Le parlement Algérien rejette la nouvelle Constitution de Bouteflika.

Sans aucune surprise et comme il fallait bien s’y attendre, les parlementaires Algériens ont rejeté, avec la grande majorité, le texte de la nouvelle Constitution, proposé par le Président Abdelaziz Bouteflika.

Présenté par le premier ministre Abdelmalek Sellal, le nouveau projet de révision de la Constitution qui devait mettre en œuvre l’avènement d’une deuxième République et un Etat civil, a été rejeté sans surprise, par les parlementaires des deux Chambres du Parlement (APN et Conseil de la Nation), convoquées à cet effet en congrès, le 30 janvier dernier, malgré les réserves fournies sur l’avant projet de cette Constitution, par le Conseil Constitutionnel présidé par Mourad Medelci.

Sans aucune surprise et comme il fallait bien s’y attendre, les parlementaires Algériens ont rejeté, avec la grande majorité, le texte de la nouvelle Constitution, proposé par le Président Abdelaziz Bouteflika

Sans aucune surprise et comme il fallait bien s’y attendre, les parlementaires Algériens ont rejeté, avec la grande majorité, le texte de la nouvelle Constitution, proposé par le Président Abdelaziz Bouteflika

La discussion générale sur le projet s’est engagée ce matin plus tard que prévu du fait de l’examen des deux motions de procédure de vote, déposées par les députés des partis de la coalition, à savoir le FLN et le RND. Les travaux de ce congrès se sont déroulés au Palais des nations, sous la présidence du président du Parlement, Abdelkader Bensalah (du RND), et en présence de Mohamed Larbi Ould Khelifa (FLN).

Et finalement, Bouteflika n’aura pas sa troisième Constitution, en l’espace de seize ans seulement, après celle de 2002 et celle de 2008. Le vote qui s’est déroulé à mains levées a vu les parlementaires qui composent l’alliance FLN, RND, MPA et TAJ se prononcent, à l’unanimité, contre ce projet fondamental de la Nation.  

Sans aucune surprise et comme il fallait bien s’y attendre, les parlementaires Algériens ont rejeté, avec la grande majorité, le texte de la nouvelle Constitution, proposé par le Président Abdelaziz Bouteflika

Sans aucune surprise et comme il fallait bien s’y attendre, les parlementaires Algériens ont rejeté, avec la grande majorité, le texte de la nouvelle Constitution, proposé par le Président Abdelaziz Bouteflika

Un coup dur pour le premier ministre et son gouvernement : Sur les 606 parlementaires qui siègent aux deux chambres (462 députés et 144 sénateurs), le projet cher à Bouteflika n’a recueilli que les voix d’une centaine de parlementaires composés essentiellement du plus vieux parti de l’opposition-soumission, le FFS, de l’alliance de l’Algérie verte (partis islamistes) et la moitié du parti des travailleurs PT de Louisa Hanoune qui a rejoint la veille ce groupe pour cautionner cette démarche.

Les premières réactions n’ont pas tardés. Pour Mohamed Djemai, chef du groupe parlementaire FLN, la question ne devait même pas se poser. Le message est très clair : Le gouvernement de Sellal doit présenter sa démission et un débat général et portes ouvertes seront organisées pour mettre en place un texte solide. Même réponse du coté de Baha Eddine Tliba, vice président de l’APN, qui publie sur sa page Facebook un message de félicitations et de remerciement à tous les Algériens qui lui ont fait confiance et de rajouter « On ne peut pas laisser place à ces hommes d’affaires, groupés sous la forme du FCE sous la présidence de l’intrus Ali Haddad pour vendre ce pays avec leur politique de droite ».

 De son coté, Seddik Chihab, député RND d’Alger, déclare : « Le texte de la nouvelle Constitution, tel qu’il est proposé, ne garanti pas les droits des homosexuels en Algérie, et on est nombreux… Même le droit des animaux, à l’image de l’aile défendue par mon ami Miloud Chorfi, doit être garanti…».

