était au lendemain du plasticage-provocation du Port d’Annaba par la Sécurité militaire (SM). Le coup a été imputé et collé arbitrairement à Mohand-Akli. Il fut injustement arrêté. Au terme du marchandage, et devant la menace de lui ôter la vie, celui-ci finit par céder. Et depuis il faisait partie de la longue liste des «correspondants», rabatteurs, informateurs, agents d’infiltration et de noyautage «retournés» de la même manière. —Et c’est bien Daniel qui avait mis aux prises Si Lhafid contre Bessaoud Md Arav jusqu’à l’affrontement physique : Le Lieutenant allé jusqu’à Ouadhias, sorta Bessaoud et le violenta, bref. Et Daniel fera recruter même son frère et son fils. Faut-il rappeler qu’à son passage à l’Université d’Alger, Amara Benyounès n’hésitait pas à menacer les étudiants contestataires, berbéristes, trotskystes et pagsistes. 

A présent, les Benyounès sont dans une «lutte à mort» contre la Kabylie : les Benyounès roulent pour le Clan Boutef-Zerhouni-Ould Kabila (ex-MALG/SM), ainsi que pour le Clan Mediène-Tartag (DRS/néo-MALG), les deux Clans puissants et forts du fait de leurs arrimages/amarrages/liens avec la Police politique….qui est le Sommet de la Pyramide du Pouvoir militaro-mafieux, et l’Enclave autoritaire principale qui commande tout, et bloque tout….. En effet, les Benyounès roulent pour les Services du DRS, « l’organisation criminelle » du Pouvoir militaire régnant depuis 1962…..

Les Benyounès, Hannachi comme leurs rivaux, sont au DRS. Ce sont des « Kds », des traitres…qui nous trahissent, en épaulant la Dictature militaire criminelle et sanguinaire…

Leur journal infeste, la Dépêche, un « organe de désinformation » soutient le Clan Boutef-Zerhouni-Ould Kablia (ex-MALG/SM),  il faut dire qu’au bled foutu, il n’y’a qu’un seul « Rédacteur en chef, le DRS », les journaux sont des organes de propagande contrôlés par le DRS…qu’on le veuille ou on le déplore ! De même pour bon nombre de sites internet et forums. La preuve en est qu’ils n’attaquent pas le Pouvoir militaire, les Généraux, ne disent rien sur les crimes très prépondérants du DRS, les massacres, les assassinats politiques, etc.

L’abominable et exécrable Amara Benyounès est allé récemment jusqu’à porter atteinte à la mémoire des disparus en tenant des propos injurieux à leur égard. Pour plaire à ses Chefs, les Généraux, l’ancien Ministre de la santé, membre du Directoire de campagne de Bouteflika lors des Présidentielles de 2009, SG du Mouvement Populaire Algérien (MPA, ex U.D.R-S), et actuel ministre de l’aménagement des ‘trottoirs’, pas territoire,  a qualifié les disparus de «terroristes». Un outrage de plus de la part d’un sinistre personnage qui ne rate aucune occasion pour louer ses maîtres et bénéficier de leurs largesses, au détriment de la mémoire collective et des souffrances des populations. Et il s’est attaqué aux journalistes de Canal+ après la transmission de leur excellent Documentaire sur les Moines de Tibhirine, assassinés par les sanguinaires du DRS. Ils accumulent donc toute une « collection » de forfaits et méfaits! Pire encore, ils croyaient « s’enorgueillir » et « être honorés » de chaque mission hautement spéciale et criminelle que la Gestapo d’Alger, alias le DRS, dont ils sont chargés.

Mohand-Akli Benyounes (dit Daniel), qui n’est autre que le frère ainé du ministre de l’aménagement du territoire et patron du nouveau né, le MPA, est maintenu au sénat depuis janvier 2013 par Bouteflika.