Pour sa part, Louisette ighilahriz, fraichement nommée au tiers présidentiel au Conseil de la Nation, elle est très claire : « Ma position est la même que celle de mes frères d’armes, Yacef Saadi et Zohra Drif Bitat, qui nous manquent aujourd’hui, lors de ce vote. On n’a pas combattu le colonialisme Français pendant 7 ans, pour qu’aujourd’hui on vient nous imposer l’article 51 sur les binationaux… Je suis contre ».

Si les autres partis refusent de commenter, le chef  du MPA, connu sous le Mouvement Pour l’Argent, Amara Benyounes qui n’est autre que l’ancien ministre du commerce, n’a pas été doux avec le régime et déclare lors d’une conférence de presse animée juste à la sortie du Club des Pins : « Nous l’avons dit et on le répète ; il faut sauver la Nation et je demande officiellement, au nom de mes collègues patriotes, l’application de l’article 88 de la Constitution et la destitution du Président de la République de toutes ses fonctions.  Allah yarham echouhada et je dis inaal bou li mayhabnache». 

Sans aucune surprise et comme il fallait bien s’y attendre, les parlementaires Algériens ont rejeté, avec la grande majorité, le texte de la nouvelle Constitution, proposé par le Président Abdelaziz Bouteflika

Sans aucune surprise et comme il fallait bien s’y attendre, les parlementaires Algériens ont rejeté, avec la grande majorité, le texte de la nouvelle Constitution, proposé par le Président Abdelaziz Bouteflika

Binationaux, et alors !

Dans notre histoire d’enfants d’immigrés, de Français avortés, d’indigènes de France, il a manqué quelques éléments de compréhension de chaque part. 
Du côté des blancs, nos « référents » (professeurs, éducateurs, médecins, voisins) pensaient tous que nous étions différents. 
Et surtout ils pensaient que chez nous, c’était là-bas! Alors que dans ma tête de gamin de 7 ans, chez moi, c’était ici! Je ne connaissais que ça. 
Enfin pas complètement, il y avait les vacances au bled, mais comme le petit Marcel décrivait ses vacances à la campagne ! Chez moi, c’était mon quartier encore très mixte, très multiculturel. Et comme chez nous, c’était ici et un mois par an, là-bas, on avait dénommé notre quartier Dallas. 
Mais il y avait toujours cette chose bizarre qu’on me disait que je ne comprenais pas tout à fait : « c’est comment chez vous ? ». C’était surement bizarre parce que dans mon esprit de gosse, il n’y avait pas de rupture radicale entre chez moi et dehors. Dehors, c’était dehors et chez moi, c’était l’appartement, rien d’autre. 
Mes parents, malgré l’usage de l’Algérien à la maison, ne m’ont jamais dit « chez eux ». 
C’est peut-être pour ça que je n’ai jamais compris l’altérité qu’on m’opposait, sur laquelle on me questionnait. Ce que je connaissais, c’était dar « la maison » et licoule “l’école” avec une exigence à l’excellence très marqué par papa. 
Donc, nous étions des écoliers tout à fait normaux, même si à l’époque, nos enseignants (pas tous) portaient un regard très différent sur nous de part nos origines. 
Mais dans nos têtes de mômes, du moment que nos amis nous voyaient comme leurs pairs, les grands pouvaient nous ignorer, ça ne nous touchait pas. 
Par contre, lorsqu’ils étaient injustes et qu’ils nous maltraitaient, ça nous marquaient à vie, comme tout enfant, je suppose.
Maman portait un foulard traditionnel Algérien, elle ne sortait jamais sans papa. Elle recevait à la maison les voisines et la famille, mais était très peu autonome. 
Plus tard, elle nous a expliqué, à mes sœurs et moi le pourquoi de cette réclusion domestique. Alors qu’elle était jeune, fraîchement arrivée du bled et heureuse de découvrir la France, elle est sortie au centre Bernard Palissy avec des amies. Elle avait l’air de passer un bon moment selon ses dires. 
Je ne sais pas si elle nous a tout raconté ou si elle a conservé une partie trop brutale ou honteuse de l’histoire pour ne pas nous heurter ou par pudeur. 
Mais un policier zélé leur (elle était avec des amies) a fait un contrôle d’identité marquant. Assez marquant pour la dissuader, tout le reste de sa vie, de retenter cette sortie au centre commercial à 500 m de la maison.
Alors voilà comment cette gosse Française (ma mère) a compris que dans le regard de l’autre, du blanc, elle n’était pas une vraie Française. 
C’est douloureux certes. 
Très douloureux. 
Un peu comme avec le rapport à la mère et la nécessité de « tuer » la mère symboliquement en psychanalyse, et bien là, j’ai dû aussi haïr ma mère patrie, celle qui m’avait déçue, celle qui rejetait ce que j’étais pour pouvoir mieux m’émanciper de l’altérité, cet handicap, qu’elle me renvoyait à la figure.

D’ailleurs, je me rappelle de cette crise autour de mes seize ans. Je faisais un exposé dans mon lycée peu mixte sur les illusions d’optique. A la fin de l’exposé, j’ai dit:
« Nous, Français, nous percevrions la chose de la manière suivante. » 
Et là, Manu, un copain de classe, que j’aimais bien et qui adorait faire le clown en classe me reprit :
« chez nous ???? »
Je n’avais pas compris tout de suite pourquoi sa réaction avait entraîné l’hilarité générale de toute la classe.

« Hahaha »

C’était terrible, j’ai ri amèrement aussi pour « sauver » la face. 
Quelle face ? 
Celle de « gnoule » qu’on venait de me renvoyer, ou celle du groupe qui était entrain de rire d’une blague raciste.
Encore cette fichue différence.

Elle est là, en eux. 
Elle est en eux cette différence, pas en moi. 
C’est leur regard qui était biaisé par des générations de racisme national et colonial, pas le mien.

Sinon comment expliquer que mon histoire est l’histoire de France. Mes références étaient Françaises à cet âge là. 
Ma culture extérieure était Française. 
Et là, comme un affront, ce pote me disait que je ne faisais pas parti de son groupe.
Ce rejet a eu raison de mon sentiment d’appartenance. 
Et au bout du compte, j’ai détesté la France comme elle m’a détesté et rejeté. Je le disais à ma famille. Comme si j’avais une autre alternative !
Alors cette année là, en juillet, lorsque nous sommes montés dans la camionnette familiale pour descendre au bled, c’est comme si j’allais enfin me retrouver chez moi. J’étais heureux, excité, à l’idée de conforter mon sentiment d’être d’ailleurs.

Ah le bled!
Là bas, au moins, mon physique fait de moi un Algérien. 
Là-bas, je serai chez moi !
Le voyage en France fût clément, loin des chaleurs caniculaires habituelles. L’été était pluvieux, ce qui faisait que nous n’avions pas besoin d’allumer le mini ventilateur qui se situait sur le tableau de bord et de me tordre le cou afin de saisir un peu de fraîcheur. On avait même tellement froid par notre immobilisme que nous partagions les quelques centimètres carré de couverture qui étaient emmené au cas où. 
L’attente à Marseille était d’une nuit. Je suis resté sur le port à contempler les reflets de l’eau et je pensais à mon année scolaire, à mes vacances passées et à ce que ça changeait d’aller au bled en étant un jeune gosse. 
Je m’endormais sur ce sentiment de toucher la paix de près.
La paix intérieure.
Appartenir à un lieu, à une histoire…

Le lendemain, nous embarquions.
Et le passage du trajet le plus détestable pour moi est de se retrouver parqué dans cette soute de bateau. 
Il y règne une odeur à vomir. 
Alors je me presse un bout de vêtement sur le nez en attendant de sentir l’air marin sur le pont.
Nous sommes arrivés à Alger.
Ah Alger la blanche ! 
On la sent tout de suite l’Algérie.
C’est différent. 
Dépaysement total.

Le passage de la douane est toujours une épreuve pour papa et son porte monnaie. Quelle bande de rapaces ces douaniers! Ils extirpent aux vacanciers autant qu’ils le peuvent.
Les voilà, à la fin de la journée avec au moins 5 ou 6 fois leur salaire mensuel. 
J’ai toujours eu un profond mépris pour ces hommes qui usent de « rachoua » (corruption) sans aucune gêne. Et pour chaque enfant de voir son père obligé de participer à cette corruption est juste insupportable. Avec leurs gros bidons pleins d’alcool, ils se tiennent fiers comme des piquets. 
Ils n’ont pas le sens du devoir mais le sens cupide est exacerbé chez eux. 
Ils se foutent de la loi ou du bien commun. 
C’est peut-être pour ça qu’ils ne sont pas prêts, les Algériens au pouvoir, à un Etat démocratique après tout. 
Ca demande le dépassement de la conscience individuelle.