La proximité des Benyounes avec le pouvoir algérien n’est pas nouvelle. C’était Daniel, qui était derrière l’arrestation et l’exil de Bessaoud Mohand Arab en Angleterre (en 1978).

Daniel Benyounes, dont le fils est ex-beau fils du général Khaled Nezzar, est à la tête d’une agence de voyage créée depuis la fin des années 60 et le début des années 70, et  propriétaire de plusieurs biens immobiliers à Alger et à Paris, grâce à la caisse du FFS qu’il a dilapidé lors de la révolte du FFS en 1963.

L’autre frère Benyounes, Idir, directeur du quotidien que les Kabyles surnomment (la Débauche de Kabylie), a dilapidé la caisse et le matériel immobilier du journal « le Pays » alors qu’il était  directeur de ce journal qu’a racheté Issad Rebrab au milieu des années 90. Le journal a dû mettre les clés sous le paillasson quelques mois plus trad. Alors qu’il était chef du bureau du journal le Matin à Tizi-Ouzou, le « cleptomane historique »  Idir Benyounes, a détourné un terrain à la nouvelle ville (coté du fleuriste), avec la complicité de l’ex ministre FLN, Mohamed Nadir Hmimed, et l’eternel coordinateur de l’UGTA de Tizi-Ouzou, Bachir RAMDANI, destiné auparavant à accueillir la maison de la presse de la ville des genets, et a construit un immeuble de plusieurs étages, pour qu’ils le vendent. Idir n’a pas remboursé, à ce jour, les 20 millions de centimes (versées par chaque journaliste de Tizi-Ouzou à l’époque) pour la construction de la coopérative immobiliere dont il était président.

Concernant Amara Benyounes, secrétaire général du MPA et ministre de l’aménagement du territoire, la « Débauche de Kabylie », comme on l’appelle, a été créée avec l’argent qu’il a « dérobé lorsqu’il était ministre entre 2000 et 2002» et « les fonds du RCD » qu’aurait détourné. La proximité « des meilleurs informateurs du clan présidentiel sur la Kabylie » avec le pouvoir est sans limites surtout quand il s’agit d’envoyer la Kabylie au brasier.

QUESTIONS POUR UN CHAMPION :

DE QUI S’AGIT- IL ?

   Il apprend sa première leçon, simple mais efficace : pour régner sur Ait Bouaddou, il faut impérativement diviser Ait Djemaa. Pour cela un seul moyen ; évoquer Hmed Umeri.

Alors, il évoque Hmed Umeri dans ses chansons et même ses pièces de theatre.Objectif presque atteint. Heureusement qu’il y’avait des gens qui savaient  que derrière « oh Linda se préparait oh el boumba ».

    Année 1984 : A l’approche du découpage administratif qui ferait d’Ait Bouaddou une nouvelle commune, les choses s’accélèrent. Il tente d’adhérer au parti unique, FLN, mais son dossier est rejeté. Il tente de passer par les égouts mais même cette voie lui fut coupée.

    Il sort un roman et oblige les élèves du CEM à l’acheter. Les élèves auxquels il est à ce jour redevable, parce qu’il était tout le temps absent.

   Ait Bouaddou est officiellement une commune, les jeux sont faits et les places sont prises. Non il reste encore l’UNJA .Il devient un responsable et fait disparaître le matériel de musique  de cette organisation de masse du FLN.

Au moment où tout Ait Bouaddou vivait au rythme du football, jaloux de l’équipe d’Ait Djemaa, il tente de la casser. Résultat : il casse tout le football à Ait Bouaddou et pour de longues années.

   Il forme un groupe de musique qu’il appelle At vuvadu. L’éditeur se trompe et transcrit  par At vuyadu.  Quelques jours après la sortie de la première et dernière cassette du groupe, un certain Hettal Hocine, dans une lettre publiée par l’hebdomadaire Algérie  Actualité l’accuse de lui avoir volé des chansons et traite le groupe de « trois pirates d’Ait Bouaddou ».