La douane passée, nous voilà posés dans un parking pour aller prendre le fameux petit déjeuner rifain. 
Un vrai délice, des galettes de blé tendre, du thé bien sucré et brulant. 
Papa se lâche au bled, en Algérie, et nous offre ce qu’il ne peut pas offrir en France à sa grande famille. En Algérie, on connaît les joies d’une sortie au resto ou d’un brunch familial. Qu’est ce que c’est bon d’y gouter là où papa et maman sont chez eux.

En retournant à la voiture, deux hommes d’une vingtaine d’années, nous (ma sœur et moi) examinent du regard. Je vois bien leur regard se poser sur ma sœur et moi, mais je pense que c’est des dragueurs et je n’y prête pas attention. Ma joie est trop grande d’être « chez moi ».

Et là, un des gars se retourne et lâche:
« Z’magra wellou lbladkoum » (Les immigrés rentrez chez vous).

Le choc fut terrible. 
Toute la rage que je venais d’abandonner en France a ressurgi. 
Quoi ? 
Moi?
Immigré en Algérie ?

Je venais de me prendre en pleine face ce que les blancs pensaient souvent mais ne disaient pas aussi brutalement. 
Sans gants, sans retenue, il venait de faire de moi un apatride. 
Je n’étais pas chez moi là bas non plus.

Tout d’un coup, je venais d’apercevoir, que chez nous, là bas, au pays des droits de l’Homme, c’était les lois du droit du sang et du sol, de la déchéance de nationalité qui se discute.

Chez nous, ici, la nationalité se limite, selon certains, qui se proclament plus patriotes que les autres !

Chez nous, là bas, au pays de l’égalité, la réforme constitutionnelle annoncée et l’introduction de la déchéance de nationalité pour les nés en France, heurte de plein fouet l’idéologie et la morale : non-discrimination, société ouverte et multiculturelle.
Elle met en place une différence juridique fondamentale entre deux catégories de Français : Nous, les binationaux, issus de l’immigration, et les autres, eux, Français d’origine.
Les premiers pourront être déchus de leur nationalité Française, et non les autres. Elle est donc strictement à l’opposé de toute la morale actuelle fondée sur l’égalité des droits, la non-discrimination, le rejet de la distinction entre Français immigrés et d’origine.

Chez nous, ici, je vois qu’un jour, un législateur rancunier, ira jusqu’à proposer de priver ces citoyens à double nationalité de leur droit de vote, car après tout, la Constitution a bien inféré qu’ils ne sont Algériens qu’à moitié». Et c’est ainsi qu’un climat d’apartheid sera établi. Le spectacle est terrifiant, apocalyptique.

Je laisse le soin aux futurs générations, enfants d’immigrés, indigènes indignés, comme nous tous, de sauver la nation.

 

Binationaux, et alors !

 

La contradiction de l’ancien article 51 et de son amendement tel que proposé !

ARTICLE 51 : L’égal accès aux fonctions et aux emplois au sein de l’Etat, est garanti à tous les citoyens, sans autres conditions que celles fixées par la loi.

La nationalité algérienne exclusive est requise pour l’accès aux hautes responsabilités de l’Etat et aux fonctions politiques.

La contradiction de l’ancien article 51 et de son amendement tel que proposé ! ARTICLE 51 : L’égal accès aux fonctions et aux emplois au sein de l’Etat, est garanti à tous les citoyens, sans autres conditions que celles fixées par la loi.  La nationalité algérienne exclusive est requise pour l’accès aux hautes responsabilités de l’Etat et aux fonctions politiques.

La contradiction de l’ancien article 51 et de son amendement tel que proposé !
ARTICLE 51 : L’égal accès aux fonctions et aux emplois au sein de l’Etat, est garanti à tous les citoyens, sans autres conditions que celles fixées par la loi.
La nationalité algérienne exclusive est requise pour l’accès aux hautes responsabilités de l’Etat et aux fonctions politiques.

Dégradation de santé de Bouteflika.

Bouteflika,le 3 Mars 2014.

Selon une source très sure, une équipe médicale Française, composée de
deux médecins Français, exerçant dans l’Hôpital militaire du Val-De-Grâce, ont été dépêchés hier soir, jeudi, à Alger pour donner des soins au chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika, qui a eu un malaise dans la matinée et qui est dans un état critique.

L’équipe médicale, qui a pris la destination d’Alger, en toute discrétion, pour prendre en charge les soins du président-candidat à un 4eme mandat, confirme encore une fois de plus, que le chef de l’Etat a perdu toutes ses capacités physiques et mentales. L’application de l’article 88 de la Constitution algérienne est encore d’actualité.

Sa dernière apparition à la télévision algérienne, le 3 Mars, lors du dépôt de son dossier de candidature au conseil constitutionnel, reste la plus pathétique, même avec le trucage des images par l’équipe de l’ENTV.

Devant la vague des mouvements des protestataires qui s’opposent à un 4eme mandat de Bouteflika et la convergence des appels à un boycott massif de cette mascarade, et même si, du coté de Val-De-Grâce c’est le silence totale, puisqu’aucun commentaire, ni confirmation ni démenti de l’information, cela semble que l’élection présidentielle du 17 avril est compromise.

Tizi Ouzou : L’installation du nouveau chef de sûreté de wilaya tarde.

Le DGSN, le général-major Abdelghani Hamel

Depuis plus de quatre mois, le 8 Octobre exactement, que la sureté de wilaya de Tizi Ouzou est restée sans chef. Le départ actionné d’Alger, de l’ancien chef de sûreté de wilaya, Moussa Belabbès, a causé un handicap pour la gestion du dossier, notamment que celui-ci a nettoyé la ville du phénomène du banditisme.

Son successeur intérimaire, Djamel Louli, n’a pris la fonction que 42 jours, du 8 octobre au 20 novembre, jour où il a eu un AVC et transféré en urgence au CHU de Tizi Ouzou. Il vient d’être admis à la retraite anticipée, pour invalide. Sa femme et son fils, capitaine du DRS au niveau du secteur militaire de Tizi Ouzou, ont refusé les offres du DGSN, le général-major Abdelghani Hamel, pour le transférer en France afin de subir les soins.

Depuis, des noms ont été annoncé pour le poste du chef de sûreté de wilaya, à l’image du chef de sûreté de wilaya de Tlemcen, Mbarek Lahlouhi et de Rachid Derouazi chef de sûreté de wilaya de Souk Ahras ou de l’ancien chef de la police judiciaire de Tizi Ouzou, Madjid Aknouche, qui n’est autre que l’actuel chef de sûreté de wilaya de Skikda.

Au final, on apprend que c’est le commissaire divisionnaire de la voirie de Tizi Ouzou, Djamel Hadjerass qui sera nommé à ce poste. Il devait être installé mardi 11 février par le DGSN mais cela a été reporté à dimanche 23 février sans aucune information. Concernant Moussa Belabbès, il sera lui aussi installé à la tête de la police de Souk Ahras.

Insécurité à Tizi Ouzou : Hold-up à l’agence postale Timizart

Hold-up à l’agence postale TimizartL’agence postale du chef lieu communal de Timizat, située à 30 Km au Nord-Est de Tizi Ouzou, a fait l’objet tôt ce samedi matin aux environs de 8 h 15, d’un hold-up, commis par un groupe armé.

Il était 8 h 15 minutes, juste après quelques minutes de l’ouverture de l’agence, quand un véhicule de type (Renault Kango) s’est garé devant le bureau. Quatre hommes, encagoulés, dont un seul armé d’un fusil à pompe étaient à bord.

Pendant que le chauffeur fait la garde, les trois autres font irruption et somme le receveur de tout vider.

Une fois le huld-up qui n’a pris que quelques minutes, les assaillants ont pris fuite vers une destination inconnue, emportant avec eux une somme qui reste pour le moment inconnue.

C’est le deuxième bureau de poste de la daïra de Ouaguenoune, après celui de Boudjima (le 15 septembre 2013), qui subit un hold-up.