    Sur le plan politique, l’année 1985 fut marquée par l’arrestation et l’emprisonnement de militants de la cause berbère et des droits de l’homme. Le mois d’octobre, en réponse à un appel à une grève générale lancé par les étudiants de l’université de Tizi-Ouzou, les élèves du CEM d’Ait Bouadddou dont il était devenu le premier responsable organisèrent une grève. Il livra les meneurs (des adolescents)  à la kasma du FLN.

   Comme responsable d’un petit établissement scolaire (annexe CEM), il se fait remarquer par ses pratiques discriminatoires et contraires à la réglementation : alors que deux fourgons de la restauration ambulante se sont installés à Tizi Bwaklen, il autorise l’un d’eux à s’installer à l’intérieur de l’école. Les collégiens représentent environ 80 % de la clientèle. Bien sur, il a favorisé le restaurateur de son village.   

   Le 20 avril 1986, les élèves du CEM refusent de rejoindre les cours à l’occasion du 6e anniversaire du printemps Berbère. Il les menace par les propos suivants : « vous venez de commettre l’erreur la plus grave de votre vie ».

   L’ouverture démocratique de 1988/89 lui fait perdre la tête. Il espère prendre une place forte au sein du RCD mais il renonce vite parce que ses adversaires sont arrivés avant. Il panique. Il lui faut absolument une place dans un parti. Dans sa précipitation, il adhère au …PPA, ce dernier n’obtient pas d’agrément. Il le quitte en urgence et rejoint sans aucune conviction le FFS. A partir de là, commence pour lui une autre carrière ou il excella encore davantage dans la division et la zizanie, surtout durant son passage à la tête de la mairie d’Ait Bouaddou (1997/2002 et maire indu élu 2002/2005).

   La suite de l’histoire, tout le monde la connaît : bradage d’une ressource rare qui est l’eau, police à Tizi Bwaklen…..

   Devenu en 2005 chef du cabinet du Président de l’APW « feu Rabah Aissat », celui qu’on surnomme l’artiste est sitôt familiarisé avec le directeur de la culture de Tizi-Ouzou pour lequel il peint des tableaux pour une valeur dépassant les … 400 millions de centimes et exerçant au même temps la fonction du conseiller chez « Ould-Ali El Hadi ».

   Après l’annonce par l’APW de Tizi-Ouzou, en février 2011, de l’ouverture d’une enquête concernant la gestion des travaux de rénovation du théâtre régional Kateb Yacine, il lança une campagne de solidarité pour la Direction de la culture de Tizi-Ouzou et à sa tête Ould-Ali El Hadi pour lequel il signa une pétition de soutien.

   Au lendemain des élections locales du 29 Novembre 2012 ayant donné le FFS à la tête de l’APW de Tizi-Ouzou, l’artiste ‘‘aux talents multiples’’ réclame des PC « Ordinateurs portables » et des bons d’hôtels pour l’ensemble des élus composant l’alliance FFS-FLN-RND, avant de voir sa demande rejetée par le Docteur Moussa Tamadartaza (Fraichement élu président de cette assemblée).

   Une semaine après son élection comme président d’APW, au lendemain des sénatoriales, l’artiste ordonna d’enlever, sans motif, les toiles et tableaux qu’il a peint pour l’APW 2005/2007 et pour une valeur de 48 millions de centimes, mais sûrement pour les exposer ailleurs ou de les revendre à son chef (Directeur de la Culture de Tizi-Ouzou, qui est le vrai actuel P/APW). L’information a vite circulé dans les quatre coins de la grande Kabylie, l’artiste a été obligé de remettre les tableaux à leurs places puisque ces derniers sont répertoriés dans les registres et archives de l’assemblée populaire de wilaya.

   Vous avez deviné de qui il s’agit ? Bien sûr c’est le nouveau président de l’APW de Tizi-Ouzou.

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