Le maire de cette localité déplore les conditions sécuritaires dont toute cette région est prise. Pour lui, ce n’est pas normal qu’une commune de plus de 38 000 habitants, reste sans sécurité, pourtant les travaux du siège du commissariat de police sont achevés depuis 2010 et il n’attend que son ouverture. Et de continuer « Combien de fois, le wali de Tizi Ouzou et les différents responsables ont été interpellé sur l’urgence de l’ouverture de ce commissariat, mais ils justifient à chaque fois, par le retard des travaux du célibatorium qui recevra les effectifs. Toute la région d’Ath Jennad est livrée à elle-même, même si la commune voisine de Fréha est occupée de la gendarmerie et d’un commissariat de police».

Des proxénètes pour organiser Miss Djurdjura 2014 à Tizi-Ouzou.

Alors que certains s’affairent dans les derniers préparatifs de la 9eme édition de « la Miss Kabylie », qui aura lieu cette année le 12 janvier à l’hôtel les 3 roses (Ex-concorde) de Tizi-Ouzou, on apprend que d’autres pervers et proxénètes s’apprêtent à lancer une autre activité qu’ils ont nommé: « Miss Djurdjura » !

la 9eme édition de « la Miss Kabylie »

la 9eme édition de « la Miss Kabylie »

Pourquoi « Miss Djurdjura » alors que madame Feriel Ait Ahmed organise « la Miss Kabylie » depuis 2005 ?

Probablement un effet de l’engourdissement de la fin d’année 2013.

Il ne s’agit que du couple Ould Ali El-Hadi et de son conseiller culturel, Hocine Haroun, artiste aux talents multiples, et néanmoins président de l’APW FFS de Tizi-Ouzou, ayant apporté son soutien au directeur de la culture, après l’annonce par l’APW de Tizi-Ouzou, en février 2011, de l’ouverture officielle d’une enquête concernant la gestion des travaux de rénovation du théâtre régional Kateb Yacine. Et pour rajouter de la sauce à ces deux complices de la folklorisation de la Kabylie, ils ont fait appel à un autre serviteur qui n’est autre que le patron de l’école hôtelière privée « le Jardin Secret », Farid Ait Bachir, habitué d’organiser des soirées – de tout est permis- dans son commerce situé au lotissement Hamoutene de M’douha.

Le couple HAROUNE-OULD ALI , les deux compères

Le couple HAROUNE-OULD ALI , les deux compères

Un an après les élections locales, nous n’avons vu qu’un « semblant président d’APW, surnommé artiste aux talents multiples » engoncé et gêné aux entournures, encore mal remis du désaveu que la réalité lui a froidement infligé à propos des subventions accordées au mouvement associatif, n’ayant même pas le courage de s’en expliquer…ou de s’en excuser. (On reviendra sur ce sujet).

Hocine Khelifa, directeur des opérations du Jardin Secret, un repris de justice, mouillé mainte fois dans des affaires de chèques sans provisions, aurait été chargé par le directeur de la culture de Tizi-Ouzou, Ould Ali El-Hadi (ex directeur de campagne de Bouteflika à Tizi-Ouzou) pour organiser un défilé intitulé « Miss Djurdjura ».

Hocine Khelifa, directeur des opérations du Jardin Secret

Hocine Khelifa, directeur des opérations du Jardin Secret

A l’heure actuelle plusieurs filles auraient retiré leurs candidatures suite à des propositions inappropriées de la part des organisateurs. Connaissant le CV des organisateurs, il faut se poser un tat de questions. Cette idée soudaine d’organiser un défilé de mode « Miss Djurdjura », à l’approche des élections présidentielles, par des non professionnels dans le domaine, nous amène à se demander à quoi sera destiné ce ballet.

Et c’est bien cela qui est le plus grave : nous avons, en guise de responsables, des hommes, déshonorables et incapables d’être sympathiques, et dont la seule orientation pour être maintenus a été la soumission, la trahison et le marchandage. Tout simplement, des dealers politiques. Des hommes dont le programme se résumait ainsi. 

Ça sera surement un échec sur toute la ligne….
Une fille avertit en vaux deux.

L’AVC du chef de sûreté de la wilaya de Tizi-Ouzou

La police de Tizi-Ouzou sans chef

La police de Tizi-Ouzou sans chef

Djamel Louli, chef de sûreté de la wilaya de Tizi-Ouzou, intérimaire depuis mardi 8 octobre, est toujours gardé au CHU Nédir Mohamed de Tizi-Ouzou, dans un état critique.

Admis en urgence durant la nuit de mercredi 20 novembre, suite à un malaise cardiaque selon les informations qui circulent, il s’est avéré finalement que c’est un AVC et il est paralysé au coté gauche, comme exactement le cas du chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika.

On vient d’apprendre que sa femme et son fils, capitaine du DRS au secteur militaire de Tizi-Ouzou, ont refusé l’offre du général-major Abdelghani Hamel, directeur général de la sureté nationale, qui est une prise en charge de la DGSN et le transférer pour des soins à l’étranger.

Il semblerait que ce qui les intéresse, pour le moment, c’est de faire valoir ses droits à la retraite. Mais en attendant, le poste du chef de sûreté de wilaya est toujours vacant, en attendant l’arrivée de celui qui va gérer les prochaines élections présidentielles d’avril 2014 : Lahlouhi Mbrak, actuel chef de sûreté de la wilaya de Tlemcen.

Détournement à la ligue algérienne de la défense des Droits de l’Homme (LADDH)

Mustapha Bouchachi, député FFS au 4 eme congrés de la LADDH

Mustapha Bouchachi, député FFS au 4 eme congrés de la LADDH

C’était sous le pseudo-slogan « Pour une société civile libre, autonome et responsable » que la LADDH a tenue son quatrième congrès les 6 et 7 décembre 2013 au niveau de son siège sis au 5, rue, Pierre Vialla, Didouche Mourad, Alger, qui a vu Maitre Nour-Eddine Benissad réélu pour un autre mandat de quatre ans selon les nouveaux statuts issus de ce congrès.

Un congrès de retrouvailles entre les anciens du FFS convertis en UDS de Karim Tabou et leurs anciens camarades du parti de Hocine Ait Ahmed, qui n’a aucun objectif autre que la mise en conformité à la nouvelle loi (06-12) sur les associations.

Tout a été tactique : Le président d’honneur, Maitre Ali Yahia Abdenour n’a même pas été invité, par contre l’ancien président de la LADDH, Mustapha Bouchachi, député FFS, semble avoir toujours la mainmise sur cette aile de la ligue. Pour barrer la route à certains membres, en l’occurrence (Keddour CHOUICHA, Kamel Eddine FEKHAR, Falah HAMOUDI, Djabria NAILI), le conseil national de cette ligue, dominée par les opportunistes du FFS, ont tenus une réunion les 4 et 5 Octobre 2013 à Bejaia et ont suspendus ces militants de toutes activités organiques en attendant que la commission disciplinaire statue sur leur cas. Surement ils seront exclus.

Devant la crise financière qui secoue la LADDH, la proposition surprise pour la sortie n’est autre que les bailleurs de fonds. En effet, c’est le bureau de Tizi-Ouzou, renforcé par celui de Béjaia, qui avait donné instructions aux militants du mouvement associatif, affiliés à la LADDH, de postuler aux différents appels à projets des ONG et organismes internationaux pour soumettre des projets à financer. Les parlementaires du FFS seront un intermédiaire, en coulisse, pour accorder les subventions et en cas où des projets seront retenus, une marge de cette subvention sera versée à la Ligue. Voila la triste réalité de comment le parti de Hocine Ait Ahmed a perverti le combat des droits de l’Homme en Algérie.

Tirage au sort de la Coupe du monde 2014

Le tirage au sort Coupe du monde 2014 est le suivant :

Le tirage au sort Coupe du monde 2014 est le suivant :

L’Algérie a hérité de la Belgique, Russie et Corée du sud lors du tirage au sort du Mondial 2014. Le Groupe de la mort est composé comme suit : Allemagne, Portugal, Ghana et USA.

Un groupe à trois champions du monde

Il en fallait un, ce fut l’Italie. La Squadra a été tirée au sort pour être basculée du chapeau 4 au chapeau 2. Du coup, elle était assurée de figurer dans le seul groupe avec deux Européens non-têtes de série. Les Italiens figurent dans le groupe D, le seul à compter trois anciens champions du monde puisque l’équipe de Cesare Prandelli affrontera également l’Angleterre et l’Uruguay. Bref, un mini groupe de la mort… Dans l’affaire, le Costa Rica, quatrième larron de cette poule, a vraiment tiré le gros lot. Mais une grosse pointure du football international, au minimum, va rester sur le carreau.

Espagne – Pays-Bas, comme on se retrouve

C’est un des évènements de ce tirage. Pour la première fois dans l’histoire de la Coupe du monde, les deux finalistes de la précédente édition vont se retrouver dès le premier tour. L’Espagne et les Pays-Bas avaient disputé l’ultime rencontre du Mondial 2010, titre en jeu. Ils débuteront donc l’édition 2014 comme ils avaient fini la précédente : en s’affrontant. Le tenant du titre ibérique devra croiser le fer avec son dauphin batave dès son premier match. Ce sera à Bahia et les superstitieux devront rester couchés: nous serons le vendredi 13 juin. Dur en tout cas pour le Chili, condamné une fois encore à jouer l’Espagne au premier tour (comme en 2010) et l’Australie, qui aura besoin de multiplier les miracles pour s’en sortir. Au passage, le deuxième de ce groupe sera opposé au premier du groupe A. Ce qui nous offre la perspective, par exemple, d’un Brésil-Pays-Bas ou d’un Brésil-Espagne dès les huitièmes. Nous avons six mois pour en rêver. De ça et du reste.

Le tirage au sort Coupe du monde 2014 est le suivant :

 

GROUPE A : Brésil – Croatie – Mexique – Cameroun

GROUPE B : Espagne – Pays-bas – Chili – Australie

GROUPE C : Colombie – Grèce – Côte d’Ivoire – Japan

GROUPE D : Uruguay – Costa Rica – Angleterre – Italie

GROUPE E : Suisse – Equateur – France – Honduras

GROUPE F : Argentine – Bosnie – Iran – Nigéria

GROUPE G : Allemagne – Portugal – Ghana – États Unis

GROUPE H : Belgique – Algérie – Russie – Corée du sud

Programme des matchs de l’Algérie 17 juin 2014/ 17H à Belo Horizante: Belgique – Algérie 22 juin 2014/ 17H à Porto Alegre : Corée – Algérie 26 juin 2014/ 21H à Curitiba : Algérie – Russie

La FIFA confirme le Cameroun au Mondial et rejette la requête Tunisienne

Le fax de la FIFA qui confirme le Cameroun ira au mondial 2014

Le fax de la FIFA qui confirme le Cameroun ira au mondial 2014

C’est officiel: La Fifa a rejeté la requête tunisienne (la requête contre les deux joueurs Joël Matip et Choupo Moting) contre le Cameroun. Ce dernier sera bel et bien présent au Mondial brésilien l’été prochain. La FIFA vient d’envoyer un fax dans la journée de ce jeudi 28 novembre, pour mettre fin à la spéculation qui ont trop duré depuis le dernier match des barrages, entre Tunisie et Cameroun.

Ainsi, le Cameroun vainqueur sur terrain est en hausse dans le classement FIFA du mois de novembre  FIFA, publié aujourd’hui. Sur le plan continental une progression importante des Lions indomptables du Cameroun qui gagnent 8 places, et pointent désormais à 9e place et (51e mondial) La Tunisie se classe juste devant le Cameroun et perd deux places. La Côte d’ivoire domine toujours le foot continental, devant le Ghana et l’Algérie qui fait un bond de 6 places, et occupe désormais le 26e rang mondial.

Classement FIFA : Top 20 des pays africains :

1-Cote d’Ivoire (17e mondial)

2-Ghana (24)

3-Algérie (26)

4-Nigeria (36)

5-Egypte (38)

6-Cap Vert (39)

7-Mali (42)

8-Tunisie (49)

9-Cameroun (51)

10-Burkina Faso (58)

11-Afrique du Sud (61)

12-Libye (63)

13-Sénégal (65)

14-Guinée (66)

15-Zambie (72)

16-Sierra Leone (74)

17-Maroc (75)

18-Togo (77)

19-Gabon (80)

20-RD Congo (83)

